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GODIE {(II) n. f . GoDi’o do saxifragacôos, comprenant dos arbustes do la Nouvello-Caiédonio. GODiÉESn.f. pi . Bot. Sôrio do saxïfragacôos, renfermant les genres coUie, panchérie, callicome. il

Tribu d’algues

siphouoïdt^os, roulermant des alguos mannes, vertes, spongieuses, dont le genre coi/iitm est le type.

^ne codikk.

CODIFICATEUR n. m . Auteur d’un code. CODIFICATION («(-oïï — Pad. codifier) n.( . Action de faire un code, ou do rt^unir on code des lois isolées : Leibniz fil paraître un plan complet de codification sur le corps de droit rotnain. (Lorniinier.)

— EncYcl. Une véritable codification doit Hto un corps complot do lois, disposé d’aprôs un plan méthodique et systématique. Los législations primitives présentent un mélange confus do prescriptions politiques, religieuses, moralos, sociales, hygiéniques môme ; mais c’est aux juristes romains qu’on doit les premières codifications (codes Grégorien et llermogL-nien, ht^litutes deOaïus, code de Théodose). 11 était réservé à Justinien do compléter l’œuvre de ces laborieux savants. Le Co)’pus juris civilis des Romains, promulgue en 529, est le plus beau monument do coditîcatiun que lo monde eût encore vu paraître. On vit se produire, après la cliuto do 1 empire romain, des codifications chez les Francs Salions et les Francs Ripuairos, los Burgondes et les Visigoths. Charlomagno s’attacha à fondre les lois saliques et le code d’Alaric. On ne trouve pas d’autre codification au moyen âge que les Assises de Jérusalem. En Europe, avec là féodalité, les coutumes remplacèrent le droit écrit et se multiplièrent à l’infini. Mais la monarcliio se dégagea peu à peu des liens féodaux. Il faut citer, comme un progrès, le recueil des l !.’tabiisse7nents dits « de saint Louis (V. établissements), sorte de code civil et criminel, dont l’action, il est vrai, ne s’étendit quo sur l’Ile-de-France. Vers cette époque, quelques jurisconsultes reprennent avec ardeur l’étude du droit romain, et l’on voit poindre l’influence des légistes, qui devaient si puissamment aider la royauté, en cherchant la fusion do tous les droits existants, tandis quo les philosophes étudiaient la notion même du droit. Pendant ce travail des théoriciens, la monarchie fut loin de rester inactive ; de nombreuses ordonnances apportèrent d’importantes modifications dans la législation civile et criminelle. Mais la gloire de doter la France d’une législation presque complète était réservée à Louis XIV ; toutes les ordonnances émanant de son autorité constituent un vaste ensemble législatif, qui fut réuni sous le nom de Code Louis.

A l’étranger, des codifications furent faites : en Russie, par Pierre lo Grand ; en Prusse, par Frédéric II. La Révolution amena la France à l’unité complète do législation ; mais le travail de codification générale, décrété par l’Assemblée constituante, ne put être commencé que sous le Consulat. V . codk.

La plupart des nations modernes ayant fondé leur unité nationale et établi l’égalité civile et politique parmi leurs citoyens, il leur a été facile de procéder à la codification do leurs lois. L’Allemagne possède un code pénal (1870), un code de procédure pénale (1877), un code de procédure civile (1877), et un code de commerce (1871) ; une loi de 1888 a décrété la confection d’un code civil. L’Autriche, l’Italie, la Belgique, la Suisse, les républiques latines de l’Amérique du Sud ont un droit codifié. L’Espagne, lo Portugal, les Etats-Unis d’Amérique ont tenté, avec succès, une œuvre analogue. L’Angleterre elle-même, encouragée par les résultats obtenus dans ses colonies, a tenté, sans y réussir, il est vrai, de codifier sa loi commune ; mais ses lois de 1883 sur les faillites, et de 1882 sur la lettre de change, sont do véritables codes. CODIFIER (do code, et du bas lat. ficarc. faire. — Prend deux i do suite aux deux prem. pers. du plur. de l’imparf. de l’ind. et du prés, du subj. : iVoHS codifiions. Que vous codifiiez) V. a . Rassembler en un seul corps do lois, former un corps de.

GODIGORO, ville d’Italie (Emilie fprov. do Ferrare]), sur lo Podi-Volano, près dos lagunes do l’Adriatique ; 7.000 hab.

GODILLE (U mil. — de l’espagn. codillo, dimin. do codo, coude} n. m . i l Faire codille. Au jeu do rhombre,Se dit d’un joueur qui fait plus de levées quo chacun des autres, ii Payer le codille. Payer lo nombre de jetons déterminé en faveur do celui qui a fait codille.

GODILLER [H mil.) y. n . Faire codille. GODION ou CODIUM((/i-o ?n’)n.m .Genro do codiées, renfermant des alguos spongieuses, muqueuses, non foliacées, dont l’espèce la plus remarquable est lo codium hursa, qui vit sur les côtes do Franco, d’Espagne et d’Italie. CODIOPSIS (psiss) n. m . Genre d’oursins réguliers échinides, famille dos diadômatidés, comprenant des formes en pentagone arrondi, bombées en dessus, jjlatos on dessous, à zones porifôros droites, etc. (Les

codiopsis sont fossiles dans la craie.) Citons le cudiopsisdoma du crétacé

moyen : il est do la grosseur dune

châtaigne.

CODIRECTEUR, TRICEfdu préf.

co, et de dirrctrur) n. Personne

qui dirige avec une ou plusieurs

autres.

CODIRECTION [rt’^ -ksi-on

rad.

codirecteur) n. f . Diroctiou exercée simultanément avec d’autres personnes.

GODJA ou KHODJA (altération du porsan khoadjeh, vieillard, homme respoctabloj n. m . Somploio pour désigner des fun. -tiouiiaires lettrés : précepteurs, bibliothécaires, etc. Il Codja hachi. Notable, échevin. i) En Algérie. lotn secrétaire arabo dun personnage ou d’une administration. Il En Orient, Titro quo los musulmans donuent aux comnierr.-ants chrétiens.

CODUNGUE {lingh’) n. f . Nom vulgaire doti petites morues, et nut.immoot do colles que l’on capture dan.s les ports. GODOCKIA n. f . Sous-genro do lucina {mollusques lamellibranehes), renfermant les formes il pied court, A coquillo orbiciilairo, à surface ravonnéo ou troillisséo. (L’espèce type, c’idockia tifjerina, habite l’océan Atlantique.) GODOONAN, ronim. du Gard, nrrond. ot à 17 kit. do Mîmes, sur le Kliùny, affluent du Vistro, ot dans la plaine Cotinnasier.

de la Vannage ; 8G7 hab. Fabriques d’instruments aratoires ; tuileries. Grand commerce do vins.

CODOGNÈ, comm. d’Italie (Vénétie fprov. de Tréviso]), sur 1111 atlluent du rteuvo côtier Livenza ; 3.450 hab. CODOGNO, ville d’Italie (Lombardio [prov. do Milan] ), entre lo Pùetl’Adda ; 1 l .45u liab. Commerce considérable en blé, ot surtout en fromage parmesan. Manufactures do soieries ; fabriques de toiles. Défaite des Autrichiens on 17UÎ par los Espagnols, et en 1796 par les Français. CODON n. m . Genre de plantes de la famille des hydroh’iattées, renfermant une seule espèce, herbe annuelle, couverte d’aiguillons blancs, qui croît au cap de Bonno-Ksporanco.

CODONACANTHE n. m . Genre d’acanthacoes-ruclliéos, rent’erniaiiL des liorbes do la Khasie et de la Chine. CODONACHNE n. m . Bot. Syn. de chloris. CODONANTHE n. m . Gonre do gesnéracées-cyrtaudrées, renfermant des plantes à tiges grimpantes ou rampantes sur les rochers, sur les arbres, originaires de la (iuyane et du Brésil, il Section du

genre koya.

GODONANTHÈME n. m . Genre

d’éricm.’cs- sa l ;i idées, renfermant des arbrisseaux dont on fait géné-

ralement une section du genre

simochcile.

GOpONASTER (5^èr’)n.m . Genre

d’échinodermes crinoïdes,du groupe

des cystides.comprenant des formes

ÙL calice conique et ovale, tronque

en dessus, avec des impressions en forme d’étoile ; d’où leur nom. (Les codonasters font le passage des blastoïdes aux cystides.)

CODONATAIRE {ter — du préf. co, et de donataire) n. et adj. Se dit do celui à qui l’on fait une donation, conjointement avec un ou plusieurs autres.

COpONATEUR, TRICE (du préf. co, et de donatextr) n. et adj. Se dît de celui qui fait une donation conjointement avec un ou plusieurs autres.

GODONEMME(’irm’)n.m.Genrod*apocvnées, renfermant de^ arl)iistpsâ feuilles obloogues de l’Amérique méridionale. CODONIE(nî) n. f . Bot. Section du genre campanule. Syn. do FitSSOMBROMi ;, SCHŒI’FIE, wahlknbkrgie. CODONIÉES n. f . pl. Bot. Tribu de la famille des jungemiannies. comprenant le seul genre codonie ou fossombronio. — Une codoniék.

CODONOBLÉPHARON n. m . Genre de mousses, comprenant une seule espèce, qui croît sur les arbres de la Nouvelle-Zélande, où elle forme d’épais gazons. Syn. de SYRRHOPODON.

GODONOCALYX n. m . Bot. Syn. de croton, sutêbie. CODONOCARPE n. m . Genre d’arbres et d’arbustes, de la famille des phytolaccacées, comprenant plusieurs espèces qui habitent l’Australie.

CODONOCÉPHALE n. m . Genre de composées-inuloïdéos, renfermant des plantes herbacées du Kourdistan. CODONOPHORE (du gr. kôdân, Ônos, cloche, et phoros, qui porto) n. m . Antiq. gr. Celui qui portait une clochette dans les cérémonies publiques, ti Officier de garde qui portait une clochette pour les rondes nocturnes. CODONOPHORE n. m . Genre de gesnéracées-rhytidophyllées, réuni au genre paliavane.

CODONOPRASE n. m . Bot. Section du genre allium. CODONOPSIDE n. f . Genre de campanulacées, tribu des wahienbergiees, comprenant des herbes à tige dressée qui croissent dans les régions septentrionales et montagneuses de rinde.

GODONORCHIS (kiss) n. m . Gonre d’orchidacécs, comprenaiit des Iierbes do l’Amériquo antarcticiue. GODONOSTIGMA (s^jV/) n. ni. Syn. do BLKPHAROI’HYLLi :. [ i . s<’ctio[i ilii genre scyphogyne. CODONOSTOME (stom’) n. m . Largo ouverture on formo de cloche, <|ue présentent certains polypes reproducteurs dans los colonies des polypes hydroïd’es. CODOR, fleuve côtier de l’empire russe. V . Kodor. CODOSIGA n. m . Genre de protozoaires flagellâtes, com-I )renaiit des animaux aquatiques microscopiques, qui forment d’élégantes colonies ramitîées, où les individus, on formo de calices ou do cloches, se dressent sur des tiges droites. (Dans les colonies du codosiqa botri/tis, on voit des individus se détacher et nager librement, etc.) CODOURY (Aboul llocoïn Ahmed), savant musulman, né à Nissabour en 976 apr. J.-C. mort en 1037, reçut la dignité de reisdos hanéfites dans l’Irak. Il composa des ouvrages de métaphysique, dont le plus célèbre est son traité des dogmes do lianyfah : Almokhtassar A /ro(/oi(ry( «abrégé do Codoury i») , que les hanéfites apprennent par caMir. CODRE n. f. Nom vulgaire donné aux branches do châtaignier, fendues pour faire des cercles. CODRESCOU (Théodore), publicisto roumain, néot mort ù Jassy (I8iy-189»)- Après avoir achevé ses études ù Paris, il fut nommé professeur au lycéo central do sa ville natale. Secrétaire pendant quoique temps du prince Grégoire Ghyca, il so lança dans la politique, qu’il sacritta bientôt A l’amour dos lettres. En 185», il fonda la typographie Huciujnul romln, et publia les journaux XimOrnl ot Foiletonnl Zimfirnlui. Plus tard, il créa los revues littéraires Foia Familiei et liuciumul romin. Sous lo nom do Uricari, il a publié vingt-cinq volumes, renfermant les actes ot documents ayant trait ù l’évolution politi<iue ot littéraire des principautés roumaines. 11 est 1 auteur d’un Dictionnaire français-roumain et roumain-français. CODRIDES, nom patronymique dos descendants do Codros, lo dernier roi d’Athènes.—

Un, une CoDRiDit.

CODRILLOT {dri’llo [Il mil.]) n.m. Nom donné, dans cortains diqpartemonts, au pois gris.

GODRINGTON (sir Kdward). amiral anglais, né on 1770, mort il Londres on 1851. Kntré en i7H :t dans la marine, il prit part i la bataille do ’l'rnfalgar (I80.' >|, au bombardeinent do Flessinguo (1809). h roxpédition do Strachiin sur rKscaul, ù, lu dofonso do Cadix, et cunimuuda uno oscadro CODIE — COEFFICIENT

sur les côtes do Calalogno. Vice-amiral en 1821, il fut, on 1826, chargé do protégor los Grecs. U commanda ea chef la flotte combinée française, anglaise, russe, au comhatdo Navarin (1827). Les tories obtinrent sou rappel. Sir Codnngton, on 182H, devint membre du parle-mont, où il défendit la cause libérale (1.S31-1840). CODRINGTON (.sir William John), général anglais, fils du précèdent, né on 180-1, mort on 1884. 11 commandait une brigade pondant la guerre d’Orient. Il so distingua surtout i la bataille d’Inkermann, à la mallicureuso attaque du Redan et à la prise du Mamolon-Vort. Il reçut, en 1855 lo commandement en chef do l’armée, qu’il ran’iena l’année suivante en Angleterre. Depuis lors, Codrington devint lieutenant général (1856), gouvernour de Gibraltar (1859), et député do Grocnwich à la Chambre des communes. CODRIOPHORE n. m . Bot, Syn. de grimmik. CODROIPO, ville d’Italie (Vénétie [prov. d’Udino]), sur la Stella, prés du ïagliainento ; 5,000 hab. Kilature de’soie.

Ch. - l . d’un circondario peuplé de 24.500 hab. Codros, dernier roi d’Athènes (xi" s. av . J .- C), Fils de Mélanthos et descendant de Nélée, il devint roi ù la suite de sa victoire sur Xanthos, roi de Béotic. Sous son règne, les Doriens, poursuivant les peuples qu’ils avaient chassés du Péloponèso, envahirent l’Attique. Un oracle leur avait promis la victoire, à la condition de no point tuer le roi d’Athènes. Codros se déguisa en pavsan et alla provoquer la colère d’un soldat dorien, qui lo’tua. Les Dorions, désespérant alors du succès de l’o .vpédition, so hâtèrent de rentrer dans le Péloponèse. Les Athéniens conservèrent toujours pieusement le souvenir du roi qui s’était dévoué pour sauver l’Attique. Mais les eupatrides abolirent aussitôt la royauté, sous prétexte que personne n’était digne de succéder à Codros. On établit l’archontat à vie, dont le premier titulaire fut Médon, tils du dernier roi. En réalité, la légende de Codros cache une révolution politique, une victoire de l’aristocratie sur lo pouvoir royal. CODRUS, poète latin, ami de Virgile, qui fait son éloge dans la VII« églogue, et dont il ne reste rien. — Un autre

poète de ce nom, contemporain de Juvénal, avait composé une tragédie de Tlu’sée. II était si pauvre quo son nom passa en proverbe. On disait : Codro paiiperior (Plus pauvre que Codrus).

COD’yLIDE n. f . Bot. Syn. scientifique de tabac ou nico-TIANE.

COÉCHANGISTE (jissf — du préf. co, et de échangiste) a. et adj. Celui qui fait un échange avec un autre. CŒCAL, CŒCIFORME adj. , CtECOGRAPHE n. m .CŒCO-GRAPHIE n, f . V . C .ECAL, CECIFÛRME, C.ECOClRArnE,C^CO-GR. PHIE.

CŒCUM(A-om’) n . m

.

Anat. Orthographe vicieuse de cecdm.

GœdÈS (Auguste), compositeur français, no en 1840, mort fou à Passy en 1884, se fit connaître par la publication de quelques romances, chansons et morceaux do danse. On lui doit la musique de plusieurs opérettes : la Belle Bourbonnaise, trois actes (1874) ; Clair âe lune, trois actes (1S75) ; Fleur de baiser, trois actes (1876) ; le Chevalier de Lartignac, un acte (1877) ; la Girouette, trois actes (1880). Il a écrit aussi la musique d’un ballot, le Bouquet de Lise, et, avec Hervé et Raspail, celle d’une féerie, la Cocotte aux œufs d’or (1873). Enfin, il a publié, sous lo titre de Soirées d’automne, un recueil de mélodies vocales. COEDFRANK, village do la Grande-Bretagne (pays de Galles (comté do Glamorgan]) ; 3 .600 hab. Mines de cuivre. COÉDUCATION {si-on

du préf. co, et de crfuca(ion)

u. f . Education donnée en commua : La COÉDUCATION des garçons et des filles,

COËr (A-o-c/") n. m. Nom des conduits formés par un tronc d’arbre perce d’outre en outre et pratiqués dans l’épaisseur des chaussées qui entourent une saline, pour faire communiquer cotte saline avec la vasièro et le cohier. i] On dit encore couiir, et cuY. CoËFFETEAUi Nicolas), théologien et dominicain français, né à Saint-Calais (Sarthe) eu 1574, mort à Paris en 1623, était renommé comme orateur de la chaire et controversiste. Prédicateur ordinaire do Henri IV eu lt’,02. il prononça son oraison funèbre en laio.Evéquo do Marseille en 1621, il fut empêché par sa mauvaise santé de siéger dans son diocèse. Ses ouvrages (Paris. 1622) sont oubliés aujourd’hui, y compris même son Histoire romaine (1021), dépourvue de critique, mais regardée, en son temps, comme un chef-d’œuvre de prose française. Vaugelas se réfère sans cesse à lui comme à uno autorité indiscutable. COËFFETTE [ko-a -fèt’) n. t. Il Coi’/fette de mailles. Capuchon en mailles ou anneaux de fer entrelacés, dont les chevaliers du moyen ûge s’enveloppaient la tête, ot sur lequel ils mettaient le heaume au moment de combattre. COEFFICIENT (.îi-nii — du préf. co, et de efficient) a. m . .lg. t)n appelle coefficient d’un terme ou monôme la partie numérique qui précède la partie littérale : dans 3<i’î. 3 est le coefficient du terme, (truand un terme renferme «les variables, le coefficient du terme comprend l’ensomblo des facteurs qui multiplient ces variables : ainsi, dans 4<i»ft xy, xy étant considérées comme variables, 4 rt*ft est le coefriciont, ) [| Coefficient diff’t'rentiel. Syn. do ihîkivkk, h .Vétfiode des coefficients indt’termintKi, Métl’iode pernietiant de déterminer la valeur d’une fonction dont on connnit la forme en s’appuyant, pour calculer les cooflicients dont dépend la fonction, sur les propriétés do cette fonction,

Kig. Ce qui exprime ou donne une valeur : /.es grands hommes sont les cokkkiciknt» de leur siér/c. fV. Hugo.)

Electr. Coefficient de dispersion t’ieclrigue, Rapport de la diminution de la torsion du fil de la balance de Coulomb, pendant l’unité de tem])S, à la torsion moyenne, II Coefficient de réduction. Nombre par lequel il faut multiplier uno grandeur exprimée dans un svsième d’unités pour passer dans nu autre système, li Coefficient de ruptur<’ ou Module de rupture. Longueur entraînant forcément In rupture quand le cAblo est su.spoixlu verticalement, il Coefficient de charge, Quantité d éh’cirieité nécessaire pour porter l’unité do surface ù un potentiel égal ù l’unité.

Mytiraul. Rapport entre la dépense efi’ective et 1.1 dépense théorique du li<pnde qui s écoule par un orilico. (Le coefficient est un tactour invariable, que détermine i’expérienee pour uno mémo substance considérée dans les niéines conditions.)

Mécun. Coefficient de frottement. V. fbottkukmt.