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Plus pâle et plus frêle que lui
Il lui faut un constant appui
Pour résister au vent qui passe.

Contre un oubli qui le tuerait
Protégez ce culte discret,
Et, soucieux du vieux proverbe,
Amis, vrais amis, par pitié,
Sur le chemin de l’Amitié
Ne laissez jamais pousser l’herbe !