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l’existence. Elle la regardait avec ces yeux des mères qui s’assurent que l’âme et le corps du petit sont bien pour le long voyage.

Elle perdait avec Sabine la plus douce joie de sa vie, mais elle ne se plaignait pas. Et gagnée par cet exemple, quand l’heure de l’adieu fut venue, madame de Fontenay s’en alla simplement, comme si elle pouvait revenir le lendemain…