Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
OCTOBRE
dieu les tendres bucoliques !…
L’été s’efface et disparaît :
Le vent fraîchit, et la forêt
A pris des teintes métalliques.
Le soleil aux rayons obliques
Brille plus doux et plus discret :
Oh ! quel mystérieux attrait
Ont les grands bois mélancoliques !