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TANTE GERTRUDE

marchait gaiement bras dessus bras dessous avec Madeleine, fière de son mari et de l’estime dont il jouissait…

Si son regard se détachait parfois de celui qu’elle aimait éperdument, c’était pour se poser débordant de reconnaissance sur la vieille parente à qui elle devait son bonheur !

FIN