Page:Nodier - Smarra ou les démons de la nuit, 1822.djvu/166

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Le vieillard laisse tomber la guzla, il dégage son hanzar redoutable, et Iska qu’il ne retient plus se précipite entre deux barreaux, pour offrir son sein à la mort, en souriant vers lui.

Elles sont si resserrées, les flèches menaçantes qui hérissent les remparts de Zetim ! le Bey malheureux la tua d’une main sûre, mais il ne put pas l’embrasser.

Puis il descendit lentement des hauteurs de la forteresse, et plus lentement, à mesure que les détours de l’étroit sentier le ramenaient au dessous de l’ennemi furieux, car sa grande