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FRANCE

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rnsuito. elle tomba exclusivonu-nt

classe moyenue, de fortune mé-

riOro u’interviat qu’à certains jours

Anne tri es de U France , •ou» Louis- Philippe.

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■oii^ i : diocre , U cla&.s«’ de crise ; U Consii tuante lui reTusa la liberté d’association. Napoléon interdit les coalitions vies ouvriers ; il leur imposa l’obligation du tivrrt.

La révolution de 1830 fut opéréo d" concert par la bourgooisio cl les ouvriers ; mais colle-U tii prévaloir son idéal de monarcbie parlomeniairt’ et libérale : ■ la meil leure des repu bl iqnos • , affirmait La Paye i te.

Or, durant les dix-huit années do la mooarchio do Juillet, l’industrio achève de changer de caractère. Aux potits ateliers se substituent d’immenses chantiers, vers lesquels commença U migration des travailleurs ruraux ; les campagnes commencèrent à so dépeupler au profit des villes, cil so forma une classe ouvrière de plus en plus nombreuse. Par la force dos choses, elle so trouva soumise à toutes les vicissitudes de l’industrie, à la concurrence entre patrons et mémo entro nations, aux varialions du solaire, aux cbémages.

La loi do 1841 réglementa le travail des enfants et des femmes. Mais la classe ouvrière connut do grandes souffrances. Elle en rendit la monarchie responsable : d’oil la fréquence des grèves, des émeutes, comme celles de LjOD (1831 et 1834) et de Paris (183 ! et 1834). Contre l’aocien tiers état so dressait un quatrième état. Des théoriciens apparurent, condamnant l’organisation sociale, opposant los souffrances du travail à l’égoïsmo du capital, satta<|uant au principe do la propriété et imaginant les solutions les plus diverses aux problèmes sociaux : los uns coUectivitte» , comme Saint-Simon. Fourior, Louis Blanc : les antres anarchiêt€$. comme Proudbon.

La liévoltition de tS4S : suffrage universel. A la fin do 1847, la monarchie do Juillet était monacco par trois groupes d’adversaires : l’ceux qui prenaient une réforme électorale et une orientation plus libérale do la politique ; S* ceux qui projetaient de substituer la république à la monarchie orléanisto : 3* ceux qui no voyaient dans la ré-

Î>ubliquo cllo-mémo qu’un moyen pour obtenir la transormation totale do la société. Ce sont les premiers qui commenceront l’agitation par les • banquets réformistes • ; les seconds poussèrent la révolution du 24-Février iusqu’au point où la Képubliquo fut proclamée à l’Hétef do ville, le sutTrago universel établi ; los troisièmes no so tinrent point pour satisfaits : sur la révolution républicaine bourgeois© ils tentèrent do greffer une révolution sociale : d où les journées de juin 1848.

RéduiLs à rimpnissanco par la mise en vigueur do la constitution de 1818. ils virent avec indifférence l’élection do Louis-Napoléon ; r|nand la Législative, par la loi du 31 mai 18^0, dépouilla du droit de voter un grand nombre d’ouvriers , ils en conçurent contre elle une rancune qui no pouvait prodtor qu’au princo-présidont. Lorvfue colui-ci opéra lo coup d’Ltat do décembre 18.’»1, en proclamant que le suffrage universel était rétabli, une faible partie dos ouvriers de Paris prit part & la résistance. Lt Mceond Empirt. Dans la Constitution que le princo-

SréiH’^nt. rit ’ian !ionner par un • plébiscite ■. il lui suffit t’ ' ’ l’our quo l’Empire fût rétabli.

11 r lomperour. un Corps légis-

■ -’■"--"" un Conseil d’Etat - iMt. Toute li- • n, fut sup-

pr ;; -■ 1. > [.t été déci-

mées par i uh ;^ . l, ;s républicains dépor-

tés, les monar s leurs espérances du

t4-F'WTi>*r. l’"- ;n lustriols séduits par

le - limé d’avance par

la ■ pape.

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dai :.t ravis que

l’on .i.-’ V chemins

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loi "’es.

En l^’T. il j.ros.vita ’Hi [.r-^j’-t ’ir lu ; sur In v’.ii’-- ios invalides du travail : les grands travaux do Paris usï^ainirent les quartiers laborieux.

I^l troisi/mr Ht’puhliqu/’ : répuhlicainn rnodér’h. ri/iimur. Moevthtfes. I>a révolution du 4 septembre 19 ;^-^ iht stjri"i* une insurrection du sentiment national ; prcsqu» t.>iuo«^ l>^s classes y coopérèrent ou l’acceptèren. La tr’) ;si^me Uépublique na>']uil. À la guerre allemande suTé.ltTf nt l’insarrcctioD de la Commune, puis la répression do mai I87i. Peu d’idées pratiques so tirent jour, pendant les deux mois de la dictature socialiste. Vaincu, le parti s’effaça.

la

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’ r,f’]rf]

, 

Armoiries de la France, sous ta troisième République.

pendant que, dans l’Assemblée nationale, entro républicains et monarchistes, se discutait la question do la forme du gouvernement. La conslituttoa de t8 ?s donna raison aux premiers.

Los républicains, victorieux, se divisèrent en modérés et radicaux ; ceux-ci liront, A diverses ronrises. figurer sur leur programme la séparation de l’Egliso et do l’Etat, l’impôt sur lo revenu, etc. A la gauche des radicaiu so reforma et grandit lo parti socialiste.

Los assemblées de la troisième KépuMiquo ont voté nombre do lois, corollaires du sufl’rago universel : los lois sur l’armée, les lois scolaires, qui établissent le service militaire obligatoire pour tous, l’instruction primaire obliuatoiro et gratuite. Elles en votèrent qui inléressont au plus haut point lo • quatrième état » : sur la mutualité, sur uno nouvelle réglementation du travail dos enfants cl des femmes, sur la constittition dos syndicats ouvriers (issi), sur los accidents du travail (18*J8].

Conrhtsion, Ce qu’il faut retenir de cette évolution opéréo à traversées ûgos par la nation française, co sont los résultats suivants. La nation, morcelée ù l’époqiio gauloise en tribus et en clans, à l’époquo féodale on soigncurios ot on baronnios, a fini par former un tout. La monarchie a fait son unité, la Révolution l’a achevée. Pour fonder celto unité, à l’cncontro des nations rivales, il a fallu un pouvoir central très fort, qui, sous Louis XIV, la Convention, Napoléon, a corlainenient abusé de sa prépondérance, et qui a dû onfïn céder la place, d’abord à. des monarchies parlementaires, puis à uno République démocratique. Le travailleur a conquis peu à pou la liberté personnelle el la propriété, puis, par la révolution do i"S9, l’égalité politique ; parla révolution do 1848. la garantie du suffrage universel ; par l’instruction universellement répandue, l’émancipation intoUectucllc. C’était la classe la plus nombreuse : ollo a fini par absorber toutes les autres et dovooir la véritablo souveraine de la Franco.

— BiBLioGR. : Généralilés : Monod, Bibliographie de l’histoire de /Vanc* (Paris, 1888) ; Micheloi, Histoire de France (Paris, 1847-1867) ; Henri Martin, Histoire de France (Paris. 1833-1836) ; Dareste, Histoire de France (Paris, 1868-1873) ; Lalanne. Dictionnaire historique de la France (Paris, 1875). — La Gaule : Salomon Reinach, Catalogue du mus^e de Saint-Germain (Paris. 1889) ; C. Julllan. Gallia (Paris, 1892). — Moyen âge : Fustel do Coulangos. Histoire des Institutions politiaues de l’ancienne /’rnnfc (Paris, 1875-1892) ; Augustin Tliierry, Hi’cits des temps mtfrovingiens (Pans, 18iO) ; Luchaire,/7j’«^oire des Institutions monarchiques sous les six premiers Capétiens (Paris, 1883) ; Manuel des Institutions françaises, période des Capétiens directs (Paris, 1892) ; Flach, tes Origines de l’ancienne France, le régime seigneurial (Paris, 1886-1893) ; Luco. la France pendant la guerre de Cent ans (^Paris, 1890-1893). — Temps modernes : Ranke, Histoire de France pendant les xvt» et xvii* siècles (Paris, trad. fr., 1854-1889) ; Tocquoville, l’Ancien régime et la Hévolution (Paris, 1857). — Hévolution française : Taine, les Origines de la France contemporaine (Paris. 1875-1894) ; Sorel, l’Europe et la Hévolution française (Paris, 1885-1892) ; Aulard, Etudes et leçons sur la Hévolution française (Paris, 1893-1897). — Le XIX* <i**c/e ; Thiors, Histoire du Consulat et de l’Empire {Paris, 1845-1869) ; do Violcastol, Histoire de la lifstaurntion (Paris, 1860-1877) ; de Vaulabclle, Histoire des deux liestauratinns (Paris, 1874) ; Thuroau-Dangin, Histoire de la monarchie de Juillet (Paris, 1884-1892) ; Louis Blanc, Histoire de dix ans (Paris, 1877) ; de La Gorco, Histoire de la seconde République française (Paris, 1887) ; Histoire du second Empire (Paris, 1894) ; Denis, Histoire contemporaine (Paris, 1997-1899).

— VIII. Linguistique kt LrrrfiRATfRE. — Linguistique. La langue française est moins la lïUo du latin que le latin lui-même, modifié par uno évolution, naturellement très complexe ot souvent déviée, d’une vingtaine do siècles.

I.O latin, transporté en Gaulo, d’abord par los légionnaires de Domitius Ahonobarbus ot do Licinius Crassus (121 118 av. J.-C), puis par ceux do César (58-51), constamment renforcé par l’afflux des soldats, des colons et des fonctionnaires, avait complètomont triomphé do la langue gauloise, vers lo iv* siècle de notre ère. Il no lui avait emprunté qu’un petit nombre do mots, tous substantifs, désignant des oinets propres au pays, dos plantes ou des animaux. Il différait pourtant très profondément du latin do Cicéron et do VirKÎlo. parce qu il était ta langue non des savants et des écrivains, mais celle du peuple, qui tendait do plus en plus à s’en distinguer. Au cours dos iv* et V* siècles, cette langue fut notablement modifiée par l’invasion des dialectes germaniques, principalement de celui que parlait la plus puissante des tribus envahissantes, celle des Francs S,aliens. L’influence germanique fut marquée par l’emprunt d’un grand nombre do mots, consistant surtout on termes de guerre et do droit, en noms d’armes, d’ustensiles, d’animaux ot do plantes. La disparition presque totale do la culture romaine et des habitudes littéraires aTéléra l’évolution, si bien qu’au vu’ siocio, lo callo-roman so distinguait non moins nettement du latin écrit que des idiomes germaniques ; on no peut se faire uno idée de cet idiome quo par des inductions fondées sur les fautes <I’ie commettent les auteurs essayant d’écrire le latin litt. -raire et derrière lesquels on aperçoit la langue usuelle bas latinV A partir du ix* siècle, des textes do plus en plus nombreux rendent possible l’étude historique de la langue franrai^o ; ceux du x* sont déjA plus étendus ot de provenance plus variée. An xi’, enfin, commence la magnifique ofrtorcscence do la littérature, en ce pays. Du xt* au xiv», s’étend la période do l’aucien français* : la langue littc-

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raire, qui se confond avec lo francien ou dialecte de l’Ilede-France, pourvue d’un vocalisme riche ot délicat, d’une flexion variée (où persistait la déclinaison & deux cas), d’une syntaxe très souple, d’un vocabulaire déjà onricbt par les emprunts au latin écrit, était dès lors capable d’exprimer toutes les nuances do la ponséo ; elle a produit do véritables chefs-d’œuvre, ot, si le nombre n’en est pas plus grand , la faute en est non à elle , mais à ceux qui l’ont maniée. I^ période du moyen français (xiv*-XV

  • s.) est caractérisée par l’offacoment do nombreuses

nuances phonétiques, la simplification do la flexion et surtout par un notable enrichissement du vocabulaire, dft à dos emprunts faits aux langues classiques : les traducteurs et les écrivains politiques du temps de Charles V et do Charles VI y versent & pleines mains les mots latins et grecs, dont le nombre s’accroîtra dans la première moitié du xvr siècle, au point quo la langue se transforme sous la plume de certains « rhétoriqueurs » en un véritable jargon. C’est alors qu’apparaît la période souvent encore gauche et lourde, entre les mains des imitateurs maladroits’do Cicéron. La langue vulgaire, bornée jusque-là aux œuvres d’amusement et do vulgarisation, restait dédaignée des penseurs et des savants.

La Pléiade, dans un élan de patriotique enthousiasme, proclame ot démontre parl’oxomplo ses qualités poétiques, tandis que Calvin, puis La Boette ot Montaigne, la hnussenl jus([u’à la spéculation philosophique <■ j ’ ^’ , ;

les hardis ouvriers qui s’ingénient à 1’ r " illustrer » avaient plus de zèle que h < i

Frunts au latin et au grec étaient à peint’ riir ;iycs par appel fait aux dialectes provinciaux, anx langues étrangères, notamment à l’italien et, plus tard, à l’espagnol ; aussi la confusion, vers la un du siècle, étaic-ello extrême. C’est alors que b Malherbe vint », qui procéda, non sans quelque brutalité, à l’expulsion des éléments étrangers. Cette œuvre d’épuration fut reprise par l’Académie , au nom de l’unité ; par l’Hôtel de Rambouillet, au nom des convenances ; par Vaugelas, enfin, lo scrupuleux secrétaire du <• bon usage ■> et ses nombreux disciples. Do ces efforts combinés sortit cette langue ferme, précise ot noble, mais médiocrement riche et variée, qu’écrivit l’école classique. Lo xviti* siècle, si hardi en toutes choses, fut. en fait do langue, assez timide ; novateur dans la syntaxe, il est, on ce qui concerne le vocabulaire, extrêmement conservateur. Rousseau, le premier, revendiqua la prééminence do la penséo sur la grammaire ; Chateaubriand rendit à la prose l’éclat et le coloris ; enfin, lo romantisme abolit la distinction des termes nobles ot bas ot renouvela le vocabulaire, en mémo temps que lo rythme et lo style. Le progrès des sciences et l’iniiltration des littératures ou des arts des pays voisins avaient, dès lo xviii" siècle, versé dans la langue française uno foule do mots étrangers ou savants, dont le nombre s’est immensément accru depuis, doublant presque le vocabulaire classique. La langue française, malgré cette richesse excessive, qui ne va point sans quelque bizarrerie, conserve néanmoins ces qualités de clarté, de précision et d’élégance qui en ont fait, selon le mot de Rivarol, une langue " humaine ■•, et le prestige de la littérature française reste ce qu’il était au moyen âge et aux xvu’ et xviii’ siècles.

— BiBLiOGR. : Ampère, Histoire de la formation de la langue française (1869) ; Littré, Histoire de la langue française {Z) ; A. Brunot, la Langue française dans l’histoire de la langue et de la littérature françaises ; Nyrop, Grammaire historique de la langue française (1899).

— Littérature. Des origines à 1453. Première période : Les origines. Les plus anciennes œuvres en langue d’oïl, composées par des clercs pour l’édification des fidèles, n’avaient pas do prétentions littéraires et doivent étro surtout considérées comme des • textes do langue » ; co sont : la Canlilène de sainte Eulalie (tin du ix» s.), lo Poème (auvergnat) sur la Passion, et celui sur saint Léger (fin du X» s.). C’est dans los œuvres profanes que so traduit le mouvement dos esprits et oue so peignent les mœurs. Dès l’origine do la langue, les doux variétés essentielles do toute poésie sont représentées. De la poésie lyrique, formée do strophes très simples et très courtes, destinée à régler la dauso et surtout consacrée à la peinture de l’amour, il no nous est rien resté. La poésie épKjuo elle-même, encore à demi lyrique, était dès lors en pleine efflorescence : c’était un legs des races germaniques aux pays qu’elles avaient conquis et qui devaient les civiliser. Les œuvres los plus anciennes que l’on ait conservées trahissent déjà des symptômes do décadence : elles appartiennent en effet au xi* siècle finissant , ot la plus ancienne inspiration épique remontait à l’époque mérovingienne. Il y avait eu des chansons épiques, dont diverses chroniques nous ont conservé uno pâle analyse, sur Clovis, Dagobert, Clotairo II, Charles-Martel et Pépin le Bref ; mais c’est surtout lo règne triomphant de Charlemagno qui donna lieu à uno incomparaldo production épique. L épopée, ossenliellement monarchique sous lo règne du grand empereur, se fit, sous ses médiocres successeurs, l’écho des rivalités féodales et des rancunes des grands contre la royauté, pour revenir, lors do la restauration monarchique* des Capétiens, à son inspiration primitive : ce sont ces vieilles œuvres des viii’. ix* ot x* siècles qui, sans cesse remaniées, altérées do façon i devenir méconnaissables, défrayeront jusqu’au xv» siècle la hauto poésie du moyen âge.

Deuxième période : De 1060 à la mort de saint Louis{fS70). Cotte période ost la plus brillante et la plus féconde do la littérature française médiévale ; nous y voyons so développer ot s’épanouir abondamment les gonrer d’imagination et nous y assistons à la naissance et .’m ; : rapides progrès do la littérature didacti(|uo ou scie : i . pie.

A. Poésie naubativr. Lo genre caractérist :’,uo de cette période est lépopéo nationale. La tradition historique y est, au début, encore vivante et l’inspiration sincère ; aussi los spécimens, très peu nombreux, que nous a laissés lo xi’ s. {Chanson de Roland, Pèlerinage de Charlemngnc), prouvent que les chefs-d’œuvre ont dû n’y étro pas rares. Bien des œuvres du xii* siècle sont encore remarquables par la mile simplicité du style et l’énergique peinture des mœurs féodales. A partir do* 11G5 environ, lo genre épique tombe dans une décadence dont nous no pouvons ici esquisser l’histoire. (V. chansons i>e geste.) — Dès lors, en effet, la vogue commençait à lui être disputée par los contes merveilleux venus d’Armorique et d’Angleterre, dont lo prodigieux succès est un des phénomènes los plus notables de l’histoire littéraire européenne : les formes les plus