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fureur. Il Air trivial, banal : Vin fait de musique, U peuple préfère les flonklons. Les klonflons d’une fête foraine.

FLONGER Ijé. — Prend ua c après ïo 7 devant a ou o : Nous /îoNi/fOHS. Il Hont/ca) v, n. Tituher : AVfe se mit à ronfler de faiitjue, en duo avec l’âne qui dormait debout, FLON-GHANT sur ses jambes flageolant a s, (J. Kichcpin.)

FloOD {Ilcnrv). homme d’Ktat ot orateur irlandais, nô ou 17^2, mort’â Farmloy (comté do Kilkennv) eu 1791. Fils naturel do Wardou l’iood, chief- justice au banc du roi d’Irluiido, il étudia ù i’universitfS do Dublin et débuta au barreau do Londres en 1750. A vingt-sept ans, mombro do la Chambre dos communes irlandaise, il sK’goa dans l’opposition. Fort ôloquont. ardent nationaliste, il jouit d’une pupularitô considr’îrablo ot fut un des meilleurs lieutenants do Grattau. Flood rit partie du Parlement anglais on 1785 : il n’y eut aucune influence, s’étaut trouvé étrangement dépayse dans co nouveau milieu. 11 a laissé quelques écrits, entre autres : an Ode on Famé (1775), ot on lui a attribué, à lui aussi, la paternité dos fameuses Lettres de Junius.

FLOPÉE ou FLOPPÉE n. f. Pop. Voléo do coups. 11 Longue suite, quantité do personnes ou do choses : Toute la l’Loi’KE des mioches suivait en ordre. (Zola.)

FLOPPER v. a. Pop. Syn. de flaui’BB.

Floovant, chanson degosto françai.so, composéo vers lo milieu du xii» siècle. — Floovant, iils do Clovis, irrité contre son précepteur, se venge do lui en lui coupant la barbe. (Un lionimo privé do sa barbo était alors déshonoré. ) Clovis, après avoir songé à taire trancher la této à son fils, se contente do l’oxilor. Floovant a, durant cet oxil, do nombreuses aventures, et échappe ù. divers périls, gràco à l’amour qu’il a su inspirer à doux jeunes princesses. Floreto, nllo du roi Flore d’Ausai (Alsace) et Mangolic, lille d’un " émir u saxon ; il épouse la seconde, donne la première pour femme au fidèle Richior, puis porto secours H son père pressé par uno armée onnomio <>i lui succède. Lo grand intérêt de co poème est d’aitester li-xistenco d’une épopée mérovingienno, qui s’était formée nniammont autour do Clovis et do Dagobort. Floovant, en effet, n’est autre que Dagobort, auquel la légendaire aventure qui ouvre lo poème est aussi attribuée dans une chronique du VIII» siècle : les Gesta Dayoberti ; lo nom de Floovant no signifie, du rosto, pas autre chose que « descendant do Clovis ». Co poème a été publié par Michclant et Guessard. : tes Anciens poètes de la France (t. I", Paris, 1838).

FloqueS (Robert de), dit Floquet, l’un dos hommes de guerre de Charles VII, mort en 14C1. Capitaine de Tancarvillo, il contribua à la conquête do la Normandie, de 1135 à ii. Il prit part à la guerre dite de la Praijuerie. Son mausolée se trouve aujourd’hui à l’église do Boisnée, arrondissement de Bernay (Eure).

FLOQUET {kè) n. m. Dimin. de floc.

Floquet (Etienne-Joseph), compositeur français, né t Aix en 1750, mort à Paris en 1785. Il fit représenter avec succès à l’Opéra de Paris, en 1773, l’Union de l’amour et des arts (en trois actes). Il fut moins beureiuc avec Azolan ou le Serment indiscret et avec f/ellé, donnés au mémo théâtre, en 1771 et 1779. Mais il retrouva la faveur du public avec le Seiqnenr bienfaisant, que l’Opéra donna, on 1780, avec un brdiant succès. Floquet fit représenter ensuite à la Comédie-Italienne, en Ï78S, la .youvelle Omp /tale. Atteint d’une maladie de langueur, il mourut sans avoir donné sa mesure. Bien doué par la nature, pourvu d’uno heureuse imagination, Floquet eut lo mallieur de se produire au momcut où lo génie do Gluck opérait des prodiges.

Floquet ( Pierre- Amable), historien français, né à Rouen en 17t)7, mort ù. Formentin (Calvados) en 1881. D’abord avocat à Rouen on (1819). Il entra à l’Ecole des chartes (1821). Il occupa près la cour do Rouen l’emploi de greffier en chef, tout en se livrant à de nombreuses recherches d’archéologie ot d’histoiro locales, et devint, en 1839, correspondant do l’Académie des inscriptions et bollcs-loltros. Son oeuvre principale est son Histoire du parlement de Normandie (1810-1843). Il fit, d’autre part, sur liossuet. une série d’études qui, aujourd’hui encore, fiint autorité.

Floquet (Charles-Thomas), avocat et homme politi <|ue français, né à Saint-Jean-Piod-do-Port (Basses-Pyrénées ) en 1828. mort à Paris en 1896. Sous lo second Empire, son opposition au régime s’affirma, dans la presse, Sar uno collaboration active au «Temps*, au «Courrier Paris ", au « Siècle » cl, ù.

la barre, à l’occasion do procès politiques retentissants : procès dit • des Treize » , procès Victor Noir, etc. Très on

vue parmi les adversaires do

l’Emnire, il so vil attribuer

l’exclusive responsabilité du

cri : • Vivo ta Pologne ! <>,

2ui, on juin 18G7. au Palais

o justice do Paris, accueil-

lit l’empereur de Russio ,

Alexandre II, hùto do Napo-

léon 111. Après le . septem-

bre 1870. il tut nommé adjoint au maire do Paris ; puis, lo

8 février 1871, député de la

Seine àl’ Assemblée nationale. pendant la Commune, il cher-

cha à éviter la guerre civile

Sar la fondation de la « Ligue d’union républicaine des roits <ie Paris». Il fut ensuite membre et président du conseil municipal de Paris, député du XI" arrondissement,

{iréfet de la Seine en 1882. Do 1885 ù. ISSS, nrésident de a Chambre des députés, Floquft se montra digne de ces hautos fonctions, Lo 31 mars isss. il devenait président du conseil et ministre do l’intérieur. Il eut alors à combattre le boulangisme et prépara la résistance contre co parti. l)ans un duel célèbre (13 juill. 1888). il blessa grièvement le général Boulanger. De 18S9 à 1893. il reprit la présidence de ta Chambre. En septembre 1893, à la suite de violentes polémitiues do presse, exploitées par ses aUver^^aires politiques, il no lut pas réélu députa du XJ* arrondisse- )nont ; mais, dès lo 7 janvier suivant, il était, au premier

IV.

Floquet.

tour do scrutin, nommé sénateur do la Soino. H avait une éloquence chaleureuse.

FLOQUETER (ke. — Double le t devant une syllabe mu’.'ite : -A ; (hoquette. Il floquettera) V. a. Orner do floquets, de rubans en fiocous.

Se floqueter, v. pr. Charger ses v6tomoDts do floquets ou d’ornemeuls en forme do flocons.

Flor (Roger dki, aventurier d’origine allemande, né à Bntidisi vers 1262, mort en 1305. Fils d’un grand faucunuif’r do l’empereur Frédéric II, il entra dans l’ordre du Temple, guerroya en Palestine, se trouvaau siège do Saint- .Jean d’Acre, où il fut accusé de s’être approprié une partie du trésor do son ordre ; dénoncé comme voleur et apostat, il se mit au service de Frédéric d’Aragon, puis de 1 empereur Andronic. attaqué par les Turcs M303 passa en Asie avec uno petite armée {I304j, battit les Turcs en plusieurs rencontres, s’empara do Cyzique, d’Ancyre, de Philadejphie, et revint à Constantiuoplo. Andronic l’élova a la dignité de césar, et lui donna sa nièce on mariage. Comblé d’honneurs et de richesses, il finit par cxcitorla jalousie de l’empereur, qui l’aurait fait assassiner.

Flor (Christian), écrivain et homme politique danois, né et mort à Copenhague (1792-1875). Desservant do la paroisse do Tœilœse (1822-1826), docteur en philosophie (1825), puis professeur de langue et de littérature danoise à l’université do Kiel (1826-1845), il fut l’un dos principaux champions de la nationalité danois© en Sleswig. Il fonda en 1814, et dirigea jusqu’en 1847, l’école supérieure de Rflcding. Cette école formée par les Prussiens (1864), il créa celle d’Askov. Il a fait partie de plusieurs assemblées législatives et a laissé plusieurs ouvrages concernant la littérature et la grammaire danoises.

Flora, courtisane romaine aimée du grand Pompée. Elle refusa les promesses folles de Geminus. ami de son amant, qui s’était épris d’elle jusqu’à ta passion. Pompée, ayant appris l’amour de son ami pour sa maîtresse, pria celle-ci de ne point le rebuter. Flora céda donc ; mais alors. Pompée so dépita et l’abandonna. Ello fut aiméo aussi de Cecilius Metellus, qui ne craignit pas de consacrer son image dans le temple de Castor et PoUux.

Flora ou la Flore, tableau du Titien (musée des Offices, à Florence). — Ce tableau est le portrait d’uno femme l>londe, jeune et belle, ayant beaucoup de ressemblance avec la Femme à sa toilette, du Louvre, connue .sous le nom de la Afaîtresse du Titien. Ici, le personnage a un décolleté tout mythologique ; un de ses seins est à découvert ; l’autre se dessine sous la chemise, seul vêtement dont elle soit en partie voilée. Elle tient des fleurs dans la main droite, d’où lui est venu le nom de Flora, sous lequel on a coutume do la désigner.

Florac, ch.-l. d’arrond. de la Lozère, à 22 kilom. do Monde, au pied des formidables falaises du causse Méjan,

surloTarnon ; 1.947 hab. {^Floracois, oises.) Source du Pécher ou du Vivier, vraie rivière en temps pluvieux et roulant alors en cascades tumultueuses. Plomb argentifère ; corderies, coutellerie, tanneries. Ancien château servant do prison. — L’arrondissement a 7 cant., 52 comm. et 31.525 hab. ; le canton, 9 comm. et 7.276 hab,

FLORAISON n. f. Syn. de fleuraison.

FLORAL, ALE, AUX (du lat. flos, /loris, fleur) adj. Qui appartient à ta fleur, qui a rapport à la fleur : Organes FLORAirx. Enveloppes VLOÏIM.ES. Feuilles florales.

— Par ext. Qui concerne les fleurs, qui a rapport aux fleurs : Exposition florale.

— Encycl. Hist. littér. Jeux floraux. V. jeux floraux.

FLORALIE {It — rad. Flore) n. f. Solennité florale, exposition horticole qui est comme une fôte en l’honneur de Flore.

FLORALIES {lî — en lat. floralia) n. f. pi. Fôtes en l’honneur de Flore, qui so célébraient au printemps, à R01110 et dans tes environs.

— En’cvcl. hcs/loralies avaient un caractère champêtre, populaire et qui devint rapidement erotique. Ou poursuivait à la course des animaux lascifs, comme la cnèvre et le lièvre ; on se jetait des graines de toutes sortes, svmboles de fécondité ; les femmes so paraient d’habits "bariolés, etc. A partir do 173 av. J.-C, il y eut en l’honneur do Flore des ieux do cirque qui finirent par durer sLx jours. du 88 avril au 3 mai. On y joignit des représentations théâtrales. Ces fêtes étaient remarquables surtout par leur excessive licence. On connaît l’anecdoto de Catou d’Utique quittant les floralies pour ne pas gêner la joie dos spectateurs, à qui sa sévérité en imposait.

FLORAN (pour florant — rad. fleur) n. m. Pilo qui sert au raffinage de la pâte à papier.

FLORE (du lat. Flora, déesse des fleurs) n. f. Ensemble des plantes, de la végétation d’un pays : La flore française .

_ Encycl. Bot. L’étude systématique des flores régionales est une science d’origine encore récente. Prcssoniio par ButTon, fondée par do Humb< :)ldt, elle a dû ses procn-s. en France à de Candolle, en Allemagne a tirisebab. et. plus récomment, à Drude. l^a flore est d’un extrême intérêt, aussi bien au point de vne botanique proprement dit qu’au point do vue géographiauo. C’est, en etret. surtout par leur végétation quo se ditl’érencient tes principales régions du globe, et c’est dans la géographie botanique que réside un des principaux éléments d’explication de la géographie humaine.

I^étude de la flore dune région comporte l’examen dos

firincipales espèces indigènes et leur distinction d’avec os lements végétaux venus d’ailleurs. La diversité dos flores naturelles est le fait essentiel qui domine toute la géographie botanique, et il faut eu chercher rexplic.-iûon dans l’histoire passée de la terre ot l’étude d«’S principales barrières physiques, qui ont empêché le développement d’une flore unique et homogène.

Par suito de la nécessité où st- trouvent les végétaux do s’adapter au climat sous lequel il^ vivent, au moyen d’an certain nombre do dispositions nn ::iiii’|uos destinées à leur permettre de résister au froid -vj a la sc-heresse. lensemblo de la végétation prend wïu- iiii sionomio particulière, indépendante do la personnaî :’- • des eMièccs. et les associations de plantes constituen’. nous des latitudes différentes, des • formations » identiques : forêts, maquis, steppes, sigoiticatives d’un même climat. Co sool les for-

mations

mêmes,

..,w

rée de ’

environ

nains c

et voisi

2’ At ;

FLONGER — FLORE

n. plus encore que les espèces elles-

intefi.

,1 .,.r..^ nr,...(,-ich, lo tableau dos

principalement

au 5>ud, dat.s lordru suua

3* Le domaine méditerr..

climat chaud et sec. Les vtj„

leur feuillage s«î durcir et s’amaigrir pour JiucUA i-rsiaUf a l’évaporaiion. Le pin .maritime, I oranger, le palmier nain, sont les principaux représentants de cette vi-l-’-' ■ t ■manente, dé%-eloppéo plus volontiers en b. forêts, et dont les formes «se rptronvcnt. da Orient, sur tes côtes 1

4* Les flores des ■■

régions soumises â ■

Selon lo dcL’ré ot la d’if ■

succéder les steppes à lt

neuses et satines. Dans It’^ - .i

rare et exclusivement buis-»oiiiitu.it ;.

5" Knfin, à la région des pluies tropicales correspond en Afrique, en Asie et eu Amérique, une zone de savanes. puis de forêts épaisses, luxuriantes, oii les lianes et tes vpiphijtes de toute sorte encombrent les troncs et les rameaux des grands arbres. La grande forêt brésilienne est le tvpe do ces formations.

flore de France. Sous co titre et celui de Flore française ont été publiés divers »ravaux imporunls sur la végétation spontanée de la France. Co sont, par ordre de date :

l» l>amarck et de Candolle. Flore française. Les deux premières éditions sont dues à Lamarck seul. 1^ troisième édition fut faite en collaboration par Lamarck et de Candolle et parut sous le titre de Flore française on ffcrcr’ption de foules les plantes oui croissent naf France (Paris, 1805-1815). Cet ouvrage rema : >

première Flore où tes plantes indigènes s j >

avec la rigueur et ta précision scientilîques voulues ;

2« Grenier et Godron, Flore de France (Paris, 18*8- 1856). Ce travail, beaucoup plus complet que le précédent est encore le rade-mecum des botanistes actuels, quoiqu’il soit épuisé depuis longtemps :

3» Kouy et Foucaud, Flore de France (Rocbefort, 1894 Cette Flore donne la diagnose complète de toutes les espèces françaises avec de nombreuses localités et la distribution géographique de chaque espèce,

•t" Gaston Bonuier et de Layons. ^Yore de France (Paris, 1894). Ce qui distingue cet ouvrage de tous les précédents, c’est la disposition des espèces en tableaux synoptiques accompagnés de figures bien faites qui permettent de ri^terminer facilement les plantes. Ces tableaux fj iii< ;it lo premier volume. Le second est consacré à !. i

des espèces, et variétés, et leur distribution _

v est très détaillée. Do nombreuses figurer -_^ :i’.

rintérôt du texte.

Flores locales. Les Flores générales précédentes ont servi do base à un grand nombre de Flores locales et de manuels destinés aux herborisations. Citons, parmi ces petits traités, de valeur très inégale : la Flore au centre de la France, de Boreau ; Flore de l’Ouest, de Uovd ; Flore de la Cùte-d’Or, de Royor ; Flore de Loir-et-Cher] de Franchet, etc.

— Arcbît. Flore qothigue. Au lien des palmettes. des feuilles grasses perlées, qui constituaient la flore orientale, les artistes du moyen àgo emplovèrent à la décoration des édifices les feuilles et les &eurs qu’ils avaient sous les yeux ; et. en les mariant, composèrent un art complètement nouveau. }^ flore gothique change de caractère avec les époques. Dans le principe, de lUO à llSO, les artistes s’attachent à imiter les plantes des champs au moment où elles so développent. Ainsi sont composés les larges chapiteaux du chœur ae Notre-Dame de Paris, de l’église Saint-Julien-le-Pauvre. du chœur deVézelay. du sanctuaire de Saint-Remy de Reims. De la flore 1 : -s

artistes passent à une dore plus «léveluppee ; ■’

développent les feuilles, et les Ilrir> ■l-^vif-’n'

Puis ils s’emparent dos ar’

gne. le houx, les mauves. i

XIIÎ’ Sièi’ !^ !a-ils les Vm_.

de nos 1

le XI v ’

niodcK’ ■ .1

sauge, la grenadiue. lo traiMcr. la mauve. ,

les fougères à larges feuilles, le chêne, lé : i

commencement du xv* siècle, les feuilles le.-- ; ;-

pées : la p.-issiflore. les chardons, les épine* ci 1 Anuoi>o sont employés pour décorer toutes les parties qui demandent à être profondément refouillees ; à ces plantes on ajoute les algues d’eaux douces ou marines, d’un modelé très puissant. A la fin du x** siècle, la flore gothique était arrivée aussi loin que possible dans l’imitation des végétaux les plus délicats et les plus difficiles à rendre sur la pierre ot sur le bois. L’ornementation des xv». xvi*. xvii* et xmi* siècles ncst guère qu’un mélange do ces formes avec les modèles de la décoration architecturale antique.

Flore latine des dames et des gens du monde,

par Pierre Larousse. V. flkcrs latines.

Flore, très ancienne divinité de l’Italie centrale, qui présidait a l’épanouissement des fleurs au printemps. Son nom en langue osque était Flausa. Kilo était uno des dctizo divinités que l’on apaisait par des sacrifices **’ ■ " ■-.

lors de quelque événement extraordinaire. ^ ^

célébrait surtout au mois d’avril, parmi d a nies destinées X appeler la protection des dieu . -.1. .^^c^- ^ culture. Elle .ivait un temple surleQuirinal, ot un flamme desservait co temple Kn ? ?s .iv. J.-C s^^n rnl’*» fut modifié, cl elle oit Mil • ’ "■= avril. Celte date riovint -- ’^ J**"^ furent célébrés cha , ’•^- ^ • floralies.

C’est à tort qu’Ovide et, à sa suite, d’autres mythologues ont identifié Flora avec la Chloris des Grecs et lui font par là contracter mariage avec Zéphyro. Uno

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