Page:Noailles - Les Éblouissements, 1907.djvu/259

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
254
ENCHANTEMENT


Mais maintenant, quand luit l’azur triple de Mai,
Mon coeur ébloui veut se taire.
Mourrai-je sans pouvoir dire combien j’aimais
La douce douceur de la terre ?