Page:Nouveau - Valentines et autres vers, 1921.djvu/177

Cette page a été validée par deux contributeurs.
179
VALENTINES


Baiser du désir qui veut mordre,
Pose-toi derrière le cou,
Dans la nuque où l’on voit se tordre
Une mèche qui te rend fou.

Sur sa bouche et sur sa promesse,
Profond et pur comme le jour,
Plus long qu’un prêtre à la grand’messe,
Oubliez-vous, Baiser d’amour.