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BENFIELDSIDE — BEM-KHIAR

Benfieldside, ville d’Anelsterrc (comté de Durham), sur le Derwent, affluent de la^Tyne ; 6.200 hab.

BeNGA. Géogr. V. Mbenga.

BENGALE ibin) [FEUX de]. Pyrotechn. Compositions particulières dans lesquelles entrent, en certaines proportions, du charbon et du salpêtre, ainsi que des sels minéraux ayant pour base la strontiane, la soude, etc., et qui, enflammées, se colorent diversement. V. pyeotechnie.

Bengale (6i«), région dellndeanglaise, formant la partie orientale de la présidence du même nom, entre 1 Himalaya et le golfe du Bengale. Elle est aussi peuplée que la France (38 !277.0fi0 hah.), pour une superficie près de trois fois moindrf ’]-" "i" l-ilnri rarr.). Sa population se compose pour fr-- ■ - !- ^ ’" ’^ d’Hindous, puis de musulmans et de IVi I ,. |i-u de bouddhistes et de

chrétiens. Villes pi ’ ; ’ ' ■ (861.000 hab., avecles

faubourgs), cap. ; l’.iiM.i, ll :r.iiii, Iia.xa,Gaya.

C’est la région du cours mtériour du Gange et du Brahmapoutra et de leur delta commun ; aussi, à part la lisière

■ ■•• ’-- — — •■- ’•"■-nalaya, le Bengale

e à peine au-dessus du niveau de la mer. La tem"pérature y est constamment élevée. Lors de la mousson estivale du S., le Bengale reçoit des pluies abondantes ; le sol n’est plus alors qu’un immense marécage. Cette humidité excessive et cette chaleur constante font de cette terre une des plus malsaines (c’est le pays du choléra), mais aussi une des plus fécondes du globe ; elle donne par an jusqu’à deux et trois récoltes. Dans les parties basses, ce sont des rizières sans fin ; les régions un peu élevées donnent, de plus, orge, blé, coton, canne à sucre, jute, indigo. Le riz seul occupe les trois quarts de la surface cultivée. Les forêts sont encore fort étendues. Par contre , dans ces terrains d’alluvions, on rencontre peu de minéraux ; plus au N., le bassin houiller de Ranigandj compte une cinquantaine de mines en exploitation. Grâce à ce charbon, 1 industrie se développe rapidement dans ces pays, jusqu’ici exclusivement agricoles. Le Bengale possède des tissages de soie, des filatures et des tissages de coton, des fabriques de salpêtre, de sucre. Le centre industriel est Calcutta. Par le chemin de fer qui l’unit à Bombay, par son port de Calcutta, sur l’Hougly, bras du Gange, le Bengale fait un com- ■ ■ ■’ -’- -’" -’z, du froment, de la

’. celle-ci n’e

merce importât

houille, de l’opium, ue i luuigo. l.

tions vont en Angleterre, tandis

le commerce d’importation du Bengale que pour un quart.

— En 1656, les premiers marchands anglais s’établirent

dans le pays ; en 1765, ils le possédaient tout entier.

Bengale (6m) [golfe du], formé par l’océan Indien, entre les deux péninsules de 1 Inde (côtes de Coromandel, d’Orissa, delta du Gange ou Sanderbands) et de llndo-Chine (côtes d’Arakan, de Birmanie, de Tenasserim, de Malacca). Au S., il s’ouvre largement sur l’océan Indien ; de ce côté, les points qui le délimitent sont les caps Comorin et Dondra, au S. de l’Inde et de l’ile de Ceylan, la pointe N. de l’Sle de Sumatra, l’île Salanga, sur la côte indo-chinoise. Ses deux dimensions extrêmes, du N. au S., d’O. en E., sont chacune de 2.000 kilom. environ. Il forme les golfes secondaires de Manaar, entre Ceylan et l’Inde, et de Martaban, à l’E. Il renferme l’ile de Ceylan, que le détroit de Palk sépare de la côte indienne, les archipels des Andaman et des Nicobar, entre le cap Negrais (Birmanie) et Sumatra, les îles Mergui, sur la côte de Tenasserim. Il reçoit la Krichna, le Godavéry, le Mahanaddi, le Gange et le Brahmapoutra, l’Iraouaddi, la Salouen. Ports : Madras, Calcutta (delta du Bengale), Rangoun (delta de l’Iraouaddi). Les courants du golfe de Bengale changent de direction avec les saisons ; ils sont déterminés par la mousson du S.-O (été) et par celle du N.-E. (hiver).

Bengale (dm) [présidence du], une des grandes divisions administratives de l’empire indien. Elle occupe la partie nord-est de la péninsule hindoustanique ; elle est bordée au N. par le ^epal le Thibet et le Boutan a 1 E par l’Assam et la Birmanie au b par le golfe du Bengale à l’O. par le haut-commissar at des prov nces Centrales et le vice-gouvernement des provinces du Nord Ouest Le lieutenant-gouverneur du Bengale res de à Calcutta

La présidence du Bengale qui mes r»> n» i» ; 1 1 irr et compte 71.346.000 hab {Benqal s) i il i s ns suivantes : Bengale proprement i t i 11 i r

et 38.277.000 hab. (prov deRalj 1 1 ’ 1 < ■ !’

cutta, Dacca, Tchittago i ) Bol 1 r t

24.393.000 hab. (prov d f I 1 I i

Nagpour, 69.841 kilon d

25.519 kilom. carr. et 4 le

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importants sont ceux de Iv II I ar t 1 II 11 1 | péril

Bengali {bi

co_,>a^s

personne i

ihalite is habi-

. Qui appartient au Bengale tants : Race bengali.

— Rem. Le genre du mot bengali offre une particularité singulière : comme substantif et adjectif masculin, il prend

■ la marque du pluriel : ies Bengalis ; les -peuples bengalis. Il ne prend jamais la marque du féminin, et, à ce genre, il ne s’emploie qu’adjectivement et il ne prend pas la marque du pluriel. Ainsi, l’on dira : Les usages bengalis ; les coutumes bengali.

— n. m. Idiome que l’on parle au Bengale.

— Encycl. La population du Bengale est loin d’appartenir à un type unique. A une époque très ancienne, le pays paraît avoir été occupé par une race nigritique de petite taille (Négritos), dont on retrouve encore quelques traces. Des Mongols, venus sans doute du Thibet et de la Birmanie, se sont mêlés à cet élément primitif, et une nombreuse colonie aryenne s’est solidement installée dans la contrée plusieurs siècles avant notre ère.

Ceux qui appartiennent aux classes supérieures, prêtres et marchands, ont la peau jaune bronzé (jaune clair chez les femmes), ils ont les cheveux noirs, abondants, le nez court, droit, et la bouche large. Leur corps est petit et leurs membres sont grêles. Les classes inférieures sont de petite stature, leur teint est olivâtre ou noir, et l’élément aryen leur a imprimé les traits et le visage ovale de la majorité des Hindous. Les Bengalis sont très intelligents, mais liches, fourbes et sans scrupule.

La langue bengali, la plus parlée dans l’Hindoustan, après l’hîndoustani, quoique renfermant un grand nombre

do mots étrangers, se rattache au sanscrit. Néanmoins, Bopp affirme qu’au point de vue grammatical elle en diffère complètement. On peut distinguer dans le bengali la « langue écrite », respectueuse de la tradition, et la « langue parlée » , qui sert dans l’usage courant. Le bengali tend à s’altérer, soit par l’imitation savante du sanscrit, soit par l’introduction de termes étrangers : persans, arabes, anglais, etc. Sous le rapport du genre de vie, des religions. Tes Bengalis offrent les plus^grandes affinités avec les autres babil

de l’Inde. ’V. Hindocs

BENGALI {bin— rad. Bengale, parce que c|uelques-uns decesoiseauxvenaientde l’Inde) n.m.Genred oiseaux passereaux conirostres, famille des plocéidés, renfermant de petites formes habitant les contrées chaudes de l’Afrique, l’Arabie et l’Inde. Le nom scientifique du genre bengali

EengaUs.

qui viennent surtout d’Afrique, d’oii on les exporte par quantités énormes. Les espèces que l’on voit le plus habituellement chez les oiseleurs sont : le cordon bleu ou astrild papillon {mariposa phœnicolis, et Vastrilii ondulé {eslrelda undulata), appelé aussi /. . i ". :. .|ii[ viennent tous deux des régions méri’li’i i ■ i i’.

BENGALIEN, ENNE Ijili appartient,

qui a rapport au Bengali .1/ / ;, m :,., m.ienne.

BENGALINE (im) n. f. Sorte de foulard ou de mouchoir

mprimé :

■ fond .

BenGESCO (Dabija Georges), poète dramatique roumain, né à Tirgoviste en 1837. Il embrassa la carrière militaire et fit, à cet effet, des études spéciales à Paris et à Vienne. Bengesco débuta dans les lettres par une comédie d’après Eugène Sue : l’Amour d’un oncle. Ses meilleures pièces sont : Badou, drame historique, et Pygmalion, roi de Phénicie (1885). En collaboration avec le D’ Otremba, il a écrit la première opérette roumaine, Olteanca, et a traduit la Fille de Madame Angot.

Bengesco (Georges), diplomate et bibliographe roumain, né à Craiova en 1848. Nommé en 1891 ministre plénipotentiaire à Bruxelles et à La Haye, il a été chargé, en 1896, de renouer les relations de la Roumanie avec la Grèce. Comme écrivain, il est connu par d’importants travaux bibliographiques : ’ ' ’ i»-e.5 (1882-1891) ; Essai c question d’Orient (1897) ; etc.

Benghazy ou Ben-GHAZY, ville et port de l’Afrique du Nord (Tripolitaine), à l’entrée orientale de la Grande Syrte ; ch.-l. du vilayet de Barka ; environ 20.000 hab. ; au ,■----—-. :■-- :- !-- -- produits agricoles :

notice bibliographique

débouché d’un territoire céréales, fruits, légume avec Malte et La Cane merciales intermittente : C’est l’ancienne Bérénit pôle cyrénéenne, ainsi Qrennah, site désert, à BENGIRI(Ain)n.m.Ge

. de Barka

es, bétail ; commerce assez actif je (île de Candie) ; relations comis avec le ’Wadaï (Soudan oriental). ce. une des cinq villes delaPentade l’illustre Cyrène, auj. itrée N. du plateau de Barka. d’euphorbiacées.V. excécaire. Bengkalis , île de l’archipel appelé Brouwers-Eilanden, dans le détroit de Malacca, sur la côte E. de Sumatra. Elle fait partie des Indes néerlandaises. — Nom d’une division do l’ile de Sumatra, la plus grande de cette partie des Indes néerlandaises, et d’un des trois districts de cette division ou afdeeling. — T^om d’une ville, ch.-l. de la division de Bengkalis, dans Vile de Bengkalis ; capitale, entre 1873 et 1887, de la résidence dite de la côte E. de

(Jean), archevêque d’Upsal, né en 1417, mort en 1467. Lorsque Charles Canutson Bonde fut proclamé roi de Suède après la mort de Christophe de Bavière, Bengtson rassembla des troupes contre lui, le vainquit, et se mit à la tête du gouvernement. Christian, élu roi par les Danois, vint prendre possession du pouvoir en .Suède, et fit arrêter l’archevêque. Il lui rendit la liberté, quand Charles Canutson fut rappelé par les Suédois ; puis Bengtson le força de nouveau à fuir et exerça une seconde fois le pouvoir avec une dureté qui souleva contre lui de sanglantes révoltes. Enfin, ce prélat ambitieux fut obligé do chercher un refuge dans l’île d’Œland.

BeNGUÉLA, un des quatre gouvernements de la colonie portugaise d’Angola, sur la côte occidentale d’Afrique, entre le gouvernement de Loanda au N. , et le gouvernement de Mossamedes au S. Ch.-l. : Sa6-Felipe-de-Bengui’la.

— Encycl. Le Benguéla est un pays montagneux, qui renferme le nœud orographique des monts Oulondo, entre les ramifications duquel naissent les nombreux cours d’eau qui arrosent la colonie, et dont les principaux sont le Coanza et le Cunene. Le climat est redoutable. Les bords de la mer, en particulier, sont malsains, et c’est seulement dans l’intérieur des terres qu’on rencontre des districts salubres et d’une grande fertilité. Récoltes merveilleuses ; abondance de bois précieux ; les plus beaux échantillons de la flore des tropiques ; innombrables animaux domestiques et sauvages ; mines d’une grande richesse.. Exportation considérable d’ivoire, de cire, de gomme, d’huile, de minerai de cuivre. Importation d’objets manufacturés. Population peu dense, difficile à évaluer, car le nombre des nègres indépendants dépasse celui des nègres nominalement soumis, lin certain nombre de métis : peu de blancs. Depuis l’abolition de la traite des esclaves, qui était la principale ressource du pays, c’est la partie de l’Angola qui a fait le moins de progrès.

Benguéla (Saô-felipe-de-), ou simplem. Benguéla, chef-lieu du gouvernement de Benguéla, dans la colonie portugaise d’Angola, avec un port sur l’océan Atlantique. Population d’environ 3.000 hab., presque tous do couleur. Hôpital militaire. Ecoles.

— Encycl. Le port de Benguéla, qui exportait autrefois

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20.000 esclaves par an, après avoir beaucoup perdu de son importance, s’est de nouveau considérablement développé depuis quelques années.

BenGUET, district de l’Océanie espagnole (Philippines [île de Luçon, dans le pays des Igorrotes]), encore presque désert.

Bengy-SUR-CRAON, comm. du Cher, arrond. et à 29 kilom. de Bourges, sur le Craon, sous-affl. de l’Yèvre ; 1.262 hab. Ch. de f. Orléans.

BENI, mot arabe. V. ben.

Beni (Rio), rivière de l’Amérique du Sud (Bolivie), imlortant affluent gauche de la Madeira, affluent droit de

. Cours d’ï

I kilom.

vaste de la république de Bolivie ; peuplé de 27.000 hab., sans compter les Indiens insoumis, sur une superficie de 704.000 kilom. carr.

Beni (Paul), littérateur et savant critique italien, né dans l’île de Candie en 1552, mort à Padoue en 1S25. Il professa la théologie, la philosophie et les belles-lettres. L’amertume de sa critique lui créa une foule d’ennemis. Il soutint le Tasse contre l’académie délia Crusca. Ses œuvres complètes ont été publiées à Venise (1622).

Benicarlo, ville fdlpte et maritime d’Espagne (Valence [prov. de Castellon-de-la-Plana]), sur la Méditerranée ; e.OOO hab. Toiles de chanvre, distilleries, moulins à huile, vins. Assiégée par Cabrera en 1838.

BÉNICH (nich’) n. m. Robe de drap avec de longues manches, que les Arabes portent comme robe de cérémonie par-dessus lesautres vêtements. Ellese porte aussi aujourd’hui, en Syrie et en Egypte, sous la djoubbé.

BenICIA, ville et port des Etats-Unis (Californie), sur le Car-

BenidORM, ville maritime d’Espagne (Valence [prov. d’Alicante]), sur la Méditerranée ; 5.400 hab. Fabrication de sparterie et d’étoffes de laine ; moulins à grains et à huile ; pêcherie fructueuse. Station balnéaire.

nce]) ; 3.200 hab. Fabriques de porcelain

On (

été

ivoyé pa.r saint Poïycarpe. II passe pour avoir été i tyrisé à Dijon vers l’an 179. Fête le 1" novembre. BÉNIGNE {gn mil.) fém. de l’adj. bénin. V. ce mot. BÉNIGNEMENT (ffnmll.) adv. D’une manière bénigne.

— Anton. Malignement, méchamment.

BÉNIGNITÉ [gn mil. — rad. bénin) n. f. Douceur, indulgence affectueuse : Nous def :ons la justice aux hommes, et la bénignité aux autres créatures. (Montaigne.)

— Astrol. Disposition propice, favorable : Jupiter et Vénus sont les planètes qui ont le plus de bénignité.

— Méd. Caractère d’une maladie qui n’inspire aucune inquiétude : Fièvre d’une grande bénignité.

— Syn. Bénignité, bienfaisance, bienveillance, bonté, débonnaireté, bumanlté. La bonté est une inclination générale à faire du bien. La bégninité est une bonté douce, facile, propice ; c’est la qualité de celui qui ne fait jamais le moindre mal, dans les circonstances même où le mal semblerait naturel. Bonté et bénignité se disent aussi des choses. La bienfaisance, c’est la bonté traduite en actes et qui aime à agir. La bienveillance est moins que la bienfaisance : elle consiste dans le désir de faire du bien, dans une disposition à en faire, et quelquefois même dans une simple disposition à écouter favorablement. La débonnaireté était autrefois la bonté portée à ses dernières limites, la bonté que rien ne rebute ; aujourd’hui, ce mot se prend souvent en mauvaise part ; il représente une bonté qui va jusqu’à la faiblesse, qui n’est qu’un manque de fermeté et de caractère. Enfin, Yhumamté est la bonté envers nos semblables ; c’est la disposition d’un cœur qui ne peut voir souffrir les autres hommes sans éprouver un vif désir de soulager leurs souffrances.

— Anton. Malice, maligaité, méchanceté.

BeniGUET (île), petite lie des côtes de France (Finistère), à 6 kilom. de la pointe Saint-Mathieu, dont elle est séparée par le passage du Four.

BenI-HAMMAD, nom d’une puissante famille qui occupa au xi« siècle un royaume dans le Maghreb central c

Badis, qui

au nom des califes fa-

e royaume fut d’abord

i tard Bougie. Les ruines

!S montagnes de Kiana 

a.Kalaa dos I li , ,

de la Kalaii

(Hodna [pri. ’ !■ ’ "h i.iiimmi- ..

Beni-hassan-esch-schorouk, village d’Egypto (gouv. et distr. de Minyèh), sur le Nil ; 1.300 hab. Grottes tumulaires ou hypogées creusés dans les rochers qui font face au Nil, à 3 kilom. au N. du village actuel ; antiquités nomhreusos et remarquables, inscriptions hiéroglyphiques.

Beni-hemel, village de l’Egypte (Haute-Egypte [liriiV. -Ir i.liMLlirh i ; C.OOO hab.

Eeni-isguen, ville et oasis de la confédération du Mzal. lAluonc ;ao|iart. d’Alger]), au confluent de l’oued Mzali 01 de l’nuo.l Ntissa ; 5.200 hab. Ce ksar est le mieux construit, et le plus riche du Mzab. Bâti vers l’an 748 do l’hégire (l.i47i, cotait au début un petit bourg habité par une fraction mzabite. les Beni-Isguen, auxquels vinrent se joindre au début, du xvi» siècle, les Oulad-Ba-Sliman chassés de Ghardaïa. Depuis, la ville put rivaliser avec Ghardaïa de richesse et d’importance commerciale.

Beni-KHALLED, ville de la Tunisie septentr., dans la presqu’île du cap Bon ; 1.600 hab. Oliviers, céréales, fruits.

BENI-KHIAR, ville de la Tunisie septentrionale, près .le la mer, dans la presqu’île du cap Bon ; 2.200 hab. Céréales, oliviers, fruits, lin ; tissus de laine.