Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Et mademoiselle Adélaïde accourut pour mettre le holà, et pour savoir la cause des cris de Thérésine.
— Eh bien ! vous voilà joliment arrangée, dit-elle à Thérésine en voyant son pantalon collé à ses jambes, et ses petits brodequins gris couverts de terre mouillée. Croyez-vous, mademoiselle, qu’on n’ait pas autre chose à faire qu’à vous changer de robe, de bas, et de pantalon.
— Mais…, ma bonne…, ce n’est pas moi…, disait Thérésine en pleurant : c’est… l’arrosoir qui…