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— Mais on ne te chassera pas, toi, puisque tu es mon cousin.
— Belle raison, ma foi ! Est-ce que je ne suis pas un pauvre orphelin, qu’on élève par charité ? est-ce que les gens de la maison ne me l’ont pas dit cent fois ? Ils ne cessent de me répéter qu’à ma première sottise on me mettra à la porte. Eh bien ! en voilà une qui doit suffire. Va dire à ton père que c’est moi qui ai cassé le vieux visage de ce chien de Prussien, et tu verras si je couche ici.
— Ah ! mon Dieu ! comment faire, reprit Thérésine, car ce