Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, IV.djvu/954

Cette page n’a pas encore été corrigée

r.R ANDF lîRKT.Vr.NË

qu

aprAf rin^urroriion

iM i Uliioit Uo lu

vors la nu’r ru ,, .... III (1509-1%* :), ittrc rAuthi’ho ot la . ot 5on avance, il so i^ion an^licano, orgar. ) VI (ni^ï^^S). -* VIII, la riuhaliqiio lui

loUi’

If* ’

leii

— sa lii ;:.’ .-.Mitre 1 K.s|)agno,

-s l’avs-Has ri de frranro,

iHi. ;>ur la soumission vio-

’ it^cle. Union de l’Ecosse

" ,.... i, Jacques I". fit en sa

!■’ la (iramlc-Hrolapno. Atta- 

..-iiivo royale, îl l’ut méprisé

ro «lo Tronto ans, et lo Par-

— n tils, Charles I"(l6,î5-I6 19),

nv*’-- Henriolto de France,

j..ir ’ _’*> un instant do

rtv I lion des droits,

16 ?. . des impôts non

Tot- ■■ i^’1'1. à ôtaMir l’unité relitriouse.

II ■■ , vemcnt do l’Kt’Osse covenuntnire

((6,1- . , ■■•.en faveurdu •’atliolicisnie ,1641),

cxnsptfd lo r ;*r :cmciii.lA pieiro civile (16^2-1650) suivit

l’exiVutiMn do SiralTord et coûta la vie au roi (IGI9). l-a

iV.piil.li i ■.,’ i.r.’<.l> t^rieune (K>49-U>J3) et la dictature mili-

iMir- at de C'n>mwell ; itÎjJ-lfijS) no purent so

ma ’10 clorlcux que f&t & rexiérieur le rolo

du 1 ^ ■ *•’■■’ •’■ suivie de la restauration des

Slu.i . et son frère Jacques U ;i68S-

K^" ro la lutte contre les catlio-

liqi, .’S u hips, libéraux du Parlement,

op} :ison.aieurs. Los intrigues du roi

av ront impopulaire, moins encore que

,11. ayant voulu rétaMîrlo catholï-

r son gendre Ciuillaiime d’Orange

■ tf^rîmiivemenl lo régime libéral.

Va Irlande, d’un soulèvement de

IK lo III tint têto à la France

peu ■ sion palatine (1689-1C97), fut

re.- ^ XIV a K_vswii.k (l^gT). prit en 1701 la

tét’- n contre la France, et assura la couronne

à V» Viine Smart (1702-171*). et. après elle, à

(ïc •. rc, descendant d’une fillo de Jacques l*’.

Sow I Anne, les wighs dirigèrent la coalition

con- ; les tories conclurent l’avantageux traité

d’I' : ’ purent empêcher la succession de rester

dar : prntf^stnnte.

4 . t . . u^ colonial de la Grande- BrC’

taç . Georges II (1727-1700) lais-

5^r. . A cette époque commence,

. un grand mouvement colonial et ro W^pole, pacitique et attaclié à i .11 iTi :. 1.0 nouveau ministère wi, _- lerro de succcs-

sio : iront battus aux

Pa ; .t, en 1754, de la

Frâ ■ i la gut.-rro coloniale rccom-

mrr l’aris ( I763 la France, vain-

cu’ -a prétentions sur le Deccan.

L’a 1760-1820) donna le pouvoir

aux rupules de Clivo (1757-1773),

doa..-.i ii.i- -’., continua l’o-’uvro de Pitt

dans rinde. I^ ••t rindépendance des colo-

nies d’AmAriqu’- if marquée par rinter’ention

de Li r .- . - ’ ;; neutres (1779).

En : iiltés parlemen-

lair t se entraînait la

font . D-iMin 1782). Ce fut

dar. l’iit. tory modéré, prit

1^ ; l’ite do la France, pen-

I ’.n en protita pour ac- ^- f^n IHOi, 1rs troupes ■ Igyptc. Le ministèro Pu t-i à 1 Autriche contre Napoléon ;

Cru ’ oalilion, Nelson fut vainqueur À

rn • f iMî-t ’ !'^ P ;’( ’^ t. in. IIS maritime

det .-déchecs

<Ui> remporta

?nr ;-•’« i-^M)- 

>c. ’ r à

la ’ • du

r*k Ia

Om rloo

(ICI , L . C’UO

«va

’■>’ ■’ la question d’Orient (I81&-

li*’. /ni- rit.int par Mil !’- .Irs exi-

Rpi. ront

en- .IV

dev En :

her ul-

lan . la

par la famine et l’émigration, et tomba pour avoir approuvé le coup d’Kiat du 2-Déconibro on Vrance (1851) ; mais, après un ministère (ory, les whigs, revenus au pouvoir, coopérèrent à la guerre de Crimée (I854-I85S). la Oi ;iii.ie llntagiio intervint en Perse, on Chine et au ^ : , et enleva, après linsurroclion du Ileniiion do l’Inde à la Compagnie, l’n nou- , i V, ,• ..rv ne put durer. I-.0 minislère PalnuTsi^iii,

qui lut bucccda, slgi^u avec la France un traité de cummorco (1860), ot ouvrit, par le traité do Pékin, les principaux ports aux Kuropéens. Kn 1S67, un ministère tory revint au pouvoir (Dorby-Disraeli) et fit voter uno réforme électorale (I million do "nouveaux électeurs^ L’n ministèro Gladstone 0 !***8) désapprupria l’Eglise anglicane en Irlande, chercha & protéger les fermiers irlandais contre les • évictions > injustitiées, mais refusa d intervenir dans la guerre franco-allemande (1870-1871). En 1874, un nouveau ministère lory (l)israeli s’empara du canal de Suez en achetant les actions du khédivo Isniaïl (lS7S]i, et lX prendre à la reine Victoria lo titre d’« impératrice des Indes • (1876), combattit ta politique russe au congrès do Herlin (1879). aci|nil Chypre (1879. plaça l’A fglianistan sous le protectorat anglais.’et céda la place à Gladstone (I880). 6» L’iniinhalisint’ et le hotnc-ruic (1880-1900). (iladstune eiU voulu satisiaire les home-rulers (partisans do l’aniononiie de l’Irlande) dirigés par Parnoll ; mais t’assassinât du vice-roi et du secréiairo d’Irlande (1882) lui permit seulement quelques mesures favorables aux fermiers évincés. Il lit occuper l’I-^gypto par des troupes anglaises, qui so rencontrèrent avec ’celles du Mahdi (1883-1885), mais engagea contre lo Transvaal uno guerre malheureuse. Uno dernière réforme électorale (2 milliors do nouveaux électeurs) ramena les tories (Salisbury) au pouvoir {188 :>). Gladstone remplaça lo ministère (I8S6). renversé sur la question du home-t’ule. Abandonné par les libéraux unionistes, il se relira devant Salisbury, qui prit des mesures de « coercition ■ contre les Irlandais et obtint, à la conférence do Berlin, d’inimcnsos avantages en Afrique. Gladsiono lui succéda, toujours ù propos du home-rulc (189’.*). Malgré sa brouille avec Parnell et des difficultés au Siani et sur lo Niger avec ta France, le ministèro libéral obtint des 1,’ommunes lo vole du home nde, mais non des lords. Lord Koscberry remplaça Gladstone (1894). Impérialiste avant tout, il envoya une armée égyptienne sur lo haut Nil (1895), mais dut renoncer à obtenir les rives du Tanganyika. IjO ministère Salisbury-Chamberlain, conservateur unioniste, poursuivit le développement do l’empire, intervint dans les alfaires d’Orient (guerre gréco-turque], et, sous la pression do l’un do ses membres, Chamberlain, entreprit on 1899, contre les Boors, une guerre de spoliation qui était loin d’être achevée à l’avènement d’Edouard VII (1901). V. Orangr. Tbansvaal.

— BiBLiOGR. : Green, Histoire du peuple anglais (1883) ; Stubbs, Histoire constitutionnelle de l’Angleterre (1875- 1878) : Soelev, jb’xpansion de l’Angleterre (1885) ; Ch. Dilke, Grcater //nMin (1890).

VIL LiNGuisTigcE et littérature. — Linguistique. Ia langue anglaise est une langue composite. Chacune des races qui se sont juxtaposées en Grande-Bretagne a contribué, pour uno coucho plus ou moins épaisse, à la formation de la langue commune. La race des Celtes n’y a laissé qu’un très petit nombre de mots, dont beaucoup no so retrouvent que dans les noms do lieux. La domination latine, qui so prolongea pendant trois siècles ot demi, y mit, au contraire, sa marque profonde, d’autant plus que, même lorsnue les Romains disparurent do l’ilo, leur langue continua d être celle des moines et des clercs. Mais c est linvasion des Angles et des Saxons qui donna vraiment à la langue do la Grande-Bretagne lo fond de son vocabulaire et lo caractère particulier do sa syntaxe, laquelle se moditîa pourtant, sous l’influence des invasions Scandinaves. Sur ce fond, la conquête normande apporta d’un bloc le langage français - normand , qui fut, jusqu’à Edouard III. lo parler do la cour et de l’administration. Mais cette invasion de termes français ne fit qu’accroître la richesse du vocabulaire, sans altérer le génie du vieil anglo-saxon, que Chaucer éleva à la dignité do langue littéraire, avant que le Parlement l’eût adopté pour langue oflicielle (1425).

Il avait déjà perdu son alphabet propre et ses flexions germaniques. Ainsi transformé, l’anglais fut, et est encore, une langue dont les seules difficultés sont, pour l’étranger, la prononciation, le jeu dos auxiliaires et l’emploi des locutions ou idiotismes. Ce n’est que par l’usage qu’on arrive à vaincre la première et la dernière do ces difficuliés.

L’anglais est la langue la plus simple et la plus souplo qui soit. Mais cette simplicité et cette souplesse mémo la rendent en bien des cas obscure, l’enchaînement rifjoureusement syntaxique des propositions y étant sacritié ù. la logique dô l’idée et à la rapidité de l’expression.

L’extension de la langue anglaise a suivi la diffusion do la raco anglo-saxonne. Avec des différences d’accent, do prononciation, des additions de vocables locaux, elle se parle aux Etats-Unis, en Australie, dans l’Inde ot dans les colonies anglaises, et dans tous les contres commerciaux.

Cette langue fournit un instrument poétique merveilleux. Le vers anglais est essentiellement rythmique ; il so compose d’un certain nombre de pieds, ou groupes de deux ou trois syllabes, dont uno est longue, c’est-à-dire toniquement accentuée. Les pieds prennent les dénominations ’le la prosodie latine, la syllabe accentuée ou forte étant comptée comme longue et la syllabe inaccentuée ou faible comme brève. L’ïambe (faible’et forto) est le pied le plus employ. Le nombre de pieds varie de deux à <louzo. La rimo n’est qu’accessoire ; tantôt elle est régulière, tantôt elle manque al)solument, tantôt les vers ninés alternent avec des vers sans rime. L’alexandrin est assez rare ; le vers de huit syllabes réparties en quatre pieds, et le vers di-i-asyllabique à cinq pieds sont les plus communs. Ce dernier porte spécialement le nom de vers héroïque.

— Littt’rature. l^ littérature anglaise, la plus riche de l’Europe après la littérature française, no commence, à proprement parler, qu’après la conquête normande. Sans r-Miionier à la période anglo-saxonne, les Itutlades po[tal. nrt’s, dont I{ot>in Hood, Te Saxon mis hors la loi (oiitlair) <st le héros favori, nous font comprendre encore aujour-

1 liui les ardeurs d’indépendance couvant sous la tyrannie ■l’-'^ pnvnhi<ïN’*'ir’ ! Prn lant pîtisiftirs siècles, ces ballades lau" iiN do la littérature na-

en ’ Mtirs de France avaient

0’» !. ; . > .in’rs do Guillaume, et

(18» :.,. Un nouveau :L.x :u3tcrc ■» In^ vu 1 Irlaii )•■ -l^-pf^uideo i i.jut co qui so piquait do politesse ot belle éducation par-

te

telle lui

règne de ’ épou«a

926

lait et écrivait on français : les érudiis, pour la plupart, écrivaient en latin.

Au XIV" siècle. Saxons et Normands sont définitivement fondus en un même peuple, et le sentiment national, exalté par le mouvement religieux dont Viclof fut le chef, trouve suu exi>ressiondans de nombreuses œuvres en langue vulgaire. William Lungland { Vision de Guillaume toucfi’inl l’ierre U Lahourviir) et I^urence Minot {Chants sur les batailles d ICdouard iU) sont les précurseurs de Gower, qui écrivit trois poèmes : un en latin : ’ox clamant is ; un autre en françars : S}icctdum meditautis, et lo troisième en anglais : Confessio ainantts. Gower fut l’ami do GeolFrey Chaucer, dont les Contes de Cantorbéry^ ta* blcau précieux do la vio des diverses classes de la société sous Edouard III, assurent à leur auteur une place glorieuso parmi les grands poètes do l’Anfileterre, ot marquent pour los vers, comme la version do la Bible do Wyclef cl les Voilages en Orient de John Mandevillo pour la prose, le moment décisif oi se forme l’anglais littéraire.

Depuis Chaucer jusqu’à Spencer, on ne trouve guère à citer (pie le cvclc des ballades écossaises formé autour do Robert M’allaco et quelques noms peu éclatants, commo ceux du moine John Lidgatc. du juriste Thomas Occleve, do .stephen Hawos, de l’évêquo Gavin Douglas, de sir l)avid Lindsay, le sutiri(|ue ; do sir Thomas Wyalt et de Henry Howard, comte de Surrey, imitateur des Italiens. C’est ù celte épo(|ue que lo chancelier Thomas More écrivait en latin son Utopie, et en an|j ;lais son Histoire d’Edouard V ci dt Hichard lit. Dans lo mémo temps, Tyndalo et Coverdalo faisaient leur belle traduction do la Bible. On doit uno mention à John Skelton, poèto vigoureux et primfc-sautier. L’imprimerie fut introduite en Angleterre par John Caxton, dont on a des traductions ou des imitations de l’italien et du frança,is. C’est lo début do cet &çc do merveilleuse production littéraire qu’on appelle le siècle d’Elisabeth et qui va do 1559 à 1603.

II faut nommer, au commencement de cotte période, George (iascoigne, poèto dramati<|ue. satirique et élégiaque, qui composa le premier art poétique anglais : Instruction concernmg the Making of Verse (1575) ; Thomas Sackevill, auteur, avec Norton, du plus ancien drame en langue anglaise ; Gorhodnc ou Ferrex and Porrex (1563) ; Arthur Broko : John Lily, qui fut aussi un poète lyrique et dramatique précieux et maniéré ; sir Philip Sfdney, le romancier AWrcadia^ lo poèto des sonnets à’Astrophcl and SteUa, et cnlin cl surtout Edmund Spencer, qui, élevé à l’école des Italiens et des Français, composa son grand poème allégorique, the Faiitj Queen. Après lui, on trouve encore des poètes lyriques qui méritent de n’être pas oubliés, comme Thomas VVatson ; Henry Constable ; sir’alter Haloigh, Thomas Carcw ; Giles Fleicher, AVilliam Browne ; l’évoque de Noi’wich, Richard Corbet, Michaol Drayton, Samuel Daniel ; cnlin. des poètes chez qui dominent l’esprit philosophique et lo goût de la satire : sir John Davies et Joseph Hall.

Mais c’est dans le drame surtout que la littérature anglaise, au siècle d’Elisabeth, trouve sa plus haute expression. Sans remonter aux Miracles ot aux Moralités, entrecoupés plus tard d’Interludes, sans nous arrêter à la comédie en vers de Nicolas Udall. iialph Itoyster Doystcr (1566), cinq ans après la représentation de Gorboduc, nous voyons, en 1576. uno irouue do comédiens, patronnée par lo comte do Leicester, établir rour la première fois à Londres un théâtre à demeure, celui de Blackfriars, qui eut bientôt des rivaux, éclipsés plus tard, ainsi que lui, par lo théâtre du Globe, que fonda, en 1599, la troupe dont faisait partie Shakspeare. Après des imitations pénibles et maladroites du théâtre antique, do grossières adaptations d’épisodes tragiques pris dans les chroniques italiennes et des essais curieux de comédie de caractère, commo l’Aiguille de la viedle maman Gurton (15C6), nous rencontrons les trois grands prédécesseurs de Shakspeare : George Pccio, acteur de Blackfriars : Robert Grcone, qui écrivit plus do quarante pièces, poèmes, satires ou contes, quelquefois en collaboration avec Th. Lodge ; et Chrislopher Marlowe, dont on admire l’énergie et la grandeur sauvage du style. Citons encore Thomas Kyd et arrivons à William Shakspeare, qui, dans la tragédie historique, dans lo drame, dans la comédie, et même dans la poésie lyrique pure, reste la plus haute expression littéraire do sa race.

Ses contemporains et successeurs ne tardèrent pas à substituer à la peinture de l’homme en général, où il avait excellé, la peinture des types ot des cas spéciaux. C’est ainsi qu’à coté do ses tragédies romaines, bien construites, mais froides. Ben Jonsen nous donne, dans ses comédies, une image ûdèlo, mais restreinte, des mœurs de son pays ot do son temps. Nous trouvons ensuite Beaumont et Fletcher, qui écrivirent en collaboration un grand nombre d’œuvres dramatiques oii la beauté des images, la délicatesse des sentiments se heurtent partout à des expressions grossières. Philip Massinger, dans ses drames tirés pour la plupart des chroniques italicnties. manque un peu de vie, mais a lo mérite do chercher I elfot moral. John Webster, et, après lui, John F’ord font jouer surtout lo ressort de la terreur. George Chapraan. auteur de tragédies historiques, de comédies et de fantaisies poétiques, que les Anglais appellent masques ; Thomas lïeywood, qui fait preuve d’une grande puissance d’invention en même temps que d’une louable préoccupation morale, ot James Shirley, chez qui la linesso do 1 observation et la gràco du style ne parviennent pas à remplacer la passion, sont les principaux écrivains dramatiques do cette époque, dont la liste complète comprendrait plus do deux cents noms.

Pendant ce temps, la prose no compte qu’un grand écrivain, Francis Bacon, qui fut aussi un grand philosophe, mais dont les Exsays sont un modèle de stylo à la fois précis et siigcestif, énergique et souple, sobre et imagé. Avec Robert Burton. 1 auteur de VAnatomie*d€ la mélancolie, nous dépassons le siècle d’Elisabeth pour entrer dans le XVII». Nommons sir Thomas Brown, Izaac Wallon et John Bunvan.qui écrivit, sous le titre le Voyage du Pèle rin. un livre mystique ot allégorique, très populaire dans l’Angleterre protestante.

Cette époque, troublée par les querelles religiouves et les révoliiiions politiques, n’est guère plus féconde en poètes. Lorsqu’on a mentionné le satirique John Donne, les poètes royalistes, ou cavaliers, Thomas Carew, sir John Surkling. Edward Waller ; les poètes puritains, Georgo Herbert. Henrv Vau- ;han, George Wiiher. et au-dessus do ceux-ci, Robert Herrick. le pindari*|ue Abraham Cowley. sir John Denham. et Andrew Marvel, qui partageait son talent entre la pastorale et la satire, ou est