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et les jeunes filles n’oublient pas le Zapis[1] bienfaisant qui guérit les blessures du soldat.
Le vieux Bey se soulève sur sa natte sanglante, à l’aspect du météore inconnu qui rougit à l’horizon de la nuit. Il rappelle ses sens et reconnoît la vengeance de Pervan. Il dit : c’est bon.
« Enfans des Spalatins, s’écrie-t-il, les doux ombrages de la rivière des Castelli ne nous appartiennent plus. Il faut nouer fortement la ceinture de vos reins, et fixer à vos pieds l’opancke[2]