velles à établir sur remplacement de la Collégiale. En 1826, un autre plan pour la place projetée en vue d’un marché, c’était la place Dumoustier. Les travaux se prolongent jusqu’en 1861.
- Mêmes arrondissement et paroisse.
- De la place Dumoustier à la rue Royale.
La rue, auparavant appelée rue du Cloître Notre-Dame, rue Solon, et aussi rue Lanoue, reçut le 27 octobre 1837 son nom de Jean-Baptiste Ogée, ingénieur géographe des États de Bretagne, auteur d’une carte de cette province, d’un atlas itinéraire et d’un dictionnaire historique et géographique. Il naquit le 25 mars 1728 à Chavures (diocèse de Laon) et mourut à Nantes le 4 janvier 1789 ; (d’après Mellinet, il serait né à Morni, en Picardie, et serait mort le 6 janvier 1790, à l’âge de 60 ans).
En 1793, il est question d’une rue à substituer « à la ruelle ou passage communiquant du Cloître Notre-Dame à la rue du Peuple Français », ruelle autrefois fermée par deux portes et privée, où se trouve signalée à cette époque la fonderie Voruz.
La rue se serait aussi appelée rue Portail, puisque en 1816 Félix-François Ogée adresse une protestation contre ce nom donné en remplacement de celui de son aïeul paternel.
L’alignement et la disposition actuelle de la rue s’exécutèrent en 1871.
- Quatrième arrondissement. Paroisse de Sainte-Croix.
- Du quai de la Maison-Rouge au quai Magellan.
Olivettes, c’est-à-dire barrières ; clôtures, pourquoi ce nom à la rue, qu’on a aussi désignée sous ceux de rue Monfaucon, partie rue Pellisson ? Elle figure sous ce dernier nom dès 1776 ; tous les actes rencontrés la signalent comme non viable, non ou mal éclairée, exposée aux inondations, et