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dement, avec les deux doigts, le signe conjurateur de la jettatura. Jusqu’à la fin de sa vie, cet homme inoffensif passe pour jeter le mauvais sort…

Rentré chez lui, Offenbach dîne et se couche de bonne heure. Mais le sommeil vient difficilement… Les lauriers de Claude Terrasse poussent chaque jour, plus drus et plus fermes, et, non moins que ceux de Wagner, ils empêchent le grand petit maître de s’endormir.