Page:Noa noa - 1901.djvu/60

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
59
NOA NOA

bruits autour de l’Ile sont les murs bénis, impénétrables, de mon exil, et que je tende mes mains à l’espace plein de promesses !

Loin tous deux, loin tous deux, mon cœur et le vivo chantent.