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FLINOUER — FLONFLON

rLlHOUBR ’W — da l’allpin. flmktn, m^mo ««ns ; do ^ :, ■ _, . . l’unp pt^ce doKAvrorio «luidoU

r .Ko taillor lo chAmp do coups

■• ^Prusse [Silésir]), près ..... .. : ilo la Bober ; 1.765 nab.

-s ot t’crrugincuses.

imI. Svn. do SILKX PTBOMAQUB.

! tnnia- 

X’.'j’..

FUns

..liiulo : W’I-I irmiipés.qut

. lu. IX il n.^

.ui irtNs in^(>nioiix :

i luilo dr lu Aofrtii-

,r louvino do l^iis-

l • II. nKilcr<* son suo-

de la •• ’ •’ Sour-"’"» nu

rUNT H. ni .

FlinT. Ville do» Kuiâ-L’nis (Michigan), ch.-l. du comtô do r>o()ossr, 5ur lo /Vinf Jtifer, à l mlcrsoctioD do doux lignos do choniin do for, lo.OOû liab.

Flint. comiti mariumo de la Orando-Breta^oo (pavs do (î-i :!o-.’. sur la m-^r d’Irlande. Il se compose do doux j,,t . !’ Denbigh : la plus grande

.1 .Tiioio : 68j kiloin. carr. :

> i^iies (jui traverse le comté

,■ ,,u. .> do i'Umt> Il autres motaiix. Le pays,

surtout cunsacreùlelevago. Les indusir’ies

sl ^, atiou dos Dîmes, la fabrication d’étotfe» do

cotuo «t ia préparation du sel maurio. Cb.-l. Motd ; villes : FliDt. i>aint-A&aph, UolywoU.

F ; le de la Graude-Brotagno (pays do Galles

it]>, & lembouchure de la I)oe* : 5.000 liab.

I , ’ccntri d.^ min-’S de honiUo et do plomb.

II ^ chimitiues. Kliiii possi ?* !© «-. . 1 cbàteau otl Richard II f ; . ,1 couronne â Henri IV. Aciut-i’ooient, Fl<ii(i>ort do port auxiliaire à Chesior.

Flint, nvtAr» do« Ktat<t-l>Dis, qui commouco dans

r ..-....__ iio au sud. s’unit au Chai-

t , f-bicola, après 480 kil. do

En amont, les rapides no

per-ii ;• :.’ v petits bateaux.

FlihTT ! ••- |ue et littératour améri-

^sachusetts) en 17S0. mon

les v.i :

1815 à itinérant.’ York ».u 1 faut nt.T // the M thr FlIN

tnu : * ii^u.il fut pa.stour & Luenburg la suito do discussions politit^ues. il se lit missionnaire ot se rendit dans -issipt et do rOliio, où il travailla de -ar sa santtS. de renoncer à cette vie I Est et finit par so fixor à Newi’R'oup d’essais et de romans. 11 .’(•» ! yctirs paxted in tfieiaUey of ( ■niienteii groijraphy and hi$lory of ■I thf MissiJttpi vaUey (1828). .. , médecin américain, né à Potersham ts) on Iftlî. mort & New-York en 1886. Il do l’hôpital do Bellovuo à New-York et pro-

’ ' ,- le médecine pratique. Il faut ci-

!’■ et pratifjug df nn^decine (1886) ; 

,-/FHr (19j9j ; Dt laphtiêie ; ana-

Flint .■■ricain. fils du précédent,

né i .^ , iN-’iii) en 183G. Après un

voyage ciÉ Ltirop.., il mi iiuiuiné professeur do physioloi-ie ik 1 iiui-ital d" B<’Uevuo, à New- York. Son principal ouvrage est uno i’hysiolotjtc deihunitne (1860-1874).

Flint ïKoborti. philosophe anglais, né dans lo comté

de î>amrr-’*s K-ov^f) en 1838. U fut appelé à l’université do

> 1 t . puis À colle d Edimbourg (1877), et

I ndant de llnstitutdo France. Son ou-

1 en 1874, est intitulé : the PhHoMopht/

• and Ctrrmauy. Cet ouvrage, traduit en

VU’ Carrau. a été remanié dans une

l'>nt le premier volume est consacré à

la t’rajicc, la Uelgh(Ue ot la Suisse. Flint est ncitomoni

opposé au fatalisme hisiori’juo sous toutes î»es formes. Il

H I 11’. I.- .>n É.Mtr.. ,i..iiï libres do philosophie religieuse :

— ricea sur les preuves de l’exis-

■ tuheUttc rAcoriM (1877), confé-

i-- • ■ -• <.)•- !•- io.lL. iialusme, le positivisme, lo sécu-

Unsme, le possimismo oi lo paotnéiame. MontiODcoos

mé de flint, silex, et glna», i ba*^ de plomb, doué do

! plus considérables que 

•le potasse. (On l’emploie

lits d’optique
tout comme

i.onncr les lunottes achro-

malliJUOS. ; V. ArtlKOMATLSSIK.

PMîfî r( m. Tt-tt* p-^r 1ef|tiol on désigTio les fichistes

— ■ T.isnien de Wesl-

, iiioo de 300 ni.)

i __i ’w^ ., ... j,.-,-i( ;ro, mais exé-

cute eu tuii< iiuiii ^ mains.

Flipart 1’^- ! -• ivr-îr, n-* et mort ft Paris

^ Paralytique et l’Accordée

dij*r. une T- de nii :.....,... ■ :: __

rUPOT {poi n. m. Petit morcean de boi^ rapporté, pour dissimuler une fente produite a’*cidenteUement dans un ouvrage on bois, u Pièce entaillée dans les terres d’un sommier ’l'ori^ues.

FLIPPE n. f. Pop. Fripouille, voyoa.

FLIQOE n. m. Arg. V. flic.

FLIRT Iflrurt’ — mot anel.) n. m. Conversation & deux ; manC’KO galant entre mondain et niondaino, où les paroles se jouent alentour des pensées d’amour et de coquetterie : te Kl (HT. r’i$i entre la femme et celui qui lui fait la cour une tu ’ ' ’■-. un état d’Ame viigunttent d’^licieiix et dant/f-

— , rfsiifde la vertu a la faute, avec arrêt facul-

! . . it-t étalions mtrrmédiatres. (Paul Ilorvieu.) 

I riT>.’iJii avec laquelle on Ûirto : J’ai passé une Aeure à pa<l’-r de l’ous arec un de vos anciens flirts ; devine* lequri ?

J*. Buurget.) 

rURTAOC (tai’— rad. flirter) n. m. Liberté de rapports permise, on Amérique, entre les jeunes gens ot les jeunes tilles. II En France, Action de Ûirter.

FLIRTATION ^«i-on) n. f. Action do flirter, fréquentation familière, autorisée par les mœurs anglaises et américaines, entre les filles et les garçons destinés & étro unis par le mariage.

rtJRTER (du V. angl. to flirt, railler ; par suite, coquelet. — Le mot angl. n’a aucune parenté étymol. avec l’anc. franc- fleureter) v. n. Se fréquenter familièrement avant to mariage, commo l’usage y autorise on Angleterre et on Amérique. Il En France, Avoir un flirt avec

quelqil un. V. FLIRT.

FLIRTEUR. EUSE n. et adj. So dît dos personnes qui flirtent, qui aiment à flirter.

FlISERYD, comm. de Suède (gouv. de Calmar [dist. do HandbÔrdj) : 3.200 hab.

PLISSA ou FLISSAH D. f. Arme do main en usago chez les Kabyles et qui est une sorte do couteau à armer à lame longue, asymétrique, presque droite, à un tranchant et terminée eu longue pointe aiguë.

— Encvcl. La lame do la fîissa kabyle mesure un peu moins de 1 motro do long ; elle est ordinairement montée sur une simple poignée do bois, sans garde, dont la forme rappelle colle d’un fémur de moalon. Cette arme ne rentre pas dans la catécrorie des yatagans, mais plutôt dans celle dos longs couteaux. Elle est ordinairement accompagnée par uu poignard assez court, à lame semblable ou un pou courbe, et à monture semblable.

Flitsch ou Pless, bourg d’Austro-Hongne(prov. du Litcoral ’Corcle do Goriiz]), près de l’Isonzo ; 2.147 hab. Château fort nommé /Vi/jcfter Klause,

Flittas, grande tribu berbère de l’Algérie (départ. d’Oran). habitant entre Relizane et Tiaret, qui a résisté aux armes françaises pendant de longues années et s’est révoltée pour la dernière fois en 1864. Elle est pénétrée de plus en plus par la civilisaiioD française. — Un, une

FLITTA.

Fltz, comm. de l’Espagne (Catalogne fprov. do Tarragone, , sur l Kbro ; 2.100 hab. Carrières ûo pierres.

Flixegourt, comm. de la Somme, arr. et à 25 kilom. d’Amiens, sur la Nièvre, affluent de la Somme. Ch. de f. .Nord ; 2.892 hab. Tissage, impression et apprêt do toiles. Tourbe. Aux environsT vestiges d’un camp romain et d’une ■ chaussée do Brunehaut ■.

Flxxton, bourg d’. glctorre (comté de I.Ancastre), entre la Mersey et son atnuent llrwoU ; 5.000 hab.

Fli21E, ch.-l. decant.des Ardennes. arrond. et à ? kilom. de Mézières ; 654 hab. Vaste exploitation de cendres sulfureuses ; usines métallurgiques. Château du xvii* siècle, entouré d’un parc dessiné par Lenôtre. — Le canton a 22 comm. et 8.178 hab.

Flobecq, ville de Belgique (prov. de Hainaut), arr. admin. d’Aih, arrond. iudic de ’Tournai, sur un affluent do la Dondre ; 4.181 hab. Fabrique de toiles, tanneries.

FlOBERT, armurier français, né à Paris en 1819, mon à I-^ny i.Seino-el-Oise) en 1894. Il est connu par l’invenlion d’armes à feu légères se cliargeant par la cvilasse. auxquelles il a donné son nom et qui pormeitont do tirer

Carabloe Flobcrt

à balles dans un jardin ot mémo dans tm appartement. I>a cartouche est composée d’une capsule chargée do poudre fulminante, dont la détonation fait peu de bruit. La portée dos carabines Fiobert, du calibre de 9 millimètres ne dépasse pas 30 mètres. Depuis l’invention de Fiobert, on a perfectionné l’arme primitive, pour éviter les crachements et la projection des parcelles d’amorce.

FLOC iflok’ — du lat. flocewtt flocon) n. m. Art roilit. Petite houppe de laine de soie : Floc de drapeau, d’aiguillette.

FLOCAGE Kaj’ — rad. floc) n. m. Action d’attacher aux bonnets orientaux ou gasquets les flocons de soie qu’ils portent au sommet.

FLOCART ou FLOQDART (kar’) n. m. Coiffure de femme, en usage aux xv’elxvi* s. (Se composait d’une pièce d’étofl"o rehaussée do broderies ou d’appliques d’orfèvrerie. Il y avait des flocarls en velours, en drap d’or, à résilles, etc.)

FLOCCULOS {lussj n. m. I.4jbule de la face inférieure du cervelet, plus connu sous le nom do lobule du pneumogas^

trique.

FlocELLIÈRE (I.>a), comm. de la Vendée, arr. et û 4r> kil. de Fonteiiay, près d’un affluent de la Sèvre Nantaise ; 1.953 hab.

FLOCHE (rad. floc) adj. D Etoffe floche. Etoffe dont les fils présentent, par endroits des ^osseurs résultant d’un entraînement sunit do filaments à une seule place, n Soie floche. Soie qui n’est pas torse.

— a f. Petite houppe qui sert d’ornement dans lo cos-

I o celle que l’on attache à la partie supérieure

Sorte d’organsin  deux bouts très forts.

’, "he est fine, on l’appelle /ï/* ?/ et on l’emploie

de prri. T’-nco pour la fabrication dos résilles.)

FLOCON (du A.floccus, même sens) n. m. Petit amas de matière légère : Flocons rfe /aine, rfejroie. n Flocon deneigef Chacune des parcelles do la neige qui tombe.

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— En T. de pathol., Se dit de corps légers que certains malatles croient voir voltiger devant leurs yeux.

Flocon (Ferdinand), publicisto et homme politique fraix.Mis, né à l’aria en 18U0, mort À Lausanne on lh66. Il prit part A toutes les luttes du parti républicain, collabora tk divers journaux et lut nommé, en 1848. secrétaire, puis membre du gouvernement provisoire. Keprésoniant do la Seine à la Constituante, il fut ministre do l’agriculture et du commerce, ot se signala par une heureuse réorgunisatiou des prud’hommes. Tout en siégeant a la Monlagne. Flocon se prononça pour l’état de siège lors do 1 insurrection de Juin ; mais il demanda, peu après, l’amnistie, et fit une ardente ojipositioo au président Louis Bonaparte. Non réélu à la Législative (1849), il alla rédiger une feuille <lémocratii{ue àColmar, fut banni do Franco après lo coup d’Etat de 1851 et se réfugia à I..ausaniie,où il mourut dans la pauvreté. On lui doit, entre autres écrits : JUctionnaire de morale jésuittque (1824), pamphlet ; ÎVed U’i/»iorc (1827), roman ; Diitraction (1833) ; etc.

FLOCONNEMENT {ko-ne-man) n. m. Action de former des tloi ons ; éiat de co qui floconne : Le ploconnembnt de

su rohc. (A. Uaudci.)

FLOCONNER [fco-né) v. n. Former dos flocons, ou quelque

chose qui ressemble à des flocons.

FLOCONNEUX {ko-ncji), EUSE adj. Disposé en flocons ; qui ressemble ù. uu flocon, à des flocons : Soie, Laine klo-

CO.NNKUSK.

FlODA, comm. de Suède (gouv. de Kopparberg) ; 2.550 hab. — Comm. de Suède (gouv. do Sôdermanland) ; 4.350 hab.

FlodDEN ou FlOWDEN. localité d’Angleterre (comté do iNorthuinberland). à 18 kilom. de Berwick. I..e 9 seï>lembre 1513, victoire dos Anglais commandés par le coniio do Surrey, sur les Ecossais, dont lo roi, Jacques IV, fut tué.

FlODOARD ou FrODOARD, chroniqueur et hagio-

fraphe, né à Epernay en 894. mort en 966 & Reims. Il ovint archiviste de la cathédrale de Reims et fut chargé de diverses missions diplomatiques ; il visita Rome et il rapporta do co voyage une grande œuvre en vers hexamètres à la gloire du Christ, des premiers martyrs et des premiers papes. Il composa ensuite, d’après les chartes, une U istnire de V Eijlise df. Reims, terminée en 952, l’une des œuvres les plus utiles pour la connaissance du ix’ et du X* siècle, puis des Anyiales, qui vont do 919 à 966, fort curieuses pour l’histoire do Charles le Simple, d’Eudes, de Louis d Outremer et de Lotbaire.

Flœgel ou FlÔGEL (Charles-Frédéric), littérateur allemand, né â lauer (.Silésie) on 1729, mort en 1788. Il s’adonna à l’enseijjnement et devint professeur do philosophie à l’acadèniio de Liegnitz. Parmi ses ouvrages, les principaux, pleins do recherches curieuses, sont : //istoire de ta litU-rature comique (1784-1787) ; Histoire du cojuique grotesque (1788) ; Histoire des fous de cour (1789) ; Histoire du burlesque (1793 ;. publiée après sa mort.

FLOERKÉE {fleur’} n. f. Bot. Genre de géraniacées, tribu dos floerkees, comprenant des herbes de l’Amériquo du Nord, à feuilles altornos, à fleurs axillaires.

— n. f. pi. Tribu des géraniacées, dont lo type est la floerkée. — Une flokrkkb.

FlOGNY, ch.-l. de cant. de l’Yonne, arr. et à 15 kil. do Tonnerre, sur l’Armançon et le canal de Bourgogne ; 452 h. Ch. de f. P.-L.-M. Fabrique de ciment et de chaux, savon minéral. Belle église, avec portail du xii* siècle ; camp romain. — Le canton a 15 comm. et 6.531 hab.

FlÔHA, bourg d’Allemagne (Saxe [cercle de Zwickaul), au confluent de Ta Fluha avec la Zscliopau, affluent de la Mulde ; 2.180 hab. Carrières, houillères ; hlaturesdo coton. Patrie de Putl’endorf. Ch.-l. d’un bailliage peuplé de 80.200 h.

FloinG, comm. des Ardennes. arr. et à 2 kil.de Sedan, près do la Meuse ; 2.236 hab. Brasseries, fours à chaux.

Floirac, comm. de la Gironde, arrond. et à 4 kilom. do Bordeaux, sur un coteau qui domine la rive droite do la Garonne ; 2.517 hab. Ch. de f. de Bordeaux A La Sauve. Source ferrugineuse de Afonrepos ; fabrique do capsules ot treillages mécaniques. Situé dans l’Entrc-Dcux-Mers, lo vignoble do cette commune produit d’excellents vins rouges de côtes ot de palus dans los principaux crus suivants ; ChAteau’Labnrthe. Château- La-Molère, Château-Lacroix, Château- Montagne, domaine do Lauronne, Chateau-Vimeney, à la Souys, etc.

Floire et Blanchefleur, roman davcntures. dont on a deux rédactions françaises en vers du xiir siècle, qui comptent parmi les plus gracieuses productions poétiques du moyen âge. — Floire, fils du roi • païen • do Naplos, et Blanchefleur, fille d’une esclave chrétienne do noblo naissance, nés le même jour, s’aiment, tout enfants, de l’amour le plus tondre. Le roi Fénis. que cet amour inquiète, veut faire mourir Blanchefleur ; mais, craignant que le désespoir n’abrège les jours do son fils, il se borno à exiler la jeune chrétienne. Floire se met à .sa recherche, et, après de longues aventures, la retrouve, toujours fidèlo et pure, dans le harem du Soudan de Babylono, et la délivre. Devenu roi. il so fait baptiser, ainsi que tout son fieuplo, et épouse son amie. Ce récit, dont la parenté avoc e roman d’Ai(cn*jtin et Nicolctte est frappante, est, comme celui-ci, d’origine orientale, probablement arabe ou persane. Son succès a été très grand, à l’étranger comme en France : il a été traduit et imité on allemand, en flamand , en espagnol ot en italien.

FlokE ou Flocco, navigateur norvégien du tx» s., un des premiers qui visitèrent l’Islande. Ayant entendu

1>arler n une terre nouvellement découverte au N.-O. de Ecosse, et désignée sous le nom de (îardarsholm. il gagna ce pavs en guidant sa navigation sur lo vol des corbeaux qu’il avait emmenés et qu’il Ifteha en pleine mer. Il passa deux hivers sur lo littoral de Gardarsholœ, dont il changea le nom en tsland (terre do glace). FLONDRE n. m. Ichtyol. V. fxkt. flonflon interj. Mot sans signification propre et qu ou trouve dans quantité do refrains :

Fl"n. (ton. flon. lartra dond»ine, Gai. g^al, i :»i. Iirira AnnAé.

— n. m. ReXrain de chanson, de vauileville. d’opérette, musique qui s’y rapporte : Les klonklo.ns d’Offenbach firent