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gible pour ceux qui ne savent pas lire ; mais quel inappréciable trésor que le Songe de Poliphile pour la langue et pour les arts, pour l’érudition du philologue et pour celle de l’antiquaire ? Quel homme que Frater Franciscus, moyennant qu’on ne le lise pas dans ses impertinents traducteurs qui ne se sont pas avisés qu’il ne pouvoit être traduit ! Les Italiens eux-mêmes ne s’en occupent guères. Tiraboschi ne le veut pas.