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Kncïul. Los coudriers sont dos arbres ou arbustes do la lainiUo dos castauôacôos, à feuillos altornos ot acconipagnoos do doux stipules latéraux. Los llours sont monoïques, disposées on chatons. Los chatons niàlos, longs, cylindriiiues, présentent huit étaniines insérées à la base d’une écaille a trois divisions. Los chatons t’omellos, courts, ovoïdes, gommiformcs, sont composés d’écaillés serrées ; ils ont un ovaire infère, surmonté d’un stylo ù. doux branches stygmatil’oros. Le fruit est un akène, entouré par l’involucre ; il ronformo uno graine à cotylédons volumineux.

Los coudriers habitent les régions tempérées ; plusieurs oont cultivés pour Iniir fruit bon i niangor, et dont on extrait une huile (huile do noisette). L’espèce la plus répandue est l’aveline {corylus avi’Uana) ; on la multiplie par graiuos ou mieux par marcotte, par drageons ou encore au moyen do la gretlo par api>roclio. Lo bois du coudrier est tendre, souple, mais a pou d’usage, car il est rare d’en trouver des échantillons volumineux. COUÉ, ÉE alj. En T. de chass.,

. So dit dos cliious à qui

l’on n’a point coupé la quoue : Ckicnne couiiE. CouËDIC DE Kergoualer (Charles-Louis, chevalier l>u), marin français, né en nie, au château de Kerguélénen (Finistère), mort à Brest en 17S0. Lieutenant de vaisseau à l’époque do la guerre do l’Indépendance, où la France avait pris parti en faveur des colonies anglaises d’Amérique révoltées contre l’Angleterre, il obtint le commandement d’une frégate de tronte-six canons, la Surveillante. Ayant rencontré un navire anglais do môme force, le Québec, il le rît sauter, après un combat acharné, qui coûta la vie à 150 marins français sur 270. Il rentra victorieux à Brest, mais no tarda pas à succomber aux suites de ses blessures. COUENNE [kou-an

du bas lat. cutiiin :i, dimin. do cutis, peau) n. f . Peau du porc. I l On dit aussi coCENNii de lard. I l ICn général, Peau épaisse comme celle du porc : Couknne de marsouin,

Pop. et fi" ; . Sot, maladroit, niais, imbécile : Esl-il COUENNK, celui-là 1 ça lui fait de la peine quand on bat les autres ! (E. Sue.)

— Arg. Peau, chair de l’homme : Segratter la couenne. Il Joue pendante, ii Couenne de lard, Brosse.

— Méd. Nom donné à certaines taches congénitales de la peau, qui sont de couleur brune, souvent couvertes de poils blonds, ot accompagnées ordinairement d’une surélévation de la peau à l’endroit qu’elles occupent. (V. nae vus. ) il Couenne inflammatoire. Couenne pleurélique. Concrétion d’un blanc jaunâtre, qui se forme à la surface du san^ des saignées, qui serait due soit à l’augmentation de la fibrine du sang, soit à la diminution du nombre des globules dans lesmaladies inflammatoires, lachlorose, l’anémie. COUENNEUX (kou-a -neû), EUSE adj. En T. de méd.. Se dit du sang des saignées qui se couvre d’une couenne. Il Angine couenneuse. V. angine. COUÉPI n. m . Grand arbre de la famille des rosacéeschrysobalanees. (Sa ti^o, haute de 20 m. sur i m. de diamètre, est couverte d’une écorce lisse et grisâtre ; ses fleurs sont violettes, et son fruit ressemble à une noix ; il croit à la Guyane.)

COUÉPIE n. f . Bot. Syn. do moquilier. CouËRON, comm. do la Loire-Inférieure, arrond. et à 49 kilom. de Saint-Nazaire, sur la Loire ; 5 .947 hab. Ch. de f. Orléans. Commerce de bestiaux ; carrières de granit. Fonderie de plomb argentifère et laminoirs, meules pour aciéries, vinaigrerie. Petit port pour le radoub des navires. Dans l’église do Couëron, stalles en bois de chêne sculpté, provenant do l’abbaye de Buzay. Sur le territoire de Couëron (qui est peut-être lo port gaulois de Corbilo), au château do Cazoire, mourut le dernier duc de Bretagne. François H (118S).

Patrie d’Alcide d’Orbigny.

GouESMES, com ;ii. (lo la Mayenne, arrond. ot à 21 kil. de Mayenne, sur un affluent do la Varenae ; 1.138 bab. COUESNON, petit fleuve côlicr, tributaire de la Manche, qui naît dans lo département do la Mayenne, péneire ensuite dans l’Ille-ot-Vilaine, ot sépare ce (fépartoment de celui de la Manche, c’est-à -dire la Brelasrne de la Normandie. Il arrose Pontorsonot tombe dans ia baie du Mont-Sai ut-MicboI, après un cours de 90 kilomètres, dont l(i navigables. La construction do digues dans le cours inférieur a arrêté les divagations du fleuve dans la baie du Mont-Saint-Michol ; divagations qui avaient donné lieu à ce dicton : "

Le Couesnon, par sa foljc,

A mis le Moût en Normandii*. •

COUET ou ÉCOUET (kou-è

autre forme oo couette,

n. m.

. Mar. Nom donné à quatre grosses cordes, autres i|iic les écoutes, qui s’amarrent aux voiles d’un vaisseau.

Aric. Variété de pommes à cidre du Cotontin. n Rameaudo vigne courbé en arc ot attaché au cep par un lion d’osier. (On dit quelquefois vinke.)

Kcon. dom. Sorto do casserole on fonte, sans queue, mais munie de deux petites anses. Syn. cocotte. COUETTE (H’ — du lat. culcitn, môrao sens) n. f . Lit do plumes : Coucher sur une couette.

Mar. V . la parrio cncycl.

Ornith. Nom vulgaire do la mouette commune.

Toclin. Crapaudino sur laquelle tourne un des pivots du tour.

Encyci.. Mar. Les couettes ou roiltcs, fortes pièces de bois drossées, qui ont la longueur d’un grand bâtiment on construction, sont disposées parallèlement ù la quille, et supportent toute la charpente du bor. Elles glissent avec lui ot la masse entière du bâtiment qu’on lance à la mer. IJoux autres couettes, sortom de fortes lisses, fixées sur la calo de construction, à la distance nécessaire, retiennent ontreollos les premières, ot les empochent do s’écartor avec lo bor : elles servent comme do coulisses, pendant quo colles qui quittent lo chantier descendent on portant lo bâtimont â l’eau.

COUETTE [kou-ff

dimin. do coue,

anc. forme <lo queue) n. f . Fam. Potito queue : La couette d’un lapin.

courre (du nrovcnc. coufo, apparenté avec ro/Vi.i, coftre) n. f. Sorto do cabas ,..„^„

usité, â Mai-scillo et dans le Lovant, pour l’emballago ou lo transport des marchandises pou oncombrantos. ii On dit aussi couFKLE, ot mieux couffin. COUÉ — COULANGES-LA-VINEUSE

Coufllè.

Eu Provence,

Min. Nom donné aux gros morceaux do lignite, dans los Basses-Alpes et les Bouches-du-Uli6no.

Pêch. Sorto de panier circulaire plat, suspendu borizontalement dans l’eau à l’aido de cordelettes disposées ad hoc, ot au tour duquel on attache dos hameçons. COUFFÉ, comm. do la Loiro-Info-

rieuro, arr. et à 12 kilom. d’Ancenis, sur lo Donneau, affluent do la Loire ; 2.000 hab. Château do la Contrio, oii naquit Charotte.

COUFFIÉ {kou-fi -é) n. m . Coifl’uro arabe, consistant en un rîchu roulé autour de la této, et dont deux coins so replient en dedans, los deux autres restant pendants de chaque côté. COUFFIN {kou-fin — rad. coufe) n. Cabas ou panier de sparterie. il Contenu do ce panier : Manger un couffin de figues sèches.

COUFFLÉE n. f. Min. Syn. de crain. COUFIQUE adj . Philol. V . koufique. COUFLE n. f . Balle do séné du Levant. (On écrit aussi couffle.) [i .Sorte de panier. .Syn. de couFFE, ou couffin. COUFOULEUX, comm. du Tarn,

arr. et à 23 kil. do Gaillac, non loin du Tarn ; 1.216 bab. Commerce de mules ; laines.

COUCLER-PONI (Matilda), femme poète roumaine, née à Jassy on 18r.3 . Elle débuta, â l’âge de di.x-huit ans, dans les Causeries littéraii-es et attira bientôt l’attention du monde littéraire. Ses poésies, d’un caractère absolument lyrique, parurent à Jassy en 1885. COUGNAC d/nak’ [gn mil.]) n. m . Epices de dessert, quo I on servait en Normandie et où il entrait du miel, n On disait aussi COUCOUGNAC.

COUGNADE ou COUGNARDE {gn mil.) n. f . Confiture en marmelade, qu’on fait avec les merises débarrassées de leur noyau.

COUGNY (Edme), érudit français, né à Nevers en 1818, mort à Pans en 1889. Il devint professeur de rhétorique dans les lycées de Pans, puis inspecteur d’académie en 1878. Il a laissé différents ouvrages, relatifs â l’histoire des idées politiques en France au xvi» siècle : De la philosophie chez lesjurisconsultes du xvt» siècle (1SG5) ; le Parti républicain sous Henri III {li(,n) ; le CapitaitK François de La Noue (1872) ; Béroalde de Vennlle (1880) ; des études littéraires ou historiques : la Jeunesse de Virgile lum) : Montesquieu et M’"' de Lambert (1877) ; Celles el Germains depuis la conquête de César(lasi). Helléniste remarquable, il a été chargé, par la Société de l’histoire de France, de publier les Extraits des auteurs grecs concernant la géographie et fhistoire des Gaules (1878-1S86). Il continua, dans un troisième volume, l’Anthologie grecque de Dûbner. CoUGNY (Louis-Edmond), sculpteur français, né en 1831 à Nevers, élève do Jouffroy. Ses meilleures œuvres sont ; Jean de La Quintinie, statue pour l’Ecole d’horticulture ; une £pave, statue ; Carnot membre du comité de . Salut public, statue ; Edgar Quinet , buste pour lo Collège do France ; A l’atelier, groupe ; etc. COUGOURDE ou COUCOURDE n. f . Nom provençal des potirons et des courges, il Courge sèclio et vidée, propre à contenir des liquides. (Vieux.) COUGOURDETTE ou COUCOURDETTE [dèf) n. f En Provence, Petite calebasse.

COUGUAR ou COUGOUAR (mot guarini servant à désigner le puma) n. m . Nom vulgaire du grand puma (felis concolor), répandu en Amérique. V . puma. COUHÉ, ch. -l . do cant. do la Vienne, arr. et à 20 kil do Civray, près do la Dire de Couhé ; 1.835 hab. Ch. do f. Orléans. Fer. Fabriques d’étofl"cs, chapollorios, clouteries, teintureries ; bétail. Ruines do Tabbavo cistercienne do Valence.

Le canton a 10 comm. ot U.710 hab. COUI n. m . Erpét. Nom vulgaire do la tortue radiée.

Bot. Nom vulgaire du calobassior.

Etiiol. Nom créole du récipient quo l’on fabrique avec le fruit du calobassior : Une calebasse fendue donne deux colis. Hoire dans un coui sculpté. COUI-COUI (onomatopée imitant lo cri de l’animal) n. m . Nom vulgaire du cobaye.

COUIC (ik’) n. m . Onomatopée dont on so sert pour désigner le cri d’un petit oiseau. ~ Pop. Faire couic. Mourir.

COUIER {yé — du lat. caiida, queue) n. m . Cordo avec laquelle on attache au rivage un chaland ou un bateau. II Chacune dos doux pièces de bois qui entretionnent la cage d un moulin ù vent. (On dit aussi cocillakd.) COUILLARO {kou-ill -ar [H mil.] — rad. couillon ou colon) n. m . Mar. Bout do quarantonier frappé sur la cosso du chapeau d’une voile, permettant do la tenir serrée jusqu’au commandement do : Larguez l ot pondant qu’on all’alo lo chapeau et los carguos. ii Cordo passée on collier sur un bateau pour faciliter lo halago (Seine).

Trivial. Qui a do grosses couillos : Délier couillard.

Art milit. Nom donné, dans lo moyen . " igc, â uno machine de jet, de la famille dos mangonnoaux.

Toclin. Pièce d’un moulin. Syn. do couiEn.

Typogr. Petit llh-t maigre, quo l’on mot à la fin d’un i-’liapitre.ou pour séparerdeux titrosTundoTautre. (Vieux.) Couillard (Antoine), sieur du Pavillon, littérateur français, né près do Lorris (Gâtinais), mort on 1575. Erudit ot spirituel, il composa dos ouvrages, remarquables pour la plupart par leur singularité ; entre autres : les Antiquités el .Singiilarilés du monde (1517) ; Conircdils à A’oj-Iradamus (1555) ; les Prophètes ( 1550) ; etc. COUILLE {kou-ill[ll mil.]

du bas lat. colia ; lat. co/«iij ; gr. kolèos. |)roprom. fourreau, gaine) n. f . Trivial et bas. l’esticulo. (Co mot entre dans un certain nombre d’oxprossions populaires et basses.)

Ilist. Cassetio du roi, au xv* et au xvi" siècle.

Bot. Couille-dc-loup, Nom vulgaire de la joubarbe. CoutLLET, comm. do Belgique (prov. de Hainaut [arr. admin. ot judic. de Charieroi]), sur la Sambre ; 8 .326 hab. Mines do 1er, forges ot hauts fourneaux. COUILLON, COUILLONNADE, COUILLONNER, COUIL-LONNERIE et COUiON, COUÏONNADE, COUlONNER, COUÏONNERIE. Suivant l’Académie, nous avons défini ces mots à coïon, coïonnade, coïonner, coïonneiuk ; mais l’orthographe la plus usuelle est couillon, etc.

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COUILLON {kou-ill [Il mil.]) n. m . En T. do mar.. Tampon d’étoupe, ficelé dans la toile do la voilo et permettant do l’empoigner pour la serrer, n Margouillet grossier, ii Nom vulgaire des adonts de la verge de l’ancre.

COUINEMENT (nian)n. m . Cri du lièvre, du lapin, au moment où ils succombent sous la dent des chiens.

COUIRE (du lat. corium, cuir) n. m . Car-Couire.

quois où les archers mettaient leurs flèches, et surtout Trousse où les arbalétriers serraient leurs carreaux.

CouiZA, ch.- l. de cant. do l’Aude, arr. et à 16 kilom. do Liraoux, au confluent de la Sais et de l’Audo ; l.oio hab. Ch. de f. Midi. Fours à plâtre, chapelleries, tuilerie. Beau pont on pierre, sur la Sais. Château du duc de Joyeuse, transformé en fllaturo. — Le canton a 22 comm. et 5.914 hab. COUJARD (jar) n. m . Sorte de serpe, en usage dans le dopartcnient de la Nièvre.

COU-JAUNE ijiln’) n. m . Nom vulgaire d’une variété de fauvette, que l’on trouve surtout à Saint-Domingue. COULAC {lak’) n. m . Un des noms vulgaires de l’alose, notamment à Bordeaux.

COULADOUX {dou) a. m . pi. Nom que l’on donnait, sur les galères, aux cordages qui tenaient lieu des rides de haubans.

COULAGE {laj") n. m . Action de couler, en parlant d’un liquide ou d’une matière en fusion : Le coulage d’une chandelle, d’une bougie. Il Diminution, perte d’un liquide ou d’une matière, par des ouvertures accidentelles qui existent dans leurs récipients : Le coulage du vin, de l huile, du ri :.

Fig. Pertes résultant d’un gaspillage dans los administrations, les fabriques, etc. : Maison où il y a beaucoup de COULAGE.

Constr. Procédé employé pour couler le béton au fond de l’eau. V . béton.

Techn. Opération remplaçant le soufflage par le coulage, dans la fabrication des glaces, il Opération qui consiste à couler le savon en masse pour le mettre en forme. I l Action do couler la lessive. (V. blanxhissage.) ii Action de couler un métal en fusion dans un moule. (Le coulage comprend deux systèmes distincts : le coulage à noyau, consistant â maintenir dans l’axe du moule un noyau ne laissant ou’un espace annulaire entre le moule et lui ; le coulage plein, qui consiste à couler la pièce massivement, sauf à forer ensuite son centre si besoin en est. Il y a un troisième mode de coulage, appelé coulage à siphon, dans lequel le métal en fusion arrive par le bas, au lieu du haut du moule.) i i Défaut dans les couvertes des poteries, qui tient à uno trop grande fusibilité de la couverte. Il Moulage par coulage, Procédé de moulage des poteries pour le façonnage des pâtes liquides. V . céramique.

Télégr. Allongement que produisent, sur les câbles télégraphiques sous-marins, les écarts dans la marche du navire et les sinuosités du fond de l’eau. COULAMMENT adv. D’une manière coulante, aisée, facile : l’arler. S’exprimer, Ecrire coulamment. (Peu usité.) COULANGES (Christophe, abbé DE), oncle de M"’ de Sévigiii-,

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les .le qui il passa une partie do sa vie, et dont il adminisii :! longtemps et sagement la fortune. Il mourut âgé de quatre-vingts ans.

CoULANGES (Philippe-Emmanuel, marquis de), né à Paris en 1631, mort en 1716, est surtout connu par M"’ do Sévigné, sa cousine, avec laquelle il oniretint une longue et intéressante correspondance. Successivement conseiller et maître des reiiuètes au parloniont, il so dispense le plus possible do siéger, court les salons et les châteaux, voyage en Allemagne avec Lionne, suit le duc de Cliaulncs dans son ambassade d’Italie où il se fait bien voir du papo Innocent XII, . <

toujours aimé, toujours estimé, tonjours portant la joie et le plaisir avec lui, .. . toujours en santé, jamais â charge à personne •, ainsi quo 1 écrit sa cousine. Mariéà uno femmo

charmante et aussi spiri-

tuelle quo lui, il fréquente

les Louvois auxquels il est

apparenté, la duchesse di-

Richelieu, M*« do Mainte

non, cent autres, sans ccsm’

amoureux do la bonne cher,

ot des franches lippées vu

joyeuse compagnie, (’bai/

sonnior, il peut so rappr-

cher do Blot ot de Mangii_

il a do la facilité, maisecii

à la diable avec uno négli

genco do grand seigneur c

un débraillo do profés ou

ror</r<T(/t’«co/cni(.T .IIalaissé, en outre do son Hecueil de

chansons (1698), des Lettres,

qu’on joint â celles de M^’do

Sévigné, ot dos Mémoires

d’un stvio facile, édités par Monmerqué (1820). Coulanges fut un lionroiix homme, doué d’uno verve aimable et d’une Shilosuphie souriante. Déjà, pour lui, tout Unissait par os clKinsons.

Sa feinm<«, la marquise de Coulanges, favorite do MTM" do Maiutenun, a laissé environ cinquante lotiros, qui ne le cèdent guère en esprit A colles do MTM’ de Sévigné, â la suite desquelles elles sont généralomont imprimées. Elle mourut on 1723, âgée de qualro-vingldoux ans.

COULANOES-LA-VINEUSE, ch.- l. do conl. do l"V’onne, arrouil. et A 10 kilom. d’Auxerro : l.lo. ’S hab. Vins rouges renommés (busse Bourgogne). Commerce do vins ; 43

Cotilangfs.