Page:Nichault - Scenes du jeune age V1.pdf/215

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

cela vous la faites pleurer toute la journée, ils vous renverront de chez eux. Vous ne manquerez de rien sans doute ; mais vous verrez la différence qu’il y a à être élevé dans une bonne maison comme le fils de la famille, ou bien à se voir dans une pension, presque oublié de tout le monde.

— Tu as raison, mon bon François ; je sais bien tout ce que je dois à mon oncle, et que je serais très malheureux si mon oncle m’abandonnait : aussi je te promets d’être dorénavant raisonnable.