Page:Normand - Les Moineaux francs.djvu/201

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Et les hommes entre eux s’aiment, et la Nature,
Au nom du Créateur douce à la créature,
Réprime ses rigueurs et ses emportements ;
Et, dans l’égalité d’un bonheur sans tourments,
Le corps ne souffre plus et l’âme se repose…

Le vent vient d’emporter le beau nuage rose !