Page:Normand - Paravents et Tréteaux, 1882.djvu/17

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Le bal, — supplice canaque ! —
Où chacun vient s’entasser,
Et cire un parquet qui craque,
Sous prétexte de danser ;

Les raouts de toute sorte,
Et les fêtes de haut goût
Où, serré contre une porte,
Tenant à peine debout,

On entend l’artiste en vogue
Qui, folâtre ou bien fatal,
Vous récite un monologue…
Mais n’en disons pas de mal !

Oui ! c’est pour toutes ces joies
Que nous te quittons, ô mer,
Jusqu’à ce que tu nous voies
Revenir vers ton flot clair,