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LORELY

marguerite. Oui, partez, monsieur Frantz ; pardon si, dans un premier mouvement, je vous ai offensé… Partez, oubliez tout ce qui s’est passé, comme on oublie un rêve terrible, et nous… Eh bien ! nous conserverons de vous peut-être un bon et triste souvenir…

frantz. Merci, Marguerite… votre main ?

marguerite. La Voilà.

frantz. Adieu, adieu !

marguerite (à Léo Burckart), Oh ! mon ami… c’est un homme de cœur pourtant, et nous l’avons trop humilié… (On entend un coup de pistolet.)

léo. Tenez… le voilà qui se relève !

FIN.