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DÉCIMALITÉ (si) n. f . Caractère do co qui ost décimal. DÉCIMANE [.ù

du lat. dccitmts, dixi6mo) adj. f . So dit d"uiio liùvro intormittonto qui rovïont touslos dix jours. DÉGIMATEUR {si — du Ut. décima, dîmo) n. m . Celui qui avait lo droit do lovor la dimo dans une paroisse : Principal Di^.ciMATKiJU, Gros DiïciMATiiUK. (Ou disait aussi Diioi-MKUR. } I l Par anal. Celui qui prolùvo une partie d’un produit quolconquo ; Des divCIMAtl ;urs d’avunii : (Kourior.)

Encyc !,. a Romo, on nommait dccimani ou decumani des entrepreneurs qui achetaient la ferme et la perception des dîmes publiques, sorte do taxo territoriale lov6o sur les habitants des pays devenus propriétés do l’Etat, soit par conquête, soit par soumission volontaire ; elles consistaient dans la dixième partie du produit, décima pars, d’où le terme do dëcimateur.

On appelait aussi de co nom les agents chargés do percevoir, en Sicile, la dîme des récoltes en blé pour l’annono de Rome.

Dans l’ancienne France, le décimateur était celui qui avait droit à la « dîme " . Le décimateur do droit, dans la paroisse, était lo curé ; il n’avait aucun titre à produire. Tout autre décimateur, sans excepter l’évéquo. no pouvait réclamer la dîme dans une paroisse sans fournir un titre ou prouver une possession do quarante ans. DÉCIMATION {si-ma-si) n. f . Action de décimer, do faire périr un homme sur dix ou sur un nombre déterminé : DÉCIMATION de prisonniers, il Par anal. Diminution opérée dans une classe do personnes, proportionnoUomcnt i. leur nombre total.

Encycl. Antiq. Chez les anciens, lorsqu’on ne voulait pas mettre à mort tous les captifs faits dans une ^-uorro ou tous les soldats d’un corps coupable de révolte ou do lâcho conduite, on tirait au sort, ot lo dixième, lo vingtième ou le centième nom qui sortait était désigné pour lo supplice. Comme c’était ordinairement le dixième, co cliâtiment était appelé £^t/cima(io ;j. Cet usage atroce remonte à une haute antiquité. Les exemples de décimation sont fort nombreux dans l’histoire romame. La décimation fut longtemps maintenue dans les Gaules. Après avoir vaincu les Saxons, Pépin inventa une nouvelle manière de décimer les captifs : tous ceux dont la tête n’atteignait pas la garde de son épée furent mis à mort. Dans la milice do Charlomagne, la décimation était pratiquée comme peine de la lâcheté ou de l’indiscipline. Aux xvi" et XVII* siècles, dans les guerres de religion, l’usage de la décimation subsistait encore. Menschikotf, le favori de Pierre le Grand, opérait sur ses soldats la décimation. Au commencement du combat, il leur disait : « Si vous êtes vaincus, je vous décime : » et il leur tenait fiarolo. La décimation a disparu du code des nations civiisées.

DÉCIME {sim’ — du lat. décima [pars], dixième partie) n. m . Dixième partie du franc : Un décime vaut à peu prés deux sous tournois. (Acad.)

Fin. Décime pour franc, Impôt supplémentaire d’un dixième par franc ou principal do certains droits.

— Adjectiv. : Liqueur décimiî, Solution de sel marin dont il faut un litre pour précipiter 1 gramme d’argent, ii Liqueur DÉCIME d’argent. Solution do sel marin qui renferme 1 gramme d’argent dans un litre.

n. f . Dr. ecclés. Taxe perçue sous l’ancien régime par ordre du roi sur le clergé, lequel, percevait la dîme sur les biens do la terre.

Encvcl. Métrol. Le terme décime n’a point été adopté par l’usage pour la dénomination de la monnaie de billon, à cause de la difflculté qu’aurait entraînée le calcul par demi-décime. On a préféré dire " quinze centimes >> qu’ » un décime et demi i-. Le décime est une monnaie do bronze du poids de 10 grammes. Il représente la dixième partie du franc, unité monétairç de tous les Etats composant V Union latine. V, ce mot.

Dr. ecclés. On nommait décime les contributions que le clergé accordait, dans l’ancienne France, plus ou moins volontairement au roi. Le mot a la mémo étymologie que dime ; mais, entre dîme et décime, il y a cette différence : la dîme était prélevée par le clergé sur la société civile, los décimes étaient payées par le clergé au roi. La décime était, en règle générale, une contribution accordée au roi par le papo sur les biens du clergé do France. Elle consistait dans le dixième, non des biens, comme on l’a dit par erreur, maisdesrei.- eHus ecclésiastiques. La dîme satadnte, levée en 1188 pour faire face aux dépenses de la troisième croisade, bien qu’elle ait été applicable aux laïques aussi bien qu’aux clercs, est lo précédent qui donna naissance à l’institution do la décime ecclésiastique. Los décimes rapportaient au trésor royal des sommes considérables. Au XVI" siècle, les décimes sur los revenus du clergé furent remplacées par des sommes fixes, dont le clergé fixait lo montant selon los besoins ou les exigences de la couronne, ot devinrent los fameux dons gratuits. Les décimes disparurent, on 1789, avec la suppression des bénéfices ecclésiastiques et la confiscation dos biens du clergé. DÉCIMER (si — du lat. drrimarc, môme sens) v. a. Mettre à mort, ou fraiiper do quelque autre peine, un sur dix do : DÊciMKR un réf/iment.

— Fig. Faire périr un certain nombre de personnes, sur un nombre plus grand : Fléau qui décimh une population. DÉCIMÈTRE {si — do dëci,_et nirtre) n. m . Mesure do longueur, qui vaut la dixième’ partie du mètre. V. métri-QUii {si/stéme).

hNCYcr,. On donne le nom de décimètre à un instrument en forme de règle divisée, que les dessinateurs omploionl pour construire des dessins d’après une échelle rapportée au mètre. On !o fait généralement double, ot on lui donne le nom de double décimètre. DÉCIMÉTRIQUE [Irik’) adj. Qui a rapport au décimètre. DÉCIMEUR II. m . Fin. V . décimatru». Decimius fNumorius), général samuito. Il amena à Q. Fabius Maximus un cerj^s do troupes do 8.500 hommes. avec lequel il contribua puissamment à la victoire quo ce dictateur remporta sur Annibal, on 217 av. J .-C. DEGIMO (dé-tchi — mot ital. qui sif^nif. proprement dixiénif) n.m. Mosuro de longueur autrefois usitéo à Homo, dixième do l’oncia, qui vaut 0TM.18G . DECIMO (dé-si — mot. hit-^adv. Dixièmement. On l’indique ordinairoment par ce signe : lO" dans une série quo l’on note : l’on primo ; 2" ou secundo ; 3" ou tertio, otr. On dit uubsi : 13" ou rfcci’»io-ft’r(i’o^ pour treizièmement ; H" ou decîmo-quarto, pour quatorzièmement ; 15» ou dccimo-quinlo, pour quiuzièmonient ; lô" ou decimo-sexto, pour seizièmement ; 17» ou dccimo-scptimo, pour dix-soptièmomont ; is** ou decimo-octavo, pour dix-huitièmomont ; 10 " ou (/t*cimo-nono, pour dix-nouviômoment.

DÉCINE n. m . Chim. V . dkcénylène. DéCINES-CHARPIEU, comm. de l’Isère, arrond. ot à 32 kilom. do Vienne, sur un bras du Rhôno ; 1.220 hab. Ch. do f. P .-L.-M. Chamoiserie.

DÉCINIQUE {si-nik’) adj. Chim. Se dit d’une série do composés on C’* : Cotnposés nÉciNiQDES.

Encycl. Parmi los composés décinigues, los plus intéressants sont : l’aldéhyde C’*H"’0 connue sous lo nom do cilral ou géranial, extraite dos essences de citron ot de citronnelle, et servant à la préparation do l’essence artificielle de violette ; des alcools en C’*H’"0, parmi lesquels, lo géraniûl :

[^(ChO^= C = ch - (CH*)’- C (CH’) = CH-CH’0h1 . liquide bouillant à 232", de densité 0,883, insoluble dans l’eau, constituant des essences de géranium, de roses ; le linalol, contenu dans les essences de linaloé, coriandre, lavande, néroli.

pÉCINTRAGE (sin-trai’) n. m . Action de décintrer : Le DÉciNTRAGK d’uiie voûtc, d’un€porte. Syn. do décintkement. DÉCINTREMENT {sin, may) n. m . Action de décintrer ; Le DECINTRKMKNT d’UHC ai’Ckc.

DÉCINTRER {sin — du prof. priv. dé, et de cintre) v. a . Archit. Otor les cintres

qu’on avait placés pour

construire une voûte, une

arcado : On 7ïe doit dé-

cintrer les voûtes que

quand elles sont bien sè-

ches. (Acad.)

Se déc/n(rer, V. pr.

Etre, devenir décintré.

DÉCINTROIR {sin-tro-

ar’) n. m. Sorte de marteau

de maçon à deux laillants,

tournés en sens inverse,

et qui sert à écarter les

joints dans les démolitions. Dt^ciotrûir8 :l.Demaçon ;2.A talus, ou encore A régulariser

les parois d’un trou percé dans une maçonnerie, afin do les équarrir. i l Sorte de pioche ayant une partie plate et une en pointe, destinée à dresser les terres dans les travaux de terrassement, talus, fossés, etc. DÉCIOCTONAL, ALE, AUX {si — do déci , et du lat. octo, huit) adj. So dit, en minéralogie, d’un cristal qui présente dix-huit faces.

DECIPIMUR SPECIE RECTI (Nous sommes trompés par l’apparence du bien), Réflexion d’Horace [Art poétique, v. 25]. Horace n’applique cette réflexion qu’aux poètes, aux écrivains qui peuvent être trompés par les apparences et prendre l’emphase pour l’éloquence, le mensonge pour la vérité ; mais on en fait l’application à bien d’autres. DÉCIPINE {si — rad. déclpiiim) n. f . Oxyde naturel de décipium, qui so présente sous forme d’une poudre blanche répondant à la formule DpO.

DÉCIPIUM {si-pi-om’) n. m . Nom donné à un métal spectroscopiquo, qui semble être un mélange de samarium et de didyme.

DÉCIQUATUORDÉCIMAL, ALE {si-koua, dé-si — de déci, et du lat. quatuordecim , quatorze) adj. Se dit, en minéralogie, d’un cristal dont une partie est à. dix faces, et l’autre à quatorze.

DÉCIRCONCIRE [sir’-kon-sir’ - —

du préf. priv. dé, et de

circoncire) v. a. Fam. Faire renoncer au judaïsme ou à l’islamisme, religions dans lesquelles on pratique la circoncision.

DécirconcfS (si)» ’se part. pass. du v. Décirconciro.

Substantiv. :

Un décirconcis.

Se décirconcire, v. pr. Renoncer à une religion qui consacre la circoncision.

DÉCIRCONCISION {sii- kon-si — rad. décirconcire) n. f . Action do renoncer au judaïsme ou à l’islamisme. DÉCIRER {si — du préf. priv. dé, et de cire) v. a . Enlever la cire ou le cirage do : Décirer un meuble, un par qitet, sa chaussuî’e.

En T. de grav.. Faire disparaître la ciro qui recouvrait uno planche de cuivre, après quo le graveur a fait mordre l’acide sur le dessin ira« ;é par lui.

Se décirer, v. pr. Etre dociré ; perdre sa cire. DÉCISIF, IVE [si) adj. Qui décide, qui fait cesser toute indécision : La pièce décisive d’un procès. Une bataille DÉCISIVE, tl En parlant dos personnes, Qui décide hardiment, avec une sorte d’autorité et en prenant un ton avantageux : Les jeunes gens sotit ordinairement plus décisifs nu il ne faudrait. (Acad.) h Qui annonce la décision, qui est délibéré, déterminé, tranchant : /,’air décisif impose aux personnes peu éclairées. (Nicole.)

Syn. Décisif, dogmatique, péremptoire, tranchant. Un raisonnement (/t’cisi/ entraîne nécessairement la conviction ; l’homme décisif, plein do confiance en son opinion, prend promptemont sa détermination ot s’v tient formomont. L’hommo dogmatique, décisif en matière de doctrines ou do dogmes, exprimé ses croyances avec un ton d’autorité qui est souvent du pédantisme. Uno raison péremptoire résout la question sans appel, ne laisse rien ù. répliquer. Co qui est tranchant a ta prétention d’imposer silence et produit son oflet d’un coup, ost soc, impérieux, despotique,

DÉCISION {si-zi — lat, decisio ; de decidere, décider) n. f . Acte par lequel, après exanïon, sur dos questions douteuses ou litigieuses, on so déclare, on prend un parti : DEciaioti judiciaire, administrative. Résultat final, parti pris déflnilivoinent : Attendre la nÉcisioN d’une affaire.

Facilité ù prondro dos résolutions énorgiquos : Acoi’r de la DÉCISION dans le caractère. Il lisprit de décision. Habitude do décider promptemont.

Art milit. Dans la cavalerie ot l’artillorie, Note quo lo chef do corps fait rédiger à, la suite du rmiporl journalier pour porter à lu counaissauco do sos olficiors tout DECIMALITE — DECIUS

ce qui ost relatif au service. (Dans los autres armes, cette note s’appelle la « réponse au rapport ».)

Encycl. Admin. Dans son acception la plus large, la décision ost la solution à laquelle s’est arrêté un agent do l’administration. Dans son suns spécial, elle désigne les actes ministériels accomplis pour l’exécution des lois, décrets. Les décisions raiuistérioUos sont spéciales ot de doux sortes : los unes sont dos actes de pure administration ; les autres sont rendues en matière contentiouso et ont lo caractère de jugements. Coiles-ci doivent être notifiées aux parties, qui peuvent los déférer au conseil d’Etat.

Anton. Hésitation, incertitude, indécision, Irrésolution, perplexité, tatillonnage, tergiversation, vacillation.

Syn. Décisions, canons, décrets. V . canons . Décisions de Justinien ou Cinquante décisions (los), Série do constitutions do Justinien ayant eu spécialement pour but de trancher d’anciennes controverses. (Rendues la plupart en 529 et 530, elles ont été réunies d’abord en recueil ot ont exercé une grande influence sur la composition du Digoste et des Institutcs ; elles ont été incorporées dans Ta seconde édition du code. Leur nombre a dû excéder cinquante.)

DÉCISIONNAIRE (si-zi-n -nèr’) n. m . Celui qui décide rapidement ot avec assurance : Un décisionnaire universel. (Inus.)

DÉCISIVEMENT (si-zi) adv. D’une manière décisive : Parler avec autorité et décisivement. Il Décidément : DÉcisiVEMENT, ce Sera la dernière fois que je répondrai. (Inus.) DÉGISOIRE (si- ;o-ar’ — du bas lat. decisorius ; de decidere, supin decisum, décider) adj. Dr. Décisif, quia la vertu de décider. ^Usité dans cette locution : Serment décisoire. Serment qu une partie défère à l’autre pour en faire dépendre lo jugement de la cause.]

Encycl. Dr. Le serment décisoire, ou litis-décisoire, intervient au cours d’une instance et a pour 00*01 de trancher un différend ; aussi se rapproche-t-il à certains égards de la transaction, malgré des différences essentielles. Il constitue une offre de renonciation conditionnelle à la demande ou à la défense. La partie à laquelle le serment est déféré est obligée, sous peine de succomber dans sa demande ou dans son exception, de le prêter ou de le référer, c’es^à-dire de sommer la personne qui le réclame de le prêter elle-même. Il ne faut pas lo confondre avec le serment supplétif ou supplétoire, déféré par le juge. — Pour les conditions et les effets du serment décisoire, V. SERMIiNT.

DÉCISTÈRE {si-stèr’ — de déci, et stère) n. m . Mesure de volume, qui est la dixième partie du stère. V. métrique [système.)

Decius ou DèCE (Cneius Messius Quintus Trajanus), empereur romain de 249 à 251, né en 201 dans la Pannonie inférieure, mort sur les bords du Danube en 251. Gouverneur de Mœsie sous l’empereur

Philippe, ses soldats le procla-

mèrent empereur. Il vainquit,

près do Vérone, Philippe, qui fut

tué peu après. 11 commença aus-

sitôt, contre les chrétiens, la septième persécution, l’une des plus

terribles. Les Goths ayant passé

le Danuboi. il envoya son fils

pour les combattre, puis se ren-

dit lui-même sur le théâtre de la

guerre et les chassa du territoire romain. De retour à Rome, il ré-

tablit la censure qui avait été

exercé© par l’empereur depuis la

dixième année du principat d’/Vu-

guste. Les Goths ayant fait uno

nouvelle invasion, il marcha con-

tre eux, et fut tué avec son lils. Decius Jubellius, tribun

des soldats romains, fut envoyé

à Rbégium, on 282 av. J .- C, pour Decius (statue du Capitule). défendre cette ville contre Pyr-

rhus. Il remplit d’abord fidèlement sa mission. Mais, tenté par les richesses dos habitants, il résolut, de connivence avec ses principaux officiers, do so rendre maître do la ville. Une foule do citoyens furent massacrés, les Romains s’emparèrent do leurs biens et contraignirent leurs femmes et leurs filles à los épouser. Un médecin, originaire do Rhégium, mais établi à Messine, vengea sur Decius le meurtre de ses concitoyens. Decius, étant passé dans cette ville, y souff’rit d’un mal d’yeux. Lo médecin l’aveugla, sous prétexte de le guérir. Dix ans phis tard, 10 sénat romain envoya uno arméo contre Rhégium, qui fut prise. Les soldats assassins furent mis à mort, ot Decius so tua lui-mémo (270).

Decius Magius, citoyen de Capoue, défenseur do cette villo contre Annibal. Celui-ci, après la prise do Capoue, embarqua Decius pour l’Afrique. Mais une tempête jeta le naviro sur la côte a’Eg} pte, et Decius s’échappa. Decius Mus (Publius) , Romain do la famille plélu-icime. Il fui l’un des cinq commissaires chargés, en 349, do régh>r la tiuostion des dettes. Quelques années après, étant tribun dos soldats, il sauva l’armée compromiso dans uno attaque contre les Saninitos par Cornélius Cossus- 11 reçut los plus grandes récompousos.ot devint consul. En cette qualité, il commanda avec ManliusTorquatus contre los Samnites. Sur la foi d’uno vision qui promettait la victoire ù l’ar-

méo dont lo

chef sacrifto-

rait sa vie, il

seV uaaux

dieux in fe r-

naux oi tomba

dans la mêlée,

percé do coups

(310). Sos ttls

ot ses potits-

fils suivirent

Monnnto iVnrftont do Dcdus Mm.

co noblo oxom-

« 

plo : lo premier eu 295, dans uno guorro contre los Gaulois du 1 Ombrio ; lo second on 279, dans la guorro coutro Pyrrhus.

Decius (Josse-Louis), historien allemand du xti* siècle, n fut socrôtairo do Sigismond, roi do Polotno II a