pement de Wagner est caractérisée par le fait que len deus forces fondamentales de sa nature s’unissent toujours plus étroitement. La répulsion qui éloignait J’l’une de Feutre ces forces commence à diminuer ; à partir de ce. moment le moi supérieur ne croit plus faire une grâce à son frère plus violent et V plus terrestiè en se mettent à son service, car il fainre et ne peut plus se refuser à le servir. Lorsqu’e1les’ont acquis leur plein développement, la délicatesse et le pureté lest plus’parfaites se retrouvent aussi dans les manifestations dela ’tierce ; l’impétueux· instinct suit son cours comme aupa-Vui=
- · V revnnt, mais dans d’autres régions, celles du moi supé ?
rieur et celui-ci, à. son tour, s’abaisse vers la terre et reconnaît sa propre image dans tout ce qui est terrestre. S’il était possible de parler de la même manière du but final et de l’issue » de ce développement, tout en restant compréhensible, on pourraitvespéror trouveriaussi Per-A pressàon imagéïdqui sexàvirailp àdcàésîgner une longue q pério e interm laire ans e ve oppement ; mais, comme je doute de la première pnnnuniue, je renonce aussi à mïaventurer dans la seconde. Au pointcle vue historique, cette période intermédiaire peut être isolée par deux mots de la période qui la précède et de celle p pq qui la suit : Wagner se transforme en révolutionnaire de ln société ; il reconnaît dans le peuple poëte le ’’· seul artiste véritable qu’il y sit eu jusqu’à présent. L’idée maîtresse qui s’ixnposa à lui, · sous une forme ï nouvelle et plus impérieuse que V Jamais, . après le profond désespoir et le repentir par lequel il avait passé’, le conduisit à ces deux conceptions :· Exercer de l’influence, ê faire de Poiïet l Feirofde Peiïet, exercer