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La partie de l’ancien chemin comprise entre la rue des Hauts-Pavés et les rues Léon-Say, Casimir-Perier et Émile-Souvestre est devenue la rue Jules-Simon.

C’est l’autre partie, celle comprise entre le carrefour que nous venons de citer et la route de Rennes, qui est encore désignée sous cette appellation. On passe à gué le ruisseau du Gué-Moreau et on débouche sur la rue de Rennes, no 113, en face la rue du Croisic.




Rue Gresset
Cinquième arrondissement. Paroisse de Saint-Nicolas pour les numéros 1 à 15 et 2 à 12, et paroisse de Notre-Dame, pour les autres.
De la place Graslin à la rue de Bréa.

Dénommée rue Saint-François en 1787, la rue prit son nom actuel du poète Gresset Jean-Baptiste-Louis, né en 1709 à Amiens et mort en 1777. En 1792, la voie était désignée comme projetée, elle ne fut rectifiée que petit à petit, puisque, en 1832 il est question d’un monticule de rochers qui intercepte encore le passage. En 1846 on la prolonge depuis la rue des Cadeniers jusqu’à la rue de Flandres ; en 1855 il en est de nouveau question à l’occasion du pan coupé entre cette rue et la rue Voltaire.




Rue Grétry
Cinquième arrondissement. Paroisse de Saint-Nicolas.
De la rue Rameau à la rue Crébillon.

La rue est alignée vers 1788, elle s’appelait alors rue Céresle, alias Cérestre, et en 1830 on lui appliqua le nom du célèbre compositeur de musique André-Ernest-Modeste Grétry, né à Liège en 1741 et mort à Montmorency le 24 septembre 1813.




Rue Mathurin-Julien-Groleau
Quatrième arrondissement. Paroisse de la Madeleine.

Le nom de l’ingénieur Groleau Mathurin-Julien, né à