Gastcropélëque.
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OASTÉRACANTHE OU GASITRAGANTHA {»té) n. m. Genre ilaradiui’los arancides ( ::’criljollaies, type do la tribu des qaatéracantlunés, coniprciiaul des araignées do taille médiocre, à pattes assez courtes, à abdomen ordinairement aplati, anguleux, avec do grands prolongements cornus ou épineux.
— Encycl. Les gastéracanthes sont propres aux régions tropicales du globe ; on en connaît plus do deux cents es-
fièces, rcmart[uablcs par leurs couleurs vives et leurs ormes bizarres ; ils vivout au milieu do vastes toiles suspendues ouiro les arbres.
OASTÉRACANTHINÉS n. m. pi. Tribu d’arachnidos aranéidos éonbellatos, tamiUo des argiopidés , comprenant les gastéraca/iihfis et le genre voisin^ encyosaccus. — Un
GASTBRACANTHINE.
OASTÉROCARPÉES D. f. pi. Groupo d’algncs floridécs. ordre des cryptonémiacées, classe des rhodosporniées, renfermant six famlUos caractérisées par la nature gélatino-membraneuse ou charnue do la fronde, pou serrée ou mémo creuse en dedans ; par les faveltidies en grand nombre répandues dans la fronde vers sa portion centrale. (Types principaux : dumontia, iridea, kailymenia, etc.) —
Une IIASTEROCARPÉE.
OASTÉROCCRQUE {sté, sèrk’) ou GASTEROCERCUS {sié, sèr’-kuss) n. m. Genre d’insectes coléoptères rhyncbophores, famille des curculionidés, tribu des cryptorrhynchinés, comprenant des petits charançons allonges, cylindriques, grisâtres et écailleux, à pattes longues. (On connaît quelques espèces de gastérocorques, répandues «n Malaisie et au Brésil. La seule européenne, rare eu Franco, «st le gasterocercus depressirostris.)
GASTËROGOME OU GASTEROCOMA (s/f*) n. m. Paléont. Genre d’échinodormes crinoides, type do la famille des gastérocomidés, comprenant de petites encrines du terrain dévonion.
GASTÉROCOMIDÉS {sté) n. m. pi. Paléont. Famille d’écliinodcrmos crinoïdes-eucrinoïdes, sous-ordre des tesselés, composé dos quatre genres gastérocume, myrtillocrine, codiacrine, nanocrine, — Un gastébocomïdé.
GASTÉROMYCÈTES (stfi, sèf) n. f. pi. Ordre de champignons, de la classe des basidiomycètes. caractérisés par C6 fait que les spores so forment à l’intérieur d’une enveloppe complètement close, et ne sont mises en libcrlé que par la déchirure ou la destruction roraplèto de cette enveloppe. (Les lycoperdons ou vesse-^-de-loup et les sclérodermes, sont les genres les plus communs.) V. champignon, planches eu couleur. — Une gastébomyoîîtk.
GASTÉROPÉLÈQUE {sté, lék’) ou CASTE ROPELEC US (»té, pé-U--knf !s n. ni. Genre de poissons ph_sosiomes, famille des salmonidés, comprenant do petites formes américaines latéralement comprimées, dont le ventre présente une forte courbure
aui rappelle la disposition ’unferde hache. (L’espèce type du genre est le gasteropelecus stemicla de Surinam, vulgairement appelé serpe, long de 5 à 6 centimètres, d’an venlâtre argenté.
.GASTÉROPODES {sté n. m. pi. Classe de mollusques. Comprenant ceux t|ui, dans la majorité des cas, rampent au moyen d’un pied élargi en disque charnu, comme les «scargots, les limaces, les oscabrions, les buccins. — Un GASTéROPODE. Il On dit aussi gastropodk.
— Encycl. Les gastéropodes se caractérisent essentiellement par leur léte plus ou moins distincte, munie d’une langue et d’un appareil dentaire, et par leur manteau entier qui produit une coquille plus ou moins contournée, formée, on règle,
parunoseulo ,^m^ ^^" ^ fth, /
Îûôco. Ces mol- -^^^^^ ^ "■■ usqiies sont extraordinairement nombreux et ils varient énormément d’aspect. Certains atteignent une très grando taille, sans cependant jamais parvenir aux profiortions des lamellibranches, comme les bénitiers, ou dos ce pliaio podes , commo les poiil-
£es. La jdupart abilont la mer, mais il m est beaucoup de ûiiviatiles, de la- custres ot do terrestres. Leur régime est varié ; si le plus grand nombre est phytophage, une bonne quantité est carnassière , se nourrissant d’animaux morts ou vivants. Répandus dans toutes les régions du globe et les formations gèoluiïiques depuis l’époque cambrioune, les gastéropodes sont ro-
Srèsootos par des centaines de gonres et des milliers ’espèces (lo genre hehr seul en comprend plus de 2. lOOK Leurs coquilles ot leurs opercules sont utilisés dans les arts pour faire divers ouvrages en nacre foncée ou burgau et des camées ; beaucoup de ces animaux sont comestibles. On a subdivisé les gastéropodes en ordres et sous-ordres. Le système le plus généralement adopte est lo suivant. qui les répartit en quatre ordres : prosobranches, hèlvroporfex, puhnotu’s, opisthobranchcs.
OASTÉROSPORE Istf’. spnr’) ad]. Rot. Dont les graines Sont renfermées dans un sac globulotix.
— n. m. pi. Tribu de lichens, comprenant ceux dont les graines sont logées dans un sac gloWoux. — Un gastë-
KOSPORB. ■
tv.
OASTÉRACANTHE — GASTRIQUE
3. Bucciii
. 1. Lii.i.*-o ; -’. l’orrclainc ; V. Don» : 5. Curinatrp ; 6. Oacabrioa.
GASTÉROSTÉE ou GASTEROSTEUS (sté, sté-ius) o. m. Nom scientifique du genre épinocho. ii Le mot gaateroitea s’applique au genre épitiochette.
GASTÉROSTÉIDÉS {ste-ro-sté) n. m. pi. Famille de poissons acanihoptercs, comprenant les épinoches. — Un
GASTÉBOSTÊll.K.
GASTÉROSTOME {sté, stùm’) OU GASTEROSTOMDM
(sté, sto-mom’) n. m. Genre do vers trématodos, tamillo des gastérostomidés, comprenant des formes plates, dont la bouche, en ventouse, est situéo au milieu du ventre. (Les gastérostomos vivent on parasites dans le tube digestif de toutes sortes do poissons ; le plus commun, chez les poissons d’eau douce, est le yasterostomum fimbrintum.) GASTÉR05T0MIDÉS [sté-ro-sto] D. m. pi. Famille do vors trématodos distomiens, dont le gem’e gastérostome est
10 type — Un oastkrostomidé. GASTÉROTHIQUE3 {sté, tik’) n. m. pi. Nom des champignons gastéromycètos à byménium thécasporé. — Un
GASTEBOTUIQUE.
GASTÉROTRIGHÉS {sté, ké) n. m. pL Division dos hy-
phomycôtos, aujourd’hui abandonnée et remplacée par celle des céphalotrichcs. — Un GASTÉBOTRiciié.
Gastibelza, opéra-comiquo en trois actes, paroles de D’Ennory et Cormon. musique d’Aimé Maillart, représenté à rOpéra-National, le 15 novembre 1847. On connaît la ballade de Victor Hugo, Gastibelza, le fou de Tolède, que la musique d’Hyppolyte Monpou rendit si populaire vers 1840 ; c’est elle oui a servi de sujet à l’opéra. Le livret est médiocre, mais la partition, qui était la première de l’auteur, valut à la pièce un grand succès.
GASTINE n. f. Agric. Ancienne forme de gâtinb.
Gastineau (Benjamin), littérateur français, né à Monireuil-Bcilay (Maine-et-Loire) en 1823. Typographe, puis écrivain et journaliste aux idées avancées, il fut déporté en 1852, gracié en 1854, interné en Algérie en 1858 ; de retour en France, il continua à écrire. Mêlé À la Commune, il fut encore condamné à la déportation. Apres l’amnistie, il revint à Paris. Outre des articles dans divers journaux, il a publié de nombreux ouvrages do tendance socialiste et anticléricale. — Son cousin, François-Jean-Baptistk-Octave Gastineau, littérateur français, né à Saumur en 1824. mort à Paris en 1878, fut sténographe de la Chambre des députés. Gastineau a écrit pour lo théâtre, seul ou lo plus souvent en collaboration avec Clairville, Adenis, Busnach, etc., des pièces où il a montré de l’esprit et de la gaieté. Nous relevons, entre autres : le Vi’agon des rfames(l866) ; le Grand-duc de JÙatapa {ïi^ôS) ; les Souliers de bal (1868) ; l Entresol {>1Z) ; Babiole (1878) ; L’Assommoir { ?,^) l’irrésistible (1882) ; etc.
Gastinel ’Léon-Gustave-Cypnen), compositeur français, né à Villers-les-Pots (Côte-d Or) en 1823. Il entra au Conservatoire de Paris, où il fut élève d’Halévy. Il obtint lo premier grand prix de Rome en 1841. Iladonné : le Miroir (1853) ; l’Opéra aux fenêtres {^bl) Titus et Bérénice [%&Q) le Buisson vert (1861), et, plus tard, le Béve, ballet, à l’Opéra (1890). Depuis, il a encore fait représenter à Nice, en 1896, le Barde, opéra, dont il a écrit les paroles et la musique. Il a fait exécuter deux oratorios : le Dernier Jour et les Sept paroles ; un poème en quatre parties : la Fée des eaux, et des morceaux pour quatuor ou orchestre, etc.
Gastines (fêtes des), fêtes instituées sous Louis XIV. dans les Echelles du Levant, par un gentilhomme français nommé de Gastines, chargé de l’inspection des consulats en Orient. Chaque année, aux quatre grandes solennités religieuses, les consuls, accompagnés de leur personnel, so rendaient processionnellement au service divin. En Tunisie, cette cérémonie prit le nom de messe consulaire.
Gaston (lat. Gasto), fondateur de l’ordre do Saint-Antoine au xi« siècle. .Après une grave maladie, il vendit ses biens et se retira à Lamotte-Saint-Didier, pour y soigner les malades qui venaient chercher auprès des reliques do Saint-Antoine la guérison d’une maladie qui faisait alors de grands ravages, et qu’on a appelée depuis le feu de saint Antoine. Sept autres religieux s’étant joints à lui, il fonda un hôpital que lo pape Boniface VIII érigea en abbaye chef d’ordre (1297). Dans la suite lo boîïrg de Lamôtte-Saiut-Didier prit lo nom de Saini-Antoine.
Gaston, nom de plusieurs vicomtes du Béarn. Le plus célèbre est le dernier. Gaston VU, mort à Orthez en 1290. Tour à tour du parti do la France et de celui de l’Angleterre, il fut fait prisonnier en 1250 et retenu par Henri ill jusqu’à ce qu’il eût fait sa soumission. De retour dans ses Etats, il prit de nouveau les armes contre TAngloterre, assiégea Bayonne sans succès (1253) ot (it sa paix, lors du mariage d’Edouard avec Eléonore de Casiille. Vingt ans plus tard, arrêté par le roi anglais, il ne recouvra .sa liberté qu’en cédant Onhez. Devenu libre, il chassa les Anglais do Béarn et tii appel à Philippe III ; par linterinédiairo de ce dernier, Gasïon recouvra Orthoz.
11 mourut aju-cs avoir vaincu Saïu-be de Castille.
Gaston de Foix. dOrléans. v. Foix. Orléans.
Gaston, chef vendéen, mort A Saint-Gervats on 1793. Ancien perruquier, il commandait une bande do chouans, avec lesquels il prit Clialtans et MachecouK
GASTONIE {xto-n !) n. f. Genre d’ombellifères araliécs, comprenant des arbustes glabres à feuilles palmatitïdes, & fleurs hermaphrodites ou polygames, réunies en ombelles ou en grappes. (On on couiiaU douze espèces, de l’Asie, do rOcéanie et de Madagascar.)
GaSTONVILLE, comm. do l’.Mgérie (prov. do Coustantine), arrond. et a 22 kilom. do Philippevillo, sur lo Sal’-Saf ; 3. ;.".i7 bab. Ruines romaines.
GASTORNIS {slor’-niss) n. m. Paléont. Genre d’oiseaux, type do la famille des onsioniithidés, renfermant des formes aussi grosses que les autruches, ot dont on connaît quatre espèces. (Les gastornis sont fossiles dans les argiles tertiaires do l’.Vnglcterro, de la Belgique et do la France ; l’espèce type du gonro est lo gastornis Parisiensist de l’argile do Meudon.)
GASTORNITHIDÉS istor’) n. m. pi. Paléont. Famille d’oi’.eauv palmipèdes lauiellirostres, comprenant des formes très grandes, a pattes hautes et fortes, à ailes peu développées, doni les représentants sont fossiles dans les terrains tertiaires. (Les deux genres composant la famille des gastornithidés sont gastorms otmesembrwrni s.)
■— Cn GASTORNlTatDE.
GaSTOUNX, ville de Grèce fpéloponese ;prov. d’Âcbaïoet-Elide ), près de l’embouchure du fleuve cétier Gastouni ; 1.900 hab. Cb.-l. de la commune d Elis. Archevêché. A peu du distance, ruibes de l’ancienne Elis.
GASTRJEA (turorib db la). Nom donné, en ISTt, par Huïckel, & la théorie des feuilûlt, aujourd hui adoptée par les naturalistes et d’après laquelle les trois feuillets de la gastruta sont comparables chez tous les êtres vivants, quelque ditTérents qu’ils soient. (Cette théorie avait d’abord été proposée par Huxley, dans un mémoire, en I849 ; elle a été ensuite défendue par Koualcvsky en 1870. ;V,uastrciji.
GASTRALGIE {ttral’-ji — du gr. gastèr, trot, estomac • et algos, duuicur) n. f. Paihol. Névralgie do l’estomac : Les GASTRALGIES ct toutcs Us maladie* nerreuset pervertissent le goût. (Maquel.)
— Encycl. Pathol. La gastralgie est l’ensemble des phénomènes douloureux d’origine névropathique. La gastralgie est constituée par unu sorte de crampe, siégeant au niveau de l’estomac, et s’irradiant parfois dans les parties voisines. Elle survient à divers moments do la journée, sans influence des repas. Elle provoque souvent une sensation très pénible de malaise, de défaillance ; la face devient paie, anxieuse, et so couvre de sueurs. Une pression un peu forte, exercée au creux épigastrique, calme fréquemment la douleur.
Les crises de la gastralgie se rencontrent chez les chlorotiques. les hystériques, les neurasthéniques, les femmes à rein flottant’, etc. Leur fréquence, leur intensité mènent très facilement les névropathes à la morphinomanie. Aussi no dott-on jamais négliger une douleur siomaeale. L’opium et ses dérivés sont surtout employés ; en particulier, la morphine, les gouttes noires anglaises 1 1 goutte ;, l’élixir parégorique (S à 10 gouttes) avant les repas. 1^ belladone, l’eau chloroformée, la cocaïne et mieux l’extrait decanabis Indica donnent de bons résultats. Eorio, les révulsions épigastriqucs, les cataplasmes chauds no doivent pas être négligés.
Si les phénomènes sont trop douloureux, qu’il y ait oa non des vomissements, le repos au lit doit être exigé, associé à la médication précédemment indiquée.
GASTRALGIQOE [stral-jik’) adj. Pathol. Qui se rapporte à la gastralgie.
GASTRANA (stra) n. f. Genre de mollusques lamclU> branches, famille des teUinidés, voisins des telliaes, et
comprenant une dizaine d’espèces vivan-
tes ot quelques autres fossiles. {Les f/astrana habitent les mers de l’ancien monde : ainsi la ga^trana fragilis des mers d’Europe, qui atteint 6 centimètres de long. Leur distribution à l’état fossile ’ est limitée aux terrains tertiaires ; ainsi la gastrana Laudunensis de France.)
GASTRANCaSTRE {stran-sisstr ou GA-STRANCISTRDS {stran-si-stnus) n. m. Genre d’insectes hyménoptères lérébrants entomophages, famille des chalcididés. tribu des hormocérinés, comprenant de Gastrana. minuscules chalcidiens à large abdomen plat et pointiL (On connaît ouelques espèces de gastrancistres, dont trois habitent la France. Les larves du gastrancistrus nigrorneus vivent en société dans les galles des jeunes drageons du chéno tauzin.)
GASTRÉADES {stré) n. m. pi. Division du règne animal, proposée par certains naturalistes philosophes, et qui renfermerait des êtres primitifs, aujourd’hui disparus, qui auraient vécu à la période laurentienne sous la forme do gastrsea et d’où dériveraient en partie les organismes actuels. — Utt GASTRÉADE.
GASTRECTOUfflE {strèk’, ml — du gr. gastèr, tros^ estomac, et ektomè, résection) n. f. Cbir. Opération à l’aide de laquelle on enlève tout ou partie de l’estomac, i Cette opération, surtout employée lors de tumeur du pIore. consiste à enlever la partie stomacale atteinte et à’aboucher la partie saine avec le duodénum.)
CASTRÉE ou GASTRJEA {stré) n. f. Genre de poissons, dont l’espèce type est l’éplnocbe do mer {gaatrxa spinachia). V. ËPiNOCHB.
GASTRICISME {stn-sissm’ — du lat. gaster, tri, estomaci n. m. Opinion qui attribue la pluiu,rt des maladies aux impuretés de l’estomac, il Etat particulier dans lequel tous les accidents do l’écoDomie amènent tm trouble des fonctions do l’estomac.
GASTRICITÉ {stri-si — du lat. gaster, tri. estomac) n. f. Etat saburral des premières voies. « Ensemble des symptômes indiquant la âèvrc gastrique.
GASTRIDIE {stri-d() n. f. Genre de graminées, tribu des agrostidées, caractérisé par des êpillots ventrus, et dont les deux espèces connues croissent en Europe et aux Canaries.
OASTRIDION {stri) n. m. Genre de floridés, renfermant des algues dont les espèces sont aujourd’hui réparties dans les genres iomentarie. tétraspore, dumontie, etc.
GASTRII^GIDES (stri,Jid’) ou GASTÉROLÉGIDES {’té, jid’u. m. pi. An-’ienno division des insectes hwnenoptêres, répondant aux mégachilides actuels et ainsi nommés
Caroe qu’ils recueillent le pollen des fleurs sur la vaste roîise de poils couvrant la parue intérieure de leur ventre.
— l’n GASTRILÈGlDIi OU GASTtROLFGlDE.
GASTRILOQUC D. m. Syn, peu usité de ventrilo^ce.
GASTRILOQUIE 0. f. Syn. peu usité de vE>TKïLo<juiE.
GASTRIQUE (strik’ — du lat. gaxter, tri, ventre) adj. Qui appariieni. qui a rapport à l’estomac : embarras gas-TRiQiK. II Suc gastrique. Liquide sécrété dans l’esiomac, et qui est un des prinripaux agents de la digestion : C’est le SIC GASTRlQi’K qui ovêre la digestion.
— n. f. Artère gastrique : La gastrique supérieure. La GASTRtQVR inférieure.
— Encycl. Suc gastrique. Le suc gastrique est incolore, à saveur acido ci un peu nauséeuse. Il est produit cn grando quantité pendant la digestion. A jeun, l’estomac ne contient pas de suc gastrique.
Outre l’eau, on trouve dans le suc gastrique : 1 i ? p. 1.000 d’acide chloriiydriquo libre, un ferment soluble. fa pepsine < environ 3 p. l.ooo) et des sels minéraux, surtout du chlorure de sodium et des phosphates alcalins.
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