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viennent les visites ; avec quel plaisir madame Glaudin montrait sa fille, ainsi vêtue, aux cochers qui venaient se réchauffer un moment au poêle de la loge ! qu’elle était fière en leur disant : « C’est madame de Mézenge qui l’habille comme cela, parce que, voyez-vous, elle joue toute la journée avec sa petite ! Ah, mon Dieu ! elle traite Phrosine ni plus ni moins que sa fille. Si vous voyiez cela, c’est les mêmes leçons, les mêmes joujoux, les mêmes morceaux à table. Est-ce qu’elle ne doit pas encore l’emmener dimanche à Franconi, avec sa pe-