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<poem> Le» tertres aticïuT» d les croi* Ûo liots neuf. Mais l’été que l’ange envois aux valh^s, Pour lés ègfiûgues (’■tnilias, Au* grands blés roux lnivrttit ses baleines (le feu» Et vers les rivières vermeilles — i.’i’ié, sur un signe de Dieu» i ..il ivecsps raj-ons.nl*- M,ïui"ages corbeille De 0** asiles ii>ul en fkn*rs; i»u les abeilles, Dan* l’herbe haute it drm- ainsi que-: des remords D’un long bounionDenient eniOIDmeiLlHlt le* moris. A midi, le soleil silencieux qi» tomba, Grraw, numitt’ lui chat d’Or allonge sur la tombe, ÏIihu 1;i Uhineheur brûle, éclatant, l’urinï l’argile FOSepu les BVOirtCS Mies. Pfitiljtiii que le lézard entend Passer, «l;i«- L^ bruits H’:iin^ rt Ji-s vagues pan LaTobe, ayant l’odeur de dos amours défunts, De la Mon. mère et reino do£ parfums* Tramée, avec les fils du ïève, Voie-t s’assombrir l’heure dû la U >*■ lève. Et le lourd laboureur n^i rentre, réfléchit, Sur la roulé où l’air pur fr4lchit H