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me tuer, c’est vrai, car j’aime tant ces bons maîtres et leurs enfants ! mais vous ne saviez pas le mal que vous me faisiez ; et je vous le pardonne de bien bon cœur, aujourd’hui que je rentre dans la maison, et que je retrouve la confiance de Monsieur. Mais il ne sera pas dit qu’un si beau jour vous verra pleurer. Non, morbleu : quand je suis content il faut que tout le monde le soit.

En disant ces mots, François entraîne Agénor dans la salle où tout le monde était encore réuni.

— Monsieur, dit-il à M. de Berville, pardon de la liberté que