Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
IX
Parahi Té Maraë[1]
Passant, l’âme divine anime jusqu’au : lieux
Où l’accomplirent les ineffables mystères.
Comme Hina est la lune et, Téfatou, la terre,
Passant ! le Temple vit, passant ! le Temple est Dieu.
Or, plus d’un sage a vu s’ouvrir sur les hauts lieux :
Des bouches que la soif de notre sang altère :
Garde-toi des sommets qu’on croirait solitaires,
Toute cime est un Temple et tout Temple est un Dieu.
- ↑ Là réside le temple.