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jamais été d’airain, et qui ne ressemble pas plus à un miroir qu’à un poisson ; les poëtes n’auroient d’ailleurs pas cherché pour le désigner le terme inusité de rhombus, puisque turbo figuroit assez honorablement dans la langue poétique. Virgile a dit : versare turbinem et Horace :
Citamque retro solve turbinem.
Je ne suis toutefois pas éloigné de croire
pointe. En Bourgogne, le turbo s’appelle encore un trebi
Ai ne fau qu’esne chaîterie,
Vou qu’un sublô, vous qu’un trebi.
(Noël de la Monnoye.)