Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, I.djvu/105

Cette page n’a pas encore été corrigée

89

ADOWLY M. m. M,.|rol. V. ADllol.ÉK.

ADPAO .Ml ADPOWE 11. m. Mosuro usitéo dans Mndo ’"111 li’s riKiUi.jvs sècliu.s ; on l’iSviiliio ordinaironiKnt au 7, -% ; , | ;" !-'"o. ’1 vaut 119.801 grammes ; à Bombay, AD PATRES . mois lat qui .sifrnif. Vas le, ancOlres) loc. ili’.iiri’r " ’"'■■’■ *’"'"■"•■ Il ’■■’"t’oycr ad patres, Kairo AD PERPETUAMREIMEMORIAM, premiers mots latins t^Lt^Zl^n !^’"'" ! ’^""’" ;’»"’.1<’ j"goment rendu par le saint-siège sur . ne doctrim oui lui a élé déférée, et qui Mgnif. : A la „|,i,„„„-,,. élc,-Ml)e du fail, de la chose, (des mots sont passes dans la langue courante.) ADPHALA,NGINE (du lat. ad, auprùs do, et do phahm-

!;" !■■} M. I. 1 liiuaiiyino accessoire. 

Adporine. Astron. v. Astoihnk.

ADPROMISSION (du lat. ad, à, ^i promMo, promesse) t. I >l . [ UNI. I i'<itiii>vs ;n foirn ni».....,. . * > ... ’ n.f. 1

aeL’.-ss.,ir’.'iii,.|,

pal : .’.■i.ui un

AD QUEM (I

emploie

..■sso laite paruno personne pours’oldiger 1 la m<ime dette qu'un promouaiil i>rinciii.

on de cautionner cette dette,

is lat. qui signif. Pour lequel) loc. adv. • langage juridiquo pour exprimer le jour "inpte : Le jour ad qukm. h par contre on duquel on cômpte.°" " *"" "" "’^'=’"" ’" J""’- * ""■• Adra (l’am-, Ahdèrc des Romains), ville maritime d’Esch ? r,nnHs .l,''i 1,’,' I ’*'"’ ^*’Jf"anéo ; 11.500 liali. Ki-ADRAGANT, ADRAGANTB ou ADRAGANTHE (corriM.é’nim. ".’,.|['^’"'l’ ;"î"’ " S--- "•"tf"». l’ou’-. ot akantha, ilFn l i,f r 11. "’.'" epmmo qui sort spontanément en in. À ’"'"'^■■",<"’ dos tiges do plusieurs arbrisseaux du fecnro acs astragales : La nomme adragante tient de l’Asie d-ADRAGlNT ^ "" ^"- " "° ’^ "’^*’ "’""""’ ,i.T„ ?’ !'"" La ffomjKe arfrar/an/e seprcsonto sous forme ionfle fl n • ;• ’"i" ? V" ’"*" bouillante, elle so

?f i ni ," ’■■"1 troide et y forme un mucilage visqueux 

fie^uà fihV""’" "î®"’ ,"’ a 1 apparence d’une gelée con- „«r V„ if "■■ pharmaciens s’en servent pour donner de la consistance aux médicaments, faire des pasd s gelée °°Elïl ’Inf.Tf"’" ?- P«"P’-«pàrer des crén’îos, des gelées. Mie entre dans la compos t on des tablettes de couleurs destinées à la miniature et à l’aquarelle et sert pour apprêter les cuirs et les tissus. ^I"""""’ ^» »,ll°*P*T"’^ "• f- P’-i"<=ipo immédiat do la gomme 3eTa°olm’nr’ le"’" ^"l" ’^^"^’=' g""’" l-i découle «nJf-F./ ^ """’ "’"■’^^ fruitiers, ii On écrit aussi de^n^f^T^^^,"’ ""^d«s deux divinités en l’honneur enf ?r„. r ,’ • :■’"" ;’" ’l'r’ Sepliarvain brûlaient leurs ntf^.T !^^""’ " " ^™"achérib, roi d’Assyrie ; Jéîusaîo pT"i’„r", ■’"" ’■'"’""■ •’" ’■<"’Plition contre se r^tw i ; contraint par son frère Assarhaddon de se relugicr en Arménie.

AdramYTTIUM ou AdRAMYTTEUM, ville de Mvsie m,/ ?/^„„ ’(■■" i’,r """’ f " ^’■^^"^^ au fond du f,ol/e d’Adramytlmm. était une colonie lydienne ou athénienne. boM^nit^tL,","^-,’^*’"' ■•7- d’Allemagne. C’est sur ses mains " *"■"’ ««^amcus battit les Goreo ^n^" !"’ '^T montagneux du Sahara occidental, peu connu enserré entre deux lignes de hautes dunes (isi m ) ce qui lu. a valu son nom i’Adrar (la Montaqne). Des n™el- 2t sunoTt Ve"n ?°h "fPt’^'P^" ? ^"^ ^1’"'* de Ouldan sooohnh u. Chingheti ; la population est de 7.000 ou hiil le fu (Arabes me anges çfo Berbers), qui cultivent lo mil, le b é, 1 orge et extraient do la lagune d’idiil un sel estiau Alaioc au Sénégal et aux pays du haut Niger fait un rat’ ;a’Sher’b"- ^’^ Espagnoï/ont essayé, en^l887 de le Us IW f.,f,l possessions du Sahara occidental mais nré enfinnl ^f f .s>'cc6s. La France ne peut admettre ces FAdrar don, 1 , ,°™°,^"ïe’" P"’"" ^’^ ^P^"-" d’influence Adrar, dont le sultan a fort bien accueilli, en 1892, Léon labcn, envoyé vers lui par le gouvernement du Sénégal. Adrar, une des villes les plus populeuses du Touit &hab !’""""’ '""" ^^-ii^tricFde rZmL Pop : ^/^/’^^■"^^ AouELiMMiDEN, contrée de l’Afrinuo (Salian. l’oa L i’iin^n " entre le Niger en aval de ToXuaoù et e sa it iniîr„„ ’*"" ;■ °" ’"'.P’^J’^ ’■■^"^ "al connu ; on le sait montagneux et se rattachant, au S.-O au Dlatcau loi^è’s'i’celfl"1* ^’.Ti ^.^^^é dans’ des condi^onrina" logues à celles de 1 Algérie, fertile, propre à l’élevage lin n’iderèccit’, ?' P°" ’«"^ EuroPpée’^ns. les’Tor m*orf^ ;!^ll"ke’ ?-.,’^.T" ;-''"’<^"’^ coléoptères pentade i,-„ ;, ;?n^i ^ élaténdes, renfermant de petits tLpins et miri^Toifale."’ "" ""»^â’^«^. habitant l’Euïope centîalo Tl^l^^^nT*^’ ■’"j f ■^■’.^"s, accueillit Polvnice chassé de blh-la ,. ;nv".’li,eT ^i™ ?’ ?.’,"} «"’■•"prit pour lo rétaleurreS’o s dovan, ThM,''"’^ ?^"- ’^"^ "^’"^’^ épuisèrent d-Adrasie P, f.^t , " ?• P,"""™’ '««s, à l’exception oAuiasic, et turent vengés plus tard par leurs fils les Ep,,io„es, qui prirent Thèbes et la dévastèrent. .-C °n teTff„ !i-Vh*'^^ r.^^^ ""-^’ei". vers 600 iited„ ?/’ Ifl^’^."^"’"" ’^'■" :^»^. --oi do Lydie, ^

Adrastée.

lyer ; suscription

’" .ii’i'iver à dosti-

"" MiKIiSSE.

suite do la mort de s.

rement, et ce prince I

.Lyc . ,_.

tue involoniai

Mais Adraste,’ dans ui„. ,, , / ." Il ’L™ " ’^ ■^'>^ : ravageait la Mysie, eue ,.,,,.,,,. i, „,,,.,„ .u"""  !" oune nrinre ,1",, ;, .^,i. ■■< 1 "I illiour do.percer le Péré Ï,Z "" ^ ?>t ’i ;i i.l destinait au monstre. DésestoinbVa, , d (l’I r ’ ""’ P^donné, il se tua sur lo H^ !î^î^ ?’^Sf^^’S^tî^-C’i^’^rs^

reste que dos fragment», vivait vers lo commoncomont .lu 11 sKcle de notre 6ro. II avait aussi écrit sur l’astronoi, iZ-im, „A’t."iMr’"""’™'..,ealonient philosophe péripairo ^i -, ’, *,™iJ>P"..villo do MacéJoino, rforisiait’do .00 à 317 av. J.-C. Il avait écrit un ’Iraité sur lu muêiaue .i.int 11 ne reste que des fragments cités par Porphyre ! n,^’i^f’^'^i- •"■ ^’ ;!"’i ?soau de la famille dos dilléniacéos, qui croit en Nouvello-HoUande.

Adrastée (du gr. a priv., et

dran fuir). Ce nom signifie Vlné-

vitable. Sous sa forme la plus an-

cienne, Adrastée ost soit une flUo

de Mélissus, roi do Crète, soit

une nymphe de cette îlo ; et elle

est chargéo du soin do Jupiter

enfant. Plus tard, son nom est

associé à celui do Némésis, ot

on confonil les deux divinités,

bile personnifie ce qu’il y a d’iné-

vitable dans la justice.

AD REM (_mots lat. nui signif.

.1 In chose) loc. adv. r^ettement,

i-ategonquement, sans détour,

sans ambiguïté : Mpondre ad

REM. Il Adjecliv. Approprié à la

question, à la circonstance : /(<■-

potlSe Al) REM.

ADRESSE (rad. adresser) n. f.

In.licalioii lin domicile d’une per-

s.inno, du lieu où l’on veut aller ,

nation : /«n.v.s,’ hhmv , //’,,,’,',"’,"

— Bureau il’ :!,/ : ,,, . i ’i •, 1,(1- ./.,,,, ,,,, ..i, v , pouvait aller .il. n h, !■ 1,^ .j,,,. . ’i ’ chacun dont il avait bes. ,11 i- . ’"^ i’ ^""ignements d’adrpi- !p’ ! s,i ,1 ;.’ .i’-'.,." ^"’fc’.- "^t ’aui- ' > un vrai bureau voiles du ?„,, ^ r ""1°" "i"’ '■’*" "«""S les noure, MeilI»V, r’ ^"1"" ^""’^^^ "" ’1'"» personne qui les recueille et les colporte. 11 Prendre quelquwi oour son bureau d’adresses. L’importuner par des quostkinf ou par des commissions indiscrètes questions ou par «-rr^^’^A^^^Ss^â/ïlie^^e’ ^^ ^’ "’""’"""’"'■ un discours dans lequel un cor|s consSué expr ?mo au "sTeS" c’est l^r^r"^ "’ ^^^.™^’ Oans u^Ter^plus sH,n.T.f„A„^i ’""^yiois ? que, dans les monarchies cont, re d„ ’"' Chambres législatives font, à l’ouverr „Lf . ?’""’T ^""°"’ ="» discours de la couronne L, usage des adresses est originaire d’Angleterre • il a Sels En^Frlf.f’^^il.M^ P’-P^" "’^^ Etat ! constîtùt on^ âvai’t nn^^. H "■’"" * ’*^*’ '^ discussion de l’adres.so avait une grande importance. C’est dans une de ces membres ^lu ? ivafenf ^V ’" ? ’^'^P""^ û^’"' ’=<•- d« -s ntî^^^tl % "raient fait visite au comte de Chambord ù. Anl^s no), ??’ r^^^o/’^i’^^. le traité conclu avec les t^I^f- P " ■’" ■""■ <•" ""«’te. qu’elle empêcha une d ?utrZ ■"’T' ? ™’""’ Madagascar. Vahesse des deux cent mifft et un, au roi Charles X, ainsi nommée parce qu’elle fut votée paruno majorité de 221 membres l^èn^tifre^PT^"’"' fit époque d^ns notre histoire par’ deniAlfJ ’,•"’" ! ’.i^P’"'"*"’ de la ChambrJ et entôt la révolution .le Juillet. Supprimée après la révo- •in ?.rn’ ;iin’,77''^ ’■■' ^".""^blie en 1861. Le droit 1 rpLiiaiio 11 n existant pas dans la constitution de 1852 v„mn= !.^„’, ?’i ’ 'adresse était la seule occasion offerte à 1 opposition de so laire entendre.

— Mœurs et coût. L’industrie des adresses, à Paris est Tt^ur" FuLt%^i^'r"’T"’ '"" ’f -ont’ appelés "tour a tour bureaux d écritures, bureaux d’adresses^, de puhlicué, etc. et qui rentrent dans la catégorie générale des dfZT’.'^^" ^ "’i" 1"^ '° °" prompte expédition do tout ce qui est distribué à grand nombre, sous bande et a domicile : prospectus de magasins de nouveautés et d industries diverses, circulaires électorales, bulletins de vote, etc. Certaines de ces maisons se livrent, dit-on, à une industrie moins moffensive : elles fournissent aux mendiants de profession des listes d’adresses do personnes charitables, avec renseignements particuliers, tels <iue 1 heure où on les trouve chez elles, le genre d’infortune n ’l-ïll . !," ?vr ?’.Pi’"/P.^’=*'<""« ^onlibles, la somme qu elles ont 1 habitude de donner, etc. ADRESSE (rad. adroit) n. f. Dextérité, habileté dans 1 . x.-i cice des facultés du corps ou do l’esprit : Manier un ciinril arec ADRESSE. Peindre arec adresse.

— ^<e- Ruse, finesse : Mentir arec adresse. -- roi»- rf’aA-cMc, Tour, prestidigitation, escamotage, etc. i„r.. ■ Adresse, art, dextérité, entregent, haJbUeté, m^nn ■ =^°’r*^f- i^àubilcté se dit do la facilité, du tac ^ffni^„ P’" !"° ’■'"’^ la conduite et dans la direction d’une attaire ou d un travail. Vart suppose de l’étude. L’industrie suppose de l’invention dans îes moyens. Le savôu^-M-e nest que de l’habitude. VadrcKC suppose de la iustesso dans le’s'.r^v""""" ;’ ?"^- ^■ t"^'^" "><"q« de l’iabiVe é dans les travaux do la main. Uentregent est le savoir-vivre „j/^"’°'*’ ^aueherie, impériUe, ineptie, inhabileté,’ maladresse, malhabileté. "-""oto,

ADRESSER (.1.. à, et ,/rc.«er) v. a. Faire parvenir,

! , "■ ’ ' ’  ""’"Jt quelque chose ou quelqu’un, souvent 

■ <<-. r.-conimau.laiion : Adresser «ne lettre, un paquet à quetquun. Adresser un pauvre à un bienfaiteur. 11 Donner : Adresser des conseÙs. 11 Appliquer, porter : Adres-XMi’ siécfc adressaient leurs Œurres à quelque grand per- ■,w3^ ;’^f"' " proférer, exprimer Sans’ uno certaine intention : Adresser des vœux, des injures S^,"i™««T ’" ’""■"’i ? V«elqn-un, Lui parler diroctenienl. ù’aoresser, v. pr. Etre adressé :

C’est .1 vous, s’il vous plall, que ce discours s’adresse. loi’ nn.fr ![„T"’i q"olqVn. .avoir recours directement à lu. pour demander ou obtenir quelque chose ; S’adresser ADOWLï — ADRIATIQUE

Adrets (François DB Beaumont, baron des), célèbre Immo do guerre ;iu xv.- siècle, né en 1513 au châicaS , ,„ ’ ; I «emton Italie soa.s Lautrcc et devint en 1555 colonel do» légionnaire» du Dauphiné. II guër^ova t en Piémont quand ,1 fat fail pri.wnn er par ésTspSs ï Montocalvo. Il attribua sa mésaventure à ChaH^Aillv do Pocqu.gnv, et l’accusa do l’avoir trahi N’avan’V ni Pa t,"det’3^ ?""’"' ’"'n"’ •■ ’•'• " P’^'a dans KaE-ï et mie. îgardaTavil’iê.o’vi’,' "’""""’" "" "« "’^8’"" (1502) et se lifn ,m,„r ; Valence comme place d’arme» 1 i.iuij, et se lit nommer lieutenant du pr nco de CnuA/. tn... . Hw'r" d""' '"1 "'" <"> fc-entilhommo ordinaire de ta . hambre du roi, do colonel de» légionnaire, o en s’a^oï wf ■ !?’,"’ ««"""■ant général Su roi en Dauphiné K r" :, 1 ""^*- ^ T’"" ■«’ violences, or il so fak une grande réputation do cruauté, sans doute exat-éréc mais qui paraît cependant avoir été remarquée en ^i.eéiiZo îô Z„l """’"r’V P"" ’»P’"^- Ses bandes infeSm ô unîet" ?56llo,V ? ’ ?,•’"'*, •’■' «château dé Mombri o" se /n,er -1 , h ’• . ^ ’ "''B"" ’"* atholiqucs prisonniers à t^niMontïnM . M""" ’OU--’. «P.loit qui renouvela pins I™ns oS’ .^vni i ■"’^■/^’.' pr sonnier par ses compa-Mons qu 11 avait mécontentes, il fut livré aux commissaires du Languedoc et enfermé au château de Nim™ ou iZ7r’,V"’- """ P""’^' ^’^'l’"' pacification d’Amb^is . cfur î M T’* ","• ’"' ■"<""> ’â libené. Gagné par la château de r,"Fr^ P-’o'o^antisme et se ntiTS daris son cènr.^.lr^^’^'"" P"’^' "" ■="• ’■' combattit ses anciens coreligionnaires comme colonel des gens de pied du in Z«’"*’ "’ ^’"^ "°"""^ chevalier do Sainl-.MicherTenu iûJlflZ^i^ "’."^"»’ partis, il fut encore ar été et ’uAàH."-^^ " ^ "o’" ’"« ’0 tira de ce mauvais pas et le ht même rentrer enfaveur. A la Saini-Barthélemv len.e !;[’i,Pté^r’,' ^"’^ " *" «t>olever de son VomS emen et vécut dans la retraite jusqu’à sa mort, pratiqu, int la rel.gion catholique. II n’est plus guère connu .l’i'- par sa dureté et sa férocité légcnifaires ; .■•i^in^tnc< !" n™7-.^’-=",’P°^- O" ««^•’■e»’- ^ur Je . anal iiianco ; 1 1 .(,00 hab. C est le s ège d’un évéehé et lo chcf-licu du canton d’Adria et de Tarrondisscmint du même nom (41.000 hab.). Elle s’élève à peu près sur l’emplacement do l’ancienne Atria, port de me¥ qui a donné I « ? H "Tka- ’ •’Adriatique, et qui, grâce aux alluv-iont du PA Il tllim T’ "" aujourd’hui éloigné de la mer d’environ 20 kilom. Commerce de grains, de bétail et de cuirs. Adrian, ville des Etats-Unis (Michigan’,, sur la rivière f^ncllonT ^l J"^’^ ’^f" ? ’" ""= E"é ; 7.149 hab. Point do esvr,H»c^,’^"""l ?i",1"'>f’"'^ communiquer avec es vil os do Chicago, Cleveland et Détroit : cette villo est importante sous le rapport de l’agriculture et du co^erco de^Jm^t^^n- S’ ^^"^ d’euphorbiacécs, dédié à Adrie^ Hollande .)■ ’^ ’"■"’"" "^t "" arbuste do la Nouvello-AdRIANA ou HaDRIANA villa (iHlla d’Adrien) nom donne à un domaine immense situé à envfroil 6 lieues de Ronie aupied des collines de Tibur (Tivoli), mei,Ti’Me.r’^"°r ■•« ?’•<■"’ (^"^ ’«> les monuments et les houx qu’il avait lo plus admirés au cours do ses longs voyages, et où il vint passer les dernières années de sa vie. Abandonnée ensuite, eUe fut probablovv, °.iAMrP" J""*’ "’ < !« «oths, puis, à partir du XVI siècle, véritablement pillée par les amateurs d’an- ,T.^f jusquau moment où des fouilles méthodiques 1„=„,^M ii^P"^"^ P^"" ’" gouvernement italien dans cet ensemble de ruines considérables, un des plus intéressants et des plus curieux qui exislent en Italio. "plrPs’^ssnTv ;, %-,f°’Tl^^-- -P™"’™«<’" archéologiques ,,t-aris, 1880J, la Villa d .Idrien, p. 179-247). stiti^^’^n^ff ^ " ’^'. ; -if’-""’". Adrien) n. f. pi. Jeni institues en 1 honneur de 1 empereur romain Adrien, et qni 1, P^luc ^J^b"’ ^""Z ’"* ?°1 ’""’■ {’^" ’■^’t a..ssi adr.a.sal^.) Il Petits édifices dans lesquels l’empereur Adrien avait dit-on, permis aux chrétiens de se réunir. ,. :*’°""î’^ (Jean-Baptisto), historien florentin, no en lois, niort en 1579. Auteur d’une Histoire àe son temps ^In ’^ Son mt V," "• ’l^’i. f ? ^""» * ^«’"' «i» «" har- ,2 ; ~yt° ?^’ ^^.CEL Adriani, no en 1553, mort en 604, littérateur Italien, en a donné, on 1583, à Florence. la meilleure édition.

~ nistrc.

— S’attaquer à quelqu’un : Prudemment, on ne doit point s ADRESSER ai(.r personnes puissantes. (St-Evrem.) ~ , ?’^,’ ^," "^^’t pour agir sur : La prose ne s’adresse qu a l liée ; le vers parle à ridée et à la sensation. (L^i) Adriani (Jean-Baptiste), écrivain ot religieux italien, Tu H ^’ !■^°"■’^'®’°'"") "" 1823. II a publié une série d çtudcs historiques très documentées et très estimées, telles que Documents inédits sur l histoire subalpine au xii«  et au xiii’ 5iéc(e (1853) ; Journal du congrès de la paix de (,/ier«scon863) ; Campagnes et domination des Français en ei’Z'Z’n ,1 ,"/’ 'i’* (.’8«’) ; C«"’^. «s princes^évèques et les comtes et ducs de Savoie (1868) ; etc. ADRIANISTES (du lat. .idrianus, Adrien) n. m. pi Nom ipii, par suite d une erreur de transcription d’un texte d’Eusebo, est donne aux AVénandrisles. 11 Membre d’une autre secte fondée au xvi- siècle par Adrien Ilamstedius, do Dordrecht. Cesarfrmnii/es étaient des anabaptistes. Adriano, peintre espagnol appartenant à l’ordre des carmes, ne à Cordoue, mort dans ta même ville qn 1C30. Il ne reste de lui qu’un très petit nombre do tableaux, parmi lesquels on cite un beau Crucifiement. Elève do Pablo de Cespedes, il se pénétra du stvie de l’antiquité et se consacra à la peinture religieuse. "Toujours mécontent do ses œuvres, il en détruisit un grand nombre ; la plus célèbre de celles qui restent est use Madeleine, conservée aujourd’hui au palais de Cordoue. Adriatique (mer), partie do la mer Méditerranée comprise entre les deux péninsules italique ot balkanique’ Elle communique avec la mer Ionienne par lo canal d Otrante, et mesure du cap d’Oirante à Triesto environ 800 kilom. do long sur 160 kilom. do large. L’Adriatique urésento la forme d’une grande cuvetto allongée du S.-E. au N.-O., très peu profonde dans sa partie septentrionale, par suite des alluvions apportées par le P6, l’.Adige et les torrents alpestres. — se creusant de plus on plus à mesure qu’on descend vers le S. • atteignant même 1.275 m. vers 42° de latitude et se rele^ vaut ensuite jusqu’à 600 mètres dans le canal d’Otranlo. 12