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nus vos cheveux ? Maudit perruquier ! c’est un fripon, un coquin, qu’il faut faire arrêter. Abuser de la simplicité d’une enfant pour la tondre ainsi, sans égard pour sa bonne ; l’exposer à perdre sa place ! car, j’en suis sûre, après ce beau coup-là, madame ne voudra plus me revoir. D’abord, ramènera la petite qui voudra : moi je ne rentre pas à la maison, ajouta-t-elle ; jamais je n’aurai le courage de supporter les reproches de madame. Elle qui admirait tant les beaux cheveux de sa fille ; qui passait des heures à les arranger ! Ah ! mon Dieu non,