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tite ! Vraiment, on peut dire que Phrosine est bien heureuse que le ciel nous ait envoyé au premier une locataire comme celle-là !

Le père Glaudin, moins ébloui que sa femme sur les avantages d’être élevée en demoiselle du beau monde, lorsqu’on était destinée, par sa naissance et sa pauvreté, à épouser un ouvrier ou un domestique, faisait de sages représentations à sa femme. — Quand tu l’auras laissée s’habituer à toutes ces belles et bonnes choses, disait-il, crois-tu qu’elle se contentera de notre hareng à