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DE L’ÉLECTION DE SON SÉPULCHRE
ANTRES, et vous fontaines,
De ces roches hautaines
Qui tombez contre-bas
D’un glissant pas ;
Et vous, forêts et ondes
Par ces prez vagabondes,
Et vous, rives et bois,
Oyez ma vois.
Quand le ciel et mon heure
Jugèrent que je meure,
Ravi du beau séjour
Du commun jour,
Je défens qu’on ne rompe
Le marbre pour la pompe