isme. b) La puissance réalisée : 1. les moyens de contrainte de la vertu ; 2. les moyens de séduction de la vertu ; 3. l’étiquette (de cour) de la vertu.
201.
Associer le vice à quelque chose de si catégoriquement pénible que l’on finit par fuir devant le vice pour se débarrasser de ce qui est lié à lui. C’est le célèbre cas de Tannhäuser. Tannhäuser, exaspéré par la musique de Wagner qui lui fait perdre toute sa patience, n’y tient plus, même chez Madame Vénus : tout à coup la vertu commence à avoir du charme pour lui ; une jeune vierge de Thuringe se met à monter en prix et, ce qui est plus grave encore, il goûte même la mélodie de Wolfram d’Eschenbach…
202.
Le patronat de la vertu. — L’avidité, le désir de dominer, la paresse, la niaiserie, la crainte : ils ont tous un intérêt dans la cause de la vertu, c’est pourquoi elle est inébranlable.
203.
Conséquences de la lutte : celui qui lutte essaye de transformer son adversaire pour en faire son antipode, — dans son esprit seulement, bien entendu. Il cherche à croire en lui-même au point qu’il peut avoir le courage de la " bonne caus