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KATHOPANISHAD
pieux[1] ce secret suprême, ou au moment de venir en aide à ceux qui sont partis[2], acquiert par ce moyen l’immortalité, l’immortalité, par là il acquiert.
SECTION II
Quatrième partie. — 1. Celui qui existe par soi-même perça les sens vers l’extérieur ; c’est pourquoi l’homme regarde au-dehors, non au Soi intérieur. Quelque sage, çà et là, désirant échapper à la mort, détourna les yeux et contempla ce Soi intime.
2. Ainsi les insensés poursuivent les désirs extérieurs ; ils tombent dans le filet de la mort, largement étendu[3] ; le sage, au contraire, concevant la sûre immortalité, ne désire rien ici-bas des choses incertaines.