Page:Noailles - Les Vivants et les Morts, 1913.djvu/355

Cette page n’est pas destinée à être corrigée.

Le Printemps du Rhin
Ce Matin clair et vif…
Les Nuits de Baden
Henri Heine
III. — LES ELEVATIONS
La Prière
Ô Monde ! Nous passons…
Mon Dieu, je ne sais rien…
La Solitude
Si vous parliez, Seigneur…
Mon Dieu, je sais qu’il faut…
Comme vous accablez vos préférés…
Je suis fière de tout…
J’ai revu la nature…
On étouffait d’angoisse atroce…
L’Espace nocturne
Je vis, je pense, et l’ombre…
Je sais que rien n’est plus…
Le Destin du Poète
Élévation
En ces jours déchirants…
À Mistral
Vers écrits sur les Champs de bataille d’Alsace-Lorraine
Les Mânes de Napoléon
Ô Dieu mystérieux…
IV. — LES TOMBEAUX
Les Morts
Ainsi les jours légers
L’Abîme
Hélas, il pleut sur toi…
Puisque j’ai su par toi…
Il paraît que la mort…
Les vivants se sont tus…
Le Souvenir des Morts
Ton absence est partout…
La nuit rapproche mieux…
Puisqu’il faut que l’on vive…
Je ne veux pas savoir s’il fait clair…
Je respire et tu dors, à présent…
Malgré mes bras tendus…
Puisqu’il faut que la mort…
Je vivais. Mon regard, comme un peuple…