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POÉSIES

N’aller pas emprunter à Madame Loysel
Ces frisons blonds, pareils aux plumes de l’oisel.
Et, le soir, plus de Jabloschkoff, plus de bougie…
La lampe avec son abat-jour, ô nostalgie !
Avoir, (oh ! si longtemps ce rêve m’a ravi !)
Le droit d’être enchaînée et d’aimer son mari.