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Guéris-moi du mal qui me blesse
Quel que doive être le moyen…
Fût-ce de traîner à la laisse
Un compagnon comme le tien !

Et vous tous, je vous en supplie,
Par ce tourment que j’ai souffert,
Tourment affreux, qui de ma vie,
A fait un véritable enfer,

Par l’expérience tardive
Qu’en eut l’Antoine que voilà…
Si jamais un fils vous arrive,
Ne lui donnez pas ce nom-là !