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LE CHANT DU FAUNE
Va-t’en, laisse-moi seul. Sur ma flûte d’érable,
A l’ombre d’un laurier que juin vient défleurir,
Je pleurerai ta chair prompte à se réjouir.
Hélas ! Cruelle enfant qui me fus favorable,
Pourquoi n’as-tu pas su me haïr ?