4) La volonté enregistrée partout où il y a des effets ;
5) Le « monde-vérité » considéré comme monde intellectuel, comme accessible par le fait de la conscience ;
6) La connaissance absolue considérée comme faculté de la conscience, partout où il y a connaissance.
Conséquences :
Tout progrès réside dans le progrès vers la conscience ; tout recul réside dans l’inconscience (— le fait de devenir inconscient était regardé comme une déchéance, comme abandon aux désirs des sens, - comme un aboutissement…) ;
on s’approche de la réalité, de l’« être véritable », par la dialectique ; on s’en éloigne par les instincts, les sens, le mécanisme… ;
pousser l’homme à se fondre dans l’esprit, ce serait faire de lui un dieu : esprit, volonté, bonté — unité ;
tout le bien doit avoir son origine dans la spiritualité, doit être un fait de la conscience ;
le progrès vers le mieux ne peut être qu’un progrès vers le fait de devenir conscient.
Le phénoménalisme du « monde intérieur ». - Il y a renversement chronologique, de sorte que la cause parvient à la conscience plus tard que l’effet.