Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, III.djvu/331

Cette page n’a pas encore été corrigée

315

COSTUMER (stu) v. a . Revêtir d’un costume : Costumbu une filletlp en Alsacienne.

Ko T. de poim., Koproduiro très exactement et avec une grande tidéljtô les objets qui figurent sur un tableau. Costumé, ée part. pass. du v. Costumer.

Bal costumé. Ual où danseurs et danseuses portent non pas t’orcémentdos masques, mais des travestissements. Se costumer, v. pr. Revêtir un certain costume ; so travestir : He costumisk en Turc.

COSTUMIER (miV), ÈRE n. Personne qui fait, vend ou loue des costumes de bal, do théâtre ou de soirée, il Celui qui, dans les théâtres, a la garde des costumes. COSTUMOMÈTRE [stu ~~ do coutume, et du gr. métmn, mesure) n. ra. Instrument pour prendre rapidement la mesure et tracer la coupe des vêtements. COSTUS (stuss) n. m . Genre do plantes, de la famille des scitamiuées.

Encïcl. Ce genre comprend environ quinze espèces, qui croissent dans les régions tropicales dos deux continents. Ce sont des plantes

herbacées vivaces, à rhizome

tubéreux et rampant, à feuilles

charnues ; les fleurs sont grou-

pées en épis terminaux, munies

de bractées imbriquées. Ijo

costus superbe [costus specio-

sus) est originaire des îles do la Sonde. On pense que sa racine

était le costus des anciens, si

célèbre parmi les antidotes.

On l’employait aussi comme

aromate et comme parfum ; le

costus entre dans lacomposition

de la thériaque.

COSUJET ijè — du préf. co,

et de sujet) n. m . Celui qui est, avec d’autres, sujet d’un même

monarque.

^^^^^^

COSYNDIG {dik’ — du prëf.

co, et do si/ndic) n. m . Celui qui est syndic avec un autre. COSWIG ou KOSWIG, ville d’Allemagne (duché d’Anhalt [cercle de Zerbst]), sur l’Elbe ; 6 .500 hab. Mines de lignite ; tanneries, filatures de laine, fabriques de draps, de couleurs, de conserves de viandes. Vieux château transformé en prison. Ch.- l . de bailliage.

CÔT {ko) n. m . Cépage très répandu en France, particulièrement dans la Touraine et le Bordelais, où, sous le nom de malbeck, on l’emploie, dans une certaine proportion, pour la production des vins de Bordeaux. (La grappe est grosse, à grains volumineux, d’un noir pruiné à la maturité, qui est assez hâtive.) [D’après PuUiat, synonyme de noir de Pressac, cahors, pied-de-perdrix, vesparo, auœerrois, boui/ssaèls, pèrigord, plant du. roi, etc.] COT (ko) n. m . Bateau irlandais long, étroit et à fond plat, que l’on fait avancer au moyen de pagaies. COT (Pierre-Auguste), peintre français, né à Bédarieux (Hérault) en 1837, mort à Paris en 1883, élève de Léon Cogniet, Cabanel et Bouguereau. Il s’était fait rapidement connaître par des compositions pleines de grâce et de charme. Citons de lui : Promét/iée ; Méditation ; le Jour des Morts au Campo-Santo de Pise ; Dionisa (18T2) ; /e PW»femps ;il/(reî7/e, un des meilleurs tableaux du maître (il a figuré au musée du Luxeuibourg). Cot avait épousé la fille du sculpteur Duret.

Cota de Maguaque (Rodrigue de), poète espagnol du XV’ siècle, né à Tolèd«, mort en 1470. On lui attribue le premier acte de la célèbre comédie la Celestxna, terminée par Rojas ; la fameuse églogue satirique Copias de Mingo Revulgo, satire contre le roi Henri IV, etc. Ce qui est sûrement de lui, c’est le Dialogo entre el Amor y un viejo, spirituel essai dramatique, qui a paru à Modina en 1569, et a été plusieurs fois réédité. COTABLE adj. Susceptible d’être coté à la Bourse : Une valeur cotable.

Fig. Que l’on peut faire entrer dans ses calculs : Appréciation cotarlk.

GOTAHUASI. ville du Pérou (dép. d’Arequipa), sur le rio côtier de Cotahuasi, dans une haute vallée dos Andes ; 2.000 hab. Fabriques de tapis, de ponchos, de couvertures ; mines d’or presque abandonnées. Ch. - l . do la prov. do la Union. Aux environs, mines de sol et eaux thermales. COTANGENTE (ianf — du préf. co, et de tangente) n. f . En T. de géom., Tangente du complément d’un angle. COTARDIE {dt — contract. des mots cotte hardie) n. f . V. COTTK -HARUIE.

COTARNAMIQUE adj. Chim. V . COTARNINB. COTARNATE n. m . Sel dérivant do l’acide cotarnique. COTARNINE (de narcotine, par interversion des lettres) n- f . Alcaloido produit par 1 action des oxydants sur la narcotine.

Encycl. La cotarninc, C"H"AzO’ + Aq, se produit on m/^me temps que l’hydruro dopianylo ou ses dérivés, par l’action des agents d’oxydation sur la narcotine. On l’extrait des eaux mères provenant de la décomposition do la narcotine par un mélanpe de peroxyde do manganèse et. d’a«ndo sulfurimio, ou bien encore du liquide qui résulte de l’action do l’acide nitrique dilué sur la narcotine. La cotarnino se présente on aiguilles incolores, groupées en étoiles. Elle est solublo dans l’alcool et les alcalis minéraux. Elle fond à 100«, on perdant 2 équivalents d’eau do cristallisation. Chauffée ù MO"» avec do l’acide chlorhydriquo, elle donne do l’acido cotamamique C"H"Azo*. Avec l’ioduro do méthylo il so forme do l’iodhydrate do cotarnino et un composé C’MP’AzO* !. Co composé, traité par lo chlorure d’argent, donne lo chlorure correspondant ; co dernier chlorure, traité par la soudo, donne la eotarnonc, C"H"’0'. La cotarnone, oxydée à froid parle permanganate do potassium, donne d’abord ta cotamolaclone, puis l’acido cotarnique C’H*0’(CO’H)». La cotarnolactono est transformée par les alcalis en acide cotarno~ lar.tonique : CH*0H-CHOH-C’H»O*-CO»H. COTARNIQUE frad. cdtarniné) adj. n Acide cotarnique. V, COTAHNINK.

COTARNOLAGTONATE

coturnuiaouqliu.

n. m . Sid dérivant do l’acide

COTARNOLACTONE n. f . Produit d’oxydation de la coarnuiio. V . cutahmnk.

COTARNOLACTONIQUE {nik’) adj. Se dit d’un acide qu’on obtient ou traitant la cotarnolactone par les alcalis. COTARNONE n. f. Chim. V . cotaknink. COTB-ED -DIN (Mohammed), historien musulman, né à La Mec(iue dans la première meitio du xvi* siècle do notre ère, mort en 1581. Il était professeur do droit hanéfito à La Mecque. Il a composé plusieurs ouvrages, parmi lesquels il convient de citer et- Bark-el-ïemani (l’Eclair du Yémen), histoire de la conquête de ce pays par les généraux de Sélim II et une Histoire de La Mecque des origines à 985 (1577).

CoTB-ED -DIN f Mahmoud), philosophe persan, né à Shiraz en 63-1 de l’Iiôgire (1237), mort à Tauris en 7io do riiégiro (1311). U fut l’élève du célèbre astronome Nassrod-Uin-Tousi, et partagea sa faveur auprès d’HouIagou ; il fut à la fois médecin, astronome, géomètre et philosophe. Il a composé plusieurs ouvrages, parmi lesquels un Commentaire sur le premier livre du Canon d’Avicenne. COTB-ED -DIN (Mohammed), surnommé Khvarizmshah, (roi du Khvarizm), premier prince de la dynastie turque qui porte ce nom, né dans la seconde moitié du XI" siècle de J.-C, mort en 1227. Il était fils d’un esclave nommé Noushtigin-Ghardjid, qui était arrivé à obtenir lo gouvernement du Khvarizm (pays actuel do Khiva). Cotb-ed-Din succéda à son père et prit le titre de « roi " sous la suzeraineté des Seidjoukides. Ce souverain gouverna intelligemment ses Etats et protégea les lettres ; il eut pour successeur son fils Atsiz. CoTB-ED-DIN (Mohammed), souverain de Sindjar, né dans la seconde moitié du xi" siècle de notre ère, mort en 1219. II était le petit-ûls du célèbre atabek Zengi, et il succéda, en 1198, à son père Imad-ed-Din Zengi. Peu de temps après son avènement, son cousin Nour-ed-Din Arslan-shah, prince de Mossoul, l’attaqua et faillit lui enlever Sindjar. Saladin vint à son secours, à deux reprises ditTérentes, et força Nour-ed-Din à renoncer à ses projets sur Sindjar ; mais le sultan d’Egypte avait mis un tel prix à son alliance que Cotb-ed-Din en appela à la fortune des armes, plutôt que de se laisser dépouiller par lui. Saladin lui enleva Nizib et Khabour, mais il échoua devant Sindjar. Depuis ce temps, Cotb-ed-Din n’eut plus de guerres à soutenir.

COTE (du lat. quota, sous-entendu pars, quelle partie’ ; n. f . Part assignée à chaque contribuabledans les impôts : La COTE foncière. La cote mobilière.

Cote mal taillée. Sorte de transaction qui arrête un compte au sujet duquel il y avait discussion. (Cette locution vient de ce que, anciennement certains débits se marquaient à l’aide d’entailles faites sur deux morceaux de bois rapprochés. L’un des deux morceaux restait aux mains du créancier, l’autre dans celles du débiteur. Quand on voulait régler le compte, on rapprochait les deux moitiés. Si les entailles ne coïncidaient pas exactement, on disait que la cote était mal taillée.)

Arg. do l’Ecole polytechn. Séance des co/es, Brimades.

. rpent. Chiffre indiquant la différence entre deux niveaux dans l’opération du nivellement.

Bours. Nom donné à un tableau des cours des valeurs mobilières ou marchandises.

Comm. Cote-palis ou Cote-paly n. m . Etoffe lisse et légère, dont la chaîne est de coton et la trame de soie grège, et qui est tissée par l’armure taffetas.

Dr. Marque alphabétique ou numérale, servant à classer les pièces d’un procès ou d’un dossier.

Géod. Chiffre destmé à indiquer le niveau d’un point par rapport au plan de comparaison.

Géom Cote d’un point. Cote ronde. V . coté.

Mar. Classement des navires en bois et fer au bureau a Veritas « .

Métrol. Mesure do longueur en usage en Moldavie et on Valachie, et qui équivaut, dans le premier de ces pays, à û",* !^ ?, et dans le second à 0*,6â4.

Sport. Rapport entre les chances de perdre et celles de gagner qu’offre un cheval dans une course. (I^a cote d’un cheval est à 10 contre I quand il est présumé avoir dix chances de perdre contre une seule de gagner.)

Tvpogr. Chacun des feuillets do copie numérotés que le cho ? d’atelier remet au rompositcur.

Syn. Contribution, Impdt. V . contribution.

Encycl. Hours. Dans son acception financière et commercialo, lo mot ente a deux sens. Il signifie : ou l’appréciation oflicioUe d’une valeur mobilière, d’une marchandise, d’après les cours do la première ou lo prix courant do la seconde, — ou le bulletin qui publie les cours do ces valeurs ou marchandises.

Depuis le i*"" janvier 1899, il y a, â la Bourse de Paris, trois corporations d’intermédiaires pour les négociations : les agents do change, les coulissiers à terme, les coulissiers au comptant. Chacune do ces corporations a sa cote. Los agents de change en publient trois : 1» Un© cote officielle quotidienne dont l’en-tÔte est ainsi libellé : Compagnie des agents de change de Paris. Bulletin de ta cote. Première partie. Cours autltentique et officiel, et dans !a-SuoUe sont mentionnées, avec leurs cours, les valeurs ont la compagnie monopolise la négociation. (Cotte cote comprend trois cases : la première est réservée aux valeurs â tcrmo ; la seconde aux valeurs qui no so négocient qu’au comptant ; ontln, la troisième fait connaître Tes cours dos changes ot des matières d’or ot d’argent) ; 2’ Une cote de quelques valeurs no figurant pas à la cote oflicielle, pour la négociation desquelles l’intormèdiairo des agents de change n’est pas nécessaire, et enfin so traitant oxclusivomont au comptant ; 3» Une cote hebdomadaire, dite Bulletin hebdomadaire, donnant les premiers, derniers, plus hauts, plus bas cours de la semaine, les époques do jouissance, ta jouissance courante, lo montant <iu dernier coupon, du dernier dividende, les taux d’émission ot do romooursomont. ,lo montant des versements effectués, tes emprunts ou nombre do titres cotés, les périodes d’amortissement ot les dates de tirages.

La cote officielle quolidionno est établie par les agents ot publiée par leur chambre syndicale, on exécution do l’ordonnanc)) d« police du !•’

thermidor an IX, do l’ar-

ticlo 70 du Code do commerce, du décret du 7 octobre I«9rt, ot do l’arrêté du ministre dos finances do juillet iSOii. Los cours, successivement détermiiuW jmr les négociations au comptant, sont, au fur ot â mosuro qu’ils se produisent, inscrits sur uo registre ^t}v :iut, dWt ot purapbii pur lo COSTUMER — COTE

commissaire de police de la Bourse, par un préposé de la préfecture de police, qui a lo titre de coteur. Onx des néguciations à terme n’y sont mentionnés que par premier et dernier, plus haut et plus bas. A l’issue de la Bourse, les ageuLs de change so réunissent pour vérifier et arrêter les mentions du bulletin destiné à on assurer la publicité. La chambre syndicale est maUrosse de sa cote. U lui appartient de déterminer les conditions auxquelles elle croit devoir subordonner l’admission ou le maintien de certaines valeurs. Toutefois, sur une injonction du ministre des finances, elle est tenue de rayer les valeurs étrangères qui n’auraient pas renouvelé leur abonnement avec le fisc. La Coulisse à /erme publie une cote, dite cote Desfossés, sous ce titre : Cours de la Banque et de la Bourse, On y trouve : les cours officiels des valeurs négociées par ia coulisse à terme, la reproduction du cours authentique des agents de change et des cours officiels de la coulisse au comptant.

La Coulisse au comptant publie une cote qui ne donne que les cours des valeurs par elle négociées. Enfin, il se publie une cote Lévadé, ayant pour titre : Ctite de la Bourse et de la Banque, donnant la cote officielle des agents, la cote do la coulisse à terme et celle do la coulisse au comptant.

CÔTE (du lat. Costa, même sens) n. f . Anat. Chacun des os longs et minces qui, en se recourbant depuis l’épine dorsale jusqu’au sternum, forment, de part et d’autre, la cavité de la poitrine, u Vraies cotes on Côtes stn’Tiales,CQcs qui s’articulent directement sur le sternum, et (|ui sont situées vers la partie supérieure de la poitrine, il Fausses côtes, Côtes floltanles. Celles qui s’articulent sor d’autres côtes, et qui occupent la partie inférieure de la poitrine.

Fam. Extraction, famille, par allusion â l’origine donnée par l’Ecriture à la première femme ; Aotissoinmes tous sortis de la côtk d’Adam, u Etre de la côte de saint Louis, Etre d’une naissance illustre. (Vieux.)

Par anal. Saillie longue et étroite : Une étoffe à côtes. Les CÔTES d’un melon.

Archit. Saillie qui divise la surface concave d’une voûte ou la surface convexe d’un dôme dans le sens de la hauteur, n Listel qui sépare les cannelures d’une colonne.

Art vétér. Partie du cheval ou du bœuf ; circonscrite par les épaules, les flancs, le dos et le ventre. (On dit, en T. de manège, qu’un cheval a la côte arrondie ou plate, suivant qu’il a la poitrine développée ou non, et, par suite, la respiraiion étendue ou courte.)

Bot. Nom vulgaire do la nervure médiane des feuilles, il Chacune des lignes saillantes du fruit des ombellifères. Il Saillies qui so trouvent sur les ovaires et les fruits, et qui résultent des nervures ou des décurreoces carpellatres. n Tahac sans côtes, Tabac dont on a été la nervure avant de le corder.

Boucher. Côte de bœuf. Côte de cet animal avec la partie de chair qui y adhère. (On dit côtelette pour les animaux plus petits.) n Côtes couvertes. Celles qui se trouvent entre l’aloyau et le paleron, it Plats de côtes couverts. Partie inférieure de l’entrecôte et des côtes, près de la poitrine, ii Côtes découvei’tes. Celles qui sont situées sous le Faleron.

il

Plats de côtes découverts. Partie placée sous épaule et le paleron, ii Côtes d’aloyau, Celles qui ont un peu de filet, jusqu’aux côtes couvertes, ii 7 ’rnin de côtes. Partie du bœuf q^ui contient les côtes, à partir de la troisième pièce de ! aloyau jusqu’à l’épaule, ii (aies de surlonge, Partie qui se trouve sous le collier, il Absol. Côte, Viande qui repose sur les dernières côtes.

Comm. Côte de soie, Capilon ou fleuret, il Côte rouge. Fromage de Hollande à pâte dure et compacte, il Cète blanche. Autre fromage du même pays à pâte plus molle.

Mus. Pièce du corps d’un luth.

Techn. Morceau do marbre ou de pierre, long et épais, servant à incruster, dans l’art de la mosaïque, n Partie excédante d’un battant de croisée, qui porto le volet. Il Nervure formée par lentrelacement des menus osiers autour des plus gros.

Loc. fam. : Se tenir les côtes de rire. Rire aux éclats avec force contorsions, n On lui compterait les côtes. So dit d’une personne ou d’un animal très maigre, n Avoir les côtes en long : l" Etre original, bizarre, ne pas ressembler à tout le monde ; 2» Etre paresseux, n’avoir pas la force de se plier â un travail quelconiiue. i i Jiompre. Tricoter, Mesurer les côtes à quelqu un. Le battre ù outrance, n Sen’er les côtes à qulqu’un, Le presser, le serrer do près, le contraindre â agir.

Loc. adv. : Côte à côte. L’un à côté de l’auire. — Fig. Ensemble, sans s’écarter l’un do l’autre, sans so séparer.

Loc. prépos. : Côte à côte rfe, Tout à côté, tout auprès de : Côtk À côte d’un pauvre. — Fig. Do pair, d’égal â égal.

Encycl. Anat. Les côtes ont la forme d’un arc aplati, d’une longueur variable, formant avec la colonne vortôbrale un angteaigu en bas. La

côte commence, en arrière,

par uno extrémité plus volu-

mineuse quo lo reste de l’os,

creusée dedeux demi-facettes

quo sépare une crête sail-

lante, et qui s’articulent avec

dos facettes correspondantes

du corps dos douze vertèbres

dorsales. A celle-ci fait suite

le Cot, portion plus éiroUe.

aplatie d’arrière on avant, et

s appuyant par une tubérosito

sur l’apophyse transverse do

la vertèbre qui est au-dessous.

Do ta la côte siucurvo brus-

quement on formant un angle

arrondi. Enlio. la côio so ter-

mine par uno section brusquo ot so continue par le carlilago costal ; â co point, elle est creusée d’une potlto cavité ovalairo qui reçoit lo cartilage.

Au niveau de langlodo la côte commence uno .lutro courbure, ou courbure do torsion. Lo bord inférieur do la côte est creusé d’une gouttière, oCi so logent les vaisseaux et norfs intercostaux. La première côte est la plus courte : ollo no présente qu’un© seule courbure ot forme un arc do petit rayon. Sa face costale ost inclinée on bas, sa face cutanée est tournée on haut ; de sorte quo cette côte forme comme uno portion du couvercle Incomplot do la cavité thorarlque. EIIo s’articulo quoiquef’ois nvee la clavioulo. Lu deuxième côlo est do m^^mo forme que la pré«dpnto : mais Turc qu’elle décrit uppartiouc À uu cortlu plus étoudu, m