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VALENTINES


De presser ta croupe en fureur
Sous le désir qui la cravache
Comme une jument d’empereur,
Tes seins où ma tête se cache
Dans la délicieuse horreur
Des cris que je… que je t’arrache
Du fond de ta gorge en fureur ;

Ce doit être bon de mourir,
Puisque faire ce que l’on nomme
L’amour, impérieux plaisir
De la femme mêlée à l’homme,
C’est doux à l’instant de jouir,
C’est bon, dis-tu, c’est bon… oui… comme,
Comme si l’on allait mourir ?