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prudente humanité, d’entendre plus tost le desir de mon courage, & le souuerain estude que i’ay d’obeyr à vostre Serenissime Maiesté, depuis que mes yeux furent si proches de vostre splendeur Solaire, que la grandeur de mon labeur n’atcainct ne[1] requiert. 117— De Salon, ce 27. de Iuin, 1558.
118— Faciebat Michaël Nostradamus Salonæ Petræ[2] Prouinciæ[3].
- ↑ Construisez : ni ne requiert.
- ↑ Variante : Petreæ.
- ↑ Traduction : Fait par Michel de Nostredame, de la province de Salon Pétra,.
dant, afin de comprendre certains faits, qui sont d’horribles coups du destin, il en faut effleurer quelques-unes : quoique votre majest, votre humanité à l’égard de tous et votre piété envers les dieux soient si grandes, que vous paraissiez seul digne de porter le très-auguste nom de Roi très-chrétien, à qui doit être déférée l’autorité souveraine de toute la religion.