jq vient en quelque sorteiseülemuüll ¤¤ V¤)’¤$’€t1’l à lF¤"¤¤’S le monde. Touslesdomaines de la vie et de la nature, tous 1 les passés, tous lesarts, toutes les mythologies, toutes les ’ Sülètlces Voîenti passer devant eux en hâte linsatiablo Ãi Gûtllûmplâlûüf ; les désirs les plus profonds sont éveillée ’ et ealmésaussitôt ’ ; Hélène elle-même ne leiretientl pas lll %PlS longtemps Q 9È 8101’S le mûïïlôllli arrive immanquablement que guette son ironique compagnon. En un
point quelconque de la terre, le vol s’arrète, les ailes ’ vèq s’abaissent et Méphzistophélès est’là· prêt à intervenir ; q" Quand ’Aliemand cesse d’être Faust il n’y a pas de È dangeruplus proche que de le voir devenir philistin et de s’abandonner au diable. Seules des puissances divines peuvent le sauver de cette éventualité · ~ A l’’, Lihümïïlë d€’Gœlll18’6$È, cumme je l’ai dit, l’homm”o »contemplatif de grand style, qui ne se consume pas SPl3 terre Seulement parce qu’il amassa fau] ; ce ai a jamais été grand et mémorable, tout ce qui Aa’jamliais ’, étézet qui est encore pour en faire sa nourriture ai qui ’ vit ainsi, bien que ce ne s01t lài qu’une vie qui va de-. désir en de sir. Il n’est point l’homme actif. Tout au cons traire : quand, en un point, ou en un autre, il sïntroduitl ~’l’dans ilactixité géne1·ale, on peut être convaincu qu’i’l’, ^ »=>’v ¤ ’n’en sortira rien de bien et I avant tout qu’aucun « ordre À établi » ne sera renversé. Ce fut par exemple le cas. quand Goethe fit preuve’d’une si vive ardeurpourules V choses du tliéâtre. ’L’hornme à la manière de Gdetheest" ’une force conservatrice et conciliante, mais il coui-t·’le’ danger de dégénérer au point de tomber au philistin, u de nïeme que Firomme de Rousseau peut facilement ’· p venir un anareliiste. Un peu plus de l’OI’ce ’