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ÉGLISE

•94 actes, accordo ou refuse & ««s décroît U sanction qui,

leult* ’■'■"• ■» ■’■■■" ■<■• ’■>’

. -»’ du royaume de firèco, c’pst

en 1 - '^'> Ani éi6 &eouut^, los év^qut^s

du i ' ">"-’ it Nau^ilio, so |troclameroni

iQiJt trctiO do Cuiistantiiio^ilo. Mu nij^nio

urtiij Mt la 4*on«li(ution qui, inuditR^i* en

isti " it l’K^liso. r» sviukIo.

ooin, - par lo uiétrupuhtaii)

d’Ai .’.uioH los alFairpH ri’ciô-

sia^ti iti.>% . %>•-. a 'U'N >uiii soumis uu cunirAle du gouvernemont ruat.

Les A l’.ri’-i Plats «■lirifii’iis ■>.ù .-iit .’•. 1i ;i|.i>i' ; !a doiiiinntioii ’ 'tii’s : o’ost

aius ruuinaine

et 1 1 i’ransyl-

Tai>< lUviopciidaules.

1^ l> V I la nôcessitiS, a

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ellps l i’4 ;li !>o de llulgario

qai. ’ ir lui schismatiquo la

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aup-i iltff^rcDtes commuDauiL^s qui composent

rkc

1*,. IK.

L ; . l’o 4S2. les doctrines mono-

ph>^ ■ «^^dit dogmatique do l’ompo-

rour . liturçie trts ancienne, dont

1 on. riMu. I.e cler^ù arménien se

diiri^ :-ii»ret blanc ou séculier. I*o

pren ■^> cthfat, c’est dans ses rangs que l’on

cht>i K’S évoques ; le mariage est permis aux

met). •rid.

Il -, en Orient, plusieurs autres Eglises sé-

Îan .’uvernées par leurs évi^ques : ce sont les

^li>i_. .. i ùrni, des jncobites et de quelques autres

sectes qui. toutes, professent la doctrine nestorienne, laquelle Dio l’unité do personne on Jésus-Christ. Le nombre total do leurs membres ne dépasse pas le chiffre do soo.ooo. Les papes n’ont cessé de travailler â l’union dos Eglises d’Orient avec l’Eglise romaine. Ix-urs otTorts n’ont, jusqu’à présent, réussi & faire rentrer dans l’unité catholique quo quelques groupes détachésdes.liirérentos Eglises séparées. te sont les yrec» uni» de lA^iP MintMire, do la Kussie btauche et do la Lithuanie. 1 v unis, les ehal-

tiéen» Mfiii, les copte» um». L«’ . -ur a permis do

conserver l’usage de leurs liti. iiales et a auto-

risé leurs prêtres a suivro les couou :» du conctlo in r)*u/fo touchant le mariage.

IIL Egliafs pmte$tantr$. Lo protestantisme naquit au XTi< siècle. A la voix de Luther et de Calvin ; la moitié de l’Allemagne, une grande partie de ta Suisse, lo Danemark, la Suéde et la Norvège, se séparèrent alors de l’Eglise catholique pour former non pas une Eglise, mais diverses communautés chrétiennes. L’Angleterre qui, après ta mort de Henri VIU, entra dans le mouvement de la Réforme, finit par prendre, & partir du régne d’Elisabeth, uno sorte de*po4ition intermédiaire entre le catholicisme et le protestantisme. Y. ANaLICAMSMB.

Quant aux autres protestants, voici loor doctrine sur lEglise.

Pour Luther et Calvin, il faut établir une distinction eueotiello entre lEgli-îe invisible, œuvre de Jésus-Christ 01 dont Dieu seul connaît les membres, et les BIgliscs vi- •ibles, que les hommes ont créées pour le bien du peuple chrAtion ot que les hommes peuvent modifier.

Lm pasteurs et les ministres qui los dirigent no sont pas revêtus d’un sacerdoce qui leur donne un caractère utcrô ; ils sont seulement délégués pour exercer publiquement le ministère. Si les protestants sont généralement d’accord sur ce principe fondamental, ils cessent do s’cntoodre lorsqu’ils veulent déterminer à quelles marques on peut reconnaître quelles sont les I-^lises visibles où un chri^tien peut fairo son salut. Les critériums les plus divers ont été proposés, mais aucun n’a rallié 1 unanimité des snlTrages.

L’organtMation desdirTérentes Eglises protestantes présente une crranl.^ iiversit-^ On peut, cependant, noter certains -tinguoot les Eglises luthérien ; .

L^ : _ _ ■ l»* /tiM»^rani»me ont conservé

une sorte Uo U ;orarciiie. qui comprend les surintendants généraux, les inspecteurs, les pasteurs et leurs assistants. A chaque degré de la hiérarchie correspond une circonscription administrative qui porte ditTèronis noms, suivant les divers Etats. Les dénominations los plus cmplojrées sont celles de diocèses, do cercles et de paroisses. I)ea coDsi.stoires permanents, composés do membres du clergé et de délégués laïques, sont chargés de surveiller et aassisier los ecclésiastiques dans l’exercice do leurs fonctions. Le chef de l’Etat, auquel les théologiens donnent le litre -I- ttifirni.'j rpixrf>pu.f ’ !<• premier évoque), est investi du d.- t .les ordonnances ccclésias-

tiqu r.’s, d’eti désigner les mem-

bres ■ -s charges ecclésiastiques.

Ce T’ . "C une intinité do nuaucos,

dans .

Da 1.1 <]*-Iimitation des anciens

ditK- e : chacun d’eux est

adni M’S sont subdivisés en

contra : . ontrats en pastoral»,

confies a ’i ne autorité sur toute

l’Eglise. L- ibles de leurs actes

devant des ...■■ i.ens do Russie et des

Etats-Unis .mt lo régime d’une hiérar-

chie de mn if des consistoires.

L’orgaoi- ■’ilrinittes est fondée sur lo

doable prii -i pasteurs et de leur élec-

tion par la .-. dans los Eglises, d’autre

division qu’ lans chaque paroisse,

no conseil ]■ -.élu par tous les mem-

bres de la • riii [i.’irtic ■ !■• p.’l^’eu^s,

mi-partie < !■ «n

nommeaax <-s

les Eglises r f.n

Allemagne, on Ecoi»^, on Franco et aux Etais-UiÉis.

Eu Prusse. la loi organique du 31 janvier 18S0, modifiée par les lois de 1ST3. 1674 et ISTd. a introduit dans l’Eglise une constitution qui participe à la fois du svstème luthérien et du système calviniste. La hiérarchie, dont le roi est le chef, est représentée d’une part par los suriotondanls géaéranx, qui gouvernoot les cercles et les pasteurs pré-

posés aux paroisses, d’autre part par le Conseil aupérienr ecclésiastique, t|ui surveille toute l’Eglise, et les consistoires, qui eontrOlent l’administration des cercles ot dos paroisses. En même temps, quatre degrés d’assemblées représentatives ont été créés : le synode général, les synodes provinciaux, les synodes de cercles et les asseni b)ees paroissiales, dont les membres sont les uns élus, les autres nommés par le gouvernement.

Le Wurtemberg et une partie do la Ilavièro ont adopté récemment une organisation analogue. Parmi les antres communautés protestantes, il faut signaler, pour le nombre et l’activité de ses membres : VJCyHsf trt’xln/mnc ou mf’//ioditte. C’csi en 17 43 quo les deux frères John et Charles Woslev commencèrent À organiser eu société les fidèles (pii s’étaient associés à eux pour provoiiuer ot seconder lo rt^vcil do la piété protestante. L Eglise ou Société est divisée en cla»»es, les classes on circuits. Los uns et les autres ont des présidents ou leaders, qui se réunissent pour former dos conseil* de discipline. L’administration lies sacrements et la prédication sont confiées à un ordre de prédicants, qui doivent s’assembler chaque année par groupes do cent, pour tenir dos conférences. Los wosiéyens sont répandus dans l’Angleterro, los possessions anglaises et les Etats-Unis.

IW E{/lise catholique française. En 1830, l’abbé Chàtel, après avoir été curé de Alonetay (Allier) et aumônier militaire & Paris, voulut réformer l’Kglise romaine en fondant sous lo nom d’Eglise catholique ou unitaire française une Eglise nationale. Il supprimait le célibat des prêtres ot la confession , disait la messo en fran< :ais et prêchait principalement la loi naturelle. Cotte tentative avorta ; son auteur la renouvela sans succès on 1813.

V. Eglise constitutionnelle. V, constitution civile du

CLBRCâ.

VI. L’a lises du désert. V. désert.

VII. Église [Petite). Lorsque lo papo Pie VII eut conclu avec le premier consul de la République française lo concordat du ISjuillel 1801, qui modifiait les siég^os opiscopaux, il demanda aux évéques qui occupaient les différents sièges de la Franco avant la Kévolution de donner leur démission. Dix refusèrent et formèrent, avec quelques

S rétros et un petit nombre do fidèles, dos communautés issidentos. qu on appella la petite Eglise. En 1816, six des évéques opposants donnèrent leur démission. Les quatre autres persistèrent dans leur opposition jusqu’à leur mort.

— BiDLiOGR. : Mr Bou^ud, te Christianisme et les temps présents (t. IV : V Eglise, P&r’is, 1878-1884) ; abbé Gréa, be l’Eglise et de sa divine constitution (Paris, 1835) : Lo Nain de Tillemont, Mémoires pour servir à l’histoire ecclésiastique des six premiers sitcles (Paris, 1693) ; C. Floury, Histoire ecclésiastique {P^Tïs, 1763) ; Marchotti, Cri/içue de l’histoire ecclésiastique de Fleury (Besançon, 1829) ; Darras, Histoire de l’Eglise, continuée par l’abbé Baretlle et terminée par Mr Fèvre (Paris. 188fi-1889) ; Jager, Histoire de l’Eglise catholique en France (Paris, 1862-1873) : abbé Gorini, Défende de l’Eglise contre les erreurs historiques (Lyon, 1859J ; Jean Alzog, Histoire d^ l’Eglise, traduite de l’allemand par Goschler et continuée par Sabatier (Paris, 1874-1R75) ; cardinal Hergonrœther, Histoire de l’Eglise, traduite par Belet (Paris, l886-90h Ed. do Pressensé, Histoire des trois premiers siècles (te l’Eglise chrétienne (18871889) ; E. Renan, l’Eglise chrétienne {&* vol. des Origines du christianisme [Paris, 1879]) ; L. Boissard, l’Eglise ae Russie (Paris, 1867) ; R. Rohrbacher, Histoire universelle de l’Eglise {lS*i-lSAi) : A. do Broglie, l’Eglise et l’Empire romain au i* siècle (Paris, 1856-1866) ; Hurtor, l’Eglise au moyen Age, traduit de l’allemand par J. Cohon (Paris, 1843) ; d’Haussonvillo, l’Eglise romaine et le Premier Empire (Paris, 1870).

— Mus. Tons d’église. Saint Ambroiso, ôvêque de Milan au IV* siècle, voulant régler le rôle de la musique dans les cérémonies du culte catholique, choisit dans les modes grecs quatre modes (ou gammes), sur lesquels seraient exclusivement chantées les hymnes et antiennes. Deux siècles plus tard, le papo Grégoire le Grand, voulant élargir le cadre de l’exécution musicale, aux quatre modes grecs choisis par saint Ambroise en ajouta quatre autres, ce qui porta à huit le nombre total des tons d’église ou tons du plain-chant, tel que le sy.stômo existe encore aujourd’hui. On désigna alors les quatre tons de saint Ambroise sous lo nom de tons authentiques, et ceux de saint Grégoire sous le nom de tons plagaux. Les tons authentiques ont leur dominante au cinquième degré, les tons plagaux au quatrième.

Voici lo tableau de concordance des anciens modes grecs avec les tons d’église :

Modes grecs Oorien

Hjrpodorien

Phrygien

"jP^’P^’O^’en

. Tonique DominantE

Tons d’église l^tnnfaujh.)

Lydien

Hypolydien

Miiolydierv

Kypomijioljdien

8’ ton (ptag J

ÉGLISE même étymol. qu’à l’art, précéd.) n. f. Nom donné, par métonymie, à l’éditlce où se réunissent les fidèles pour lexercîce du culte : Home est la ville qui a le plut d’BOLlHKS. n On distingue les kolisks en croix latine. en croix grecque, en rotonde, à tas côtés, à doubles bat

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câtéê, etc. H Ralitt simple. Celle qui n’a pas do bas cAtés ou nofs latérales, n Eglise bassf. Celle qui est construite nu rez-de-chaussée et qui est surmontée d uno autre église : A’ùtJl.lSK UASSP. de la Suinte-Chapelle.

— Constr. Sorte de girouette de fer-blanc, que l’on place S’ir les cheminées pour les empêcher île fumer.

— I.oc. fain. : Etre un pilier d’étf lise , Etre presque constam* ment ù l’église, y passer un temps excessivement long.

Il Itiilayer l église. En sortir le dernier, ii Etre gueux comme un rai d’église. Etre excessivement pauvre.

-- • pRov. : On peut dire une basse mesne dans une grande église, On peut se servir d’un u’raiid eri-e. ji tlL-lam d’un petit, pour linire la goutte. ii Prés de l’église, loin de Dieu, Ceux qui habiicui près de l’église ne sont pas les plus dévots.

— SvN. Église, temple. Temple ne s’applique qu’au lieu où se fait l’otlico divin ; église signilio aussi assemblée. Pour désigner lo lieu, église n’est employé que par les catholiques et les schismaliques grecs. ’Temple appartient, chez les catholiques, au langage élevé, et est seul usité dans los autres religious et lu plupart des sectes chrétiennes.

— Encycl, Arehit. Lorsque lomperour Constantin eut déclaré le christianisme religion de l’Etat, les coniniunautès chrétiennes s’attribuèrent un certain nombre de basiliques païennes. (V, iJASii.iyfB. Le plan de ces édilices no demandant que peu do remaniements pour être adapté aux besoins du nouveau culte, la basiliijue romaine devint lo type des temples chrétiens, et, même lorsque les églises s’éloignèrent parleur style de ces constructions primitives, leurs dispositions intérieures principales persistèrent, quoique parfois sous des noms dilférents.

L’a^ritmi antique devint lo paifis ; lo narther, se transformant légèrement, donna naissance a.» porche ; l’/iémicycle devint l’abside, et les galeries latérales prirent le nom de tiiforium. Mais le changement le plus important fut l’édincation de Yautel. Il était dressé, en général, auilovant de l’abside et sur la limite de l’nren, dont une partie devint le sanctuaire et le chœur, et dont le reste, prolongé à gauche et à droite, de manière à couper horizontalement les nefs, forma avec elles la croisée ou transept.

Sous l’autel s’ouvrait, en souvenir des catacombes, uno crypte où reposaient les restes d’un saint, et qui, dans certains édinces, prenait les proportions d’une véritable église souterrjine. On doit encore citer les ambons, le lectorium et les jubés, larges tribunes disposées entre le chœur et les hdèlcs rèi»andns dans los nefs. Les jubés eux-mêmes tirent place aux chaires.

C’est surtout en Occident que se retrouvent ces divers éléments d’architecture. L’Orient avait adopté, dés la première heure, pour ses églises, le plan circulaire ou polygonal des temples antiques, avec un dôme pour couverture, et, par suite, uno coupole pour plafond intérieur, dont la Syrie avait fourni lo type. Plus tard, ce plan se modifia et prit la forme de la croix grecque. Cette architecture, qui a pris le nom de byzantine, grâce à l’inâuence de Constantino]>le ou Byzance, ne resta pas confinée en Orient ; elle se répandit dans les églises do TItalio, du midi de la France et remonta, par les vallées du Rhône et du Rhin, jusqu’en Germanie. Le plan en croix grecque, la coupole sur plan carré, restent comme les caractéristiques do l’église byzantine. On y pénètre par une large baio qui tient liou’de la colonnade primitive ; au-dessus, règno un portique à colonnes, flanqué de deux tours carrées. La nef forme le sanctuaire ou iconostasis, qui était séparé des fidèles par uno cloison s’ouvrant pour distribuer l’hostio aux fidèles ; une galerie destinée aux femmes coupait los nefs à la hauteur du premier étag^e.

Le style roman, dont la caractéristique est la voiîte plein cintro et lo pilier, dominait en France dans les premiers siècles. Les églises de ce style suivent assez fidèlement les dispositions de l’antique basilique. Lo sanctuaire prend peu à peu un grand développement. Certaines églises de l’Est et des bords du Rhin ont deux absides, doux sanctuaires opposés, chacun précédé d un transent.

Vers le xii* siècle, apparut Vnrchilecture gothique on. plus justement, V arc hi te et tire ogivale, qui a pour générateur la voûte sur nervures croisées diagonalement, autrement dit ogives. D’une manière générale les églises do ce stylo se distinguent par les dispositions suivantes : du côté occidental, s’ouvre lo grand portail décoré de sculptures et surmonté le plus souvent d’un gable à l’extérieur et, & l’intérieur, d’une rosace garnie de vitraux aux couleurs éclatantes, et ordinairement flanqué de deux tours, terminées en flèches. A l’intérieur, la grande nef, semblable à un vaisseau renversé, reçoit les fidèles. Elle est séparée dos bas côtés ou collatéraux par une ou plusieurs rangées de colonnes ou piliers formant des arcades en ogive sur lesquels régnent des galeries ou triforiums, puis des clairesvoies et de nautes fenêtres lancéolées, ornées de vitraux points. Les voûtes, en général très élevées, opèrent des poussées énergiques sur los colonnes et les murs relativement faibles sur lesquels elles reposent ; aussi les architectes ont-ils imaginé des étais perpétuels, nommés arcs-boutants, qui soutiennent l’édifice a l’extérieur, on mémo temps qu ils servent à sa décoration. Le transept ou croisée coupe l’égliso de façon à lui donner la forme do croix latine ot s’ouvre à chaque extrémité par deux portails latéraux, décorés parfois presque autant que le portail principal. Le chœur et le sa ;jf/»«irc, réservés au derçé, sont souvent d’un niveau plus élevé que le reste de regli.se et sont isolés par un déambulafoire ou bas côté qui les enveloppe et sur lequel s’ouvrent des chapelles plus ou moins nombreuses.

Avec la Kenaissaoco l’église perd de son esprit religieux et sévère pour se rapproclior du temple antique. Désormais, quel que soit le style employé, la structure intime de l’église respecte la tradition et, à toutes les époques, on pourrait retrouver les dispositions que nous signalions, on rommcneant. dans l’antique basilique.

— Iconogr. Lo mnséo du Louvre possède cinq remarquables intérieurs d’églises nar Peter Neef. L’artiste a souvent traité ce sujet. Uno Eglise et place d’une ville de Hollande, par Van der Heyden, est également au Louvre. Au mémo musée. Van sieenwyck ne compte pas moin& de quatre intérieurs d’églises. Dans l’école française, Granet a excellé À peindre ce sujet.

— Liturg. et dr. can. Aucune église no peut être ouverte aux fidèles sans la permission de lévfrque diocésain, & laquelle doit être jointe, en P’rance, l’autorisation du gouvernement. Nul office ne doit être célébré dans une église avant qu’elle ait été sanctifiée, soit par la bénédic-